Quand il fait refaire une quarantaine de fois une même prise, il s'excuse à demi-mots.
Pour prendre un nouveau départ, renouer avec la tradition et faire de l'édition 2022, celle du renouveau.
Comment a commencé votre aventure au sein du Conseil général des jeunes? J'étais déléguée de ma classe de 3ème et j'ai été élue pour représenter mon collège (Oasis, au Port) au sein du Conseil général des jeunes. A cette époque c'était Bruno Hibon qui était président du Conseil général des jeunes. Je me suis beaucoup impliquée à ses côtés et il m'a confié diverses responsabilités. Même si je ne faisais pas partie des commissions (il y en avait quatre correspondant au découpage territorial Ouest, Nord, Est, Sud), je m'y rendais et prenais part à la réflexion mise en place. C'est une vraie éducation à la citoyenneté. Qu'est-ce que ça vous a apporté? Crier pour la pie de la. Au Conseil général des jeunes, on parlait de divers problèmes de société, du développement durable, de l'égalité des sexes, des drogues... Je me souviens qu'on avait organisé une grande action sur l'alcool avec la réalisation de spots diffusés dans les différents établissements scolaires. Ça développe le sens des responsabilités, de la solidarité...