Cette particularité semble indiquer que Le Brun avait, dès l'origine, prévu de réaliser deux tableaux. » (Base Joconde) Malgré les affirmations figurant dans la base Joconde, on pourra facilement remarquer ci-dessous que le dessin de La Vierge et l'Enfant est nettement plus proche du détail de la petite version du tableau. De même, Homme à mi-corps, les mains jointes apparaît dans la petite version du tableau mais a été coupé dans la grande version. Charles Le Brun. L'Adoration des bergers, dessin 1 (1689) Pierre noire sur papier, 23, 4 × 32, 4 cm, musée du Louvre, Paris. Charles Le Brun. L'Adoration des bergers, dessin 2 (1689) Pierre noire sur papier, 26, 1 × 32, 8 cm, musée du Louvre, Paris. Charles Le Brun. La Vierge et l'Enfant (1689) Pierre noire, craie blanche, plume, encre noire sur papier, 39, 8 × 22, 4 cm, musée du Louvre, Paris. Charles Le Brun. L'Adoration des bergers 2, détail (1689) Charles Le Brun. Feuille d'études (1689) Pierre noire, craie blanche, plume, encre noire sur papier, 35, 1 × 24, 2 cm, musée du Louvre, Paris.
Louvois, qui succède à Colbert, lui préfère un autre peintre, Pierre Mignard (1612-1695). Privé de la responsabilité des décors du château de Versailles, le peintre entreprend un cycle de tableaux sur la vie du Christ, commandés par Louis XIV, qu'il ne terminera pas du fait de son décès en 1690. L'Adoration des bergers est son dernier chef-d'œuvre. Après l'achèvement de L'Adoration des bergers, Charles Le Brun en a réalisé une version plus petite destinée à son épouse Suzanne Butay (1626-1699). Ce fut la dernière peinture qu'il acheva: Charles Le Brun. L'Adoration des bergers 2 (1689) Huile sur toile, 91 × 117 cm, musée du Louvre, Paris. « Dernier tableau de Le Brun, peint pour sa femme, quelques semaines avant la mort de l'artiste. Le Brun reprend le motif principal du tableau sur le même sujet, peint pour Louis XIV, mais avec davantage de retenue. Cette œuvre intime et touchante est une sorte de testament artistique et spirituel. » ( Base Atlas, musée du Louvre) L'épisode biblique Le Brun illustre un épisode biblique concernant la naissance de Jésus-Christ à Bethléem.
Origine: Idem & Collection ancienne /&. Emplacement actuel: Idem & Calcographie du Musée Napoléon]]. Signe de recollement: [Vu] [[au crayon]] [[trait oblique / à l'encre / à droite du nom du maître]] [7 [[Cr? ]]] [[au crayon]]. Cote: 1DD39 COMMENTAIRE: Le Louvre conserve de nombreux dessins préparatoires au tableau 'L'Adoration des Bergers' achevé par Le Brun en 1689. Il s'agit de sa dernière peinture qu'il reproduit en version réduite pour sa femme. Les deux tableaux sont conservés au Louvre (Inv. 2879 et 2878). Il n'est pas possible de séparer les études en relation avec l'une ou l'autre des versions, les recherches étant souvent imbriquées sur une même feuille. Cette particularité semble indiquer que Le Brun avait, dès l'origine, prévu de réaliser deux tableaux. 'Autre étude préliminaire pour le tableau. Elle traduit la même conception que l'étude Inv. 29403, mais elle est plus complète; en outre, certaines figures se retrouveront dans la version finale, notamment au premier plan la femme tenant un enfant, mais elles seront placées dans la partie droite du tableau. '
Tableau ancien huile portrait d'homme de qualité signé Albert Gräfle (1809-1889) Tableau ancien, huile sur toile, école Allemande signé en bas du peintre. Datant du XIXème siècle. La scène représente un portrait d' homme de qualité. Très bel état, bien encadré, voir photos. Ses parents l'envoie au gymnasium. Puis à l'université de Fribourg où il étudie la philosophie. Il se rend ensuite à Munich où il travaille, à l' Académie des beaux-arts. Avec Franz Xaver Winterhalter. Et Julius Schnorr von Carolsfeld. Il peint entre autres, dans le style historiciste. La Consécration de l'archevêque Gebhard von Zäringen en 1084 (1832), Ossian et Malvina (1834), le Mariage du margrave Rudolf von Baden avec la comtesse Kunigunde von Eberstein (1835). En 1840, il se rend à Paris. Il participe au Salon. De 1845 où il reçoit une médaille d'or de Louis-Philippe Ier. Il effectue ensuite un voyage en Allemagne: il produit des ouvres à Berlin. Et Munich avant de se fixer à Karlsruhe. En 1848, il peint des paysages d' Alsace.