→ La formule de l'Eco-Score est susceptible d'évoluer car elle est régulièrement améliorée pour la rendre plus précise. Avertissement: certaines informations nécessaires pour calculer l'Eco-Score avec précision ne sont pas renseignées (voir le détail du calcul ci-dessous). Des de brebis le. Vous pouvez modifier la fiche produit pour ajouter les informations manquantes. Si vous êtes le fabricant de ce produit, vous pouvez nous transmettre les informations avec notre plateforme gratuite pour les producteurs. Détails du calcul de l'Éco-score » Conditionnement Instruction de recyclage et/ou informations d'emballage: Parties de l'emballage: Nombre Forme Matière Recyclage Bocal Verre Autres informations Préparation: Egoutter le produit avant consommation. Sources de données Produit ajouté le 22 avril 2017 à 13:44:19 CEST par openfoodfacts-contributors Dernière modification de la page produit le 10 février 2022 à 23:52:29 CET par packbot. Fiche produit également modifiée par autorotate-bot, beniben, bojackhorseman, date-limite-app, julien000, kiliweb, org-scamark, scamark, sebleouf, tacite-mass-editor, yuka.
Vitamine A, bêtacarotène, vitamines B5, B6 et E, cuivre, magnésium et zinc: les AJR diffèrent selon le genre. Les AJR présentés dans ces fiches sont ceux d'une femme de 18 ans et plus.
Accueil Fromages de brebis Dés marinés Dés marinés aux herbes de Provence La cuisine Méditerranéenne raffole des marinades qui conservent et mettent en avant la saveur des aliments. Premier né de la famille des bocaux Salakis, le fromage de brebis en dés marinés aux herbes de Provence est désormais incontournable. Les amateurs de fromage de brebis aimeront ces recettes faciles et variées. Présent toute l'année en magasin, il apporte un supplément de Méditerranée à votre cuisine. Des petits dés marinés dans l'huile et les herbes de Provence, toujours prêts à s'échapper de leur bocal pour égayer un apéritif (été comme hiver), composer une salade, s'enfiler sur une pique, réveiller cakes, gratins, quiches ou lasagnes. Un plaisir simple pour épater les gourmands. Idéal avec une salade de tomates, ce fromage mariné aux herbes de Provence est aussi délicieux en crumble sur un gratin de légumes du soleil (poivrons, courgettes, aubergines) ou tout simplement sur des pâtes al dente! 300g
Pas sèche. Peu grasse. Très bon goût. C'est un très bon compromis entre la féta baignant dans l'huile et celle qui est en sachet, plus facile d'utilisation mais trop sèche. Cfon recommande ce produit. Des de brebis francais. YATTA Publié le 30/08/18 Excellent Même goût que la fêta je recommande YATTA recommande ce produit. owickerman Publié le 20/07/18 Très bien dans la salade J'ai fait une salade de concombres avec, c'était très bien. Owickerman recommande ce produit. Dés de brebis aux herbes Format adapté pour un apéro Emballage pratique Bon produit Po60 recommande ce produit. Voir plus d'avis clients (3) Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé
Par Trina Mounier Les Trois Coups Voici la troisième œuvre de Stefano Massini que monte Arnaud Meunier à la Comédie, avec une sobriété qui va à l'essentiel. Deux ans après « Femme non rééducable », consacré à Anna Politovskaia, un monologue confié à Anne Alvaro, c'est à une autre actrice, Rachida Brakni qu'il propose d'incarner les trois femmes qui composent le drame au cœur de « Je crois en un seul dieu ». Ces trois femmes n'ont rien en commun et tout à la fois. Rien parce que tout les oppose, dans le sens fort du mot: l'une est une enseignante israélienne d'histoire, femme de gauche, ouverte, pacifiste; la seconde est palestinienne et candidate au martyre; quant à la troisième, il s'agit d'une militaire américaine en mission contre-terroriste. Ce qui les rassemble, c'est le conflit israélo-palestinien, mais aussi leur mort dans un attentat puisque, dès le début de la pièce, celle-ci est annoncée. C'est là leur point de rencontre, il n'y en aura pas d'autres. La pièce nous touche de près dans un contexte, après les attentats terroristes, où nous ne pouvons plus nous croire à l'abri.
Accueil > Je crois en un seul dieu de Stefano Massini Critiques / par Attentat à Tel Aviv Partager l'article: Après sa création à la Comédie de Saint-Etienne et les représentations au théâtre du Rond-Point, Je crois en un seul dieu effectue une brève tournée. Le textes de Stefano Massini sont toujours très intéressants: celui qui est devenu récemment le patron du Piccolo Teatro de Milan parle du monde d'aujourd'hui de façon brûlante et adopte généralement un mode de narration plus choral que monologué. Chapitres de la chute – Saga des Lehman Brothers, monté par Arnaud Meunier, avait été un véritable événement. Je crois en un seul dieu prend le parti de faire entendre trois voix différentes sur un même moment vécu simultanément par trois personnes: un attentat a lieu un jour de mars 2002 à Tel Aviv. Une Israélienne, professeur d'histoire juive, une étudiante islamique palestinienne et une militaire américaine content leur propre histoire et la journée qu'ils sont en train de vivre; la Palestinienne a un rôle différent des autres, elle est l'auteur de l'attentat.
« Nous n'avons rien appris de la crise de 1929 » dira Stefano Massini. Je crois en un seul dieu est un récit à la première personne de trois femmes, l'une israélienne, l'autre palestienne, la troisième américaine pendant l'intifada de 2003…était-ce la seconde ou la troisième? Ces trois femmes ne se connaissent pas mais partagent le même espace. La palestinienne de Gaza va préparer un attentat à tel Aviv et nous vivons l'année précédant le meurtre. Le compte à rebours est lancé: toutes trois vont mourir, et c'est aussi absurde pour l'une que pour l'autre. La mise en scène d'Arnaud Meunier est totalement dépouillée. Nous sommes entre quatre murs de béton, avec trois portes et une ouverture rectangulaire au plafond. Nulle échappatoire, aucun détail, pas de chaise, pas d'ornements sur les murs. L'action est concentrée dans cet espace d'où fuir serait juste impossible. Arnaud Meunier a mis en scène Michel Vinaver et Pasolini notamment. Sa compagnie « La mauvaise graine » a été hébergée en Seine Saint Denis.
Crédit photo: Sonia Barcet Je crois en un seul dieu, de Stefano Massini, traduction Olivier Favier et Federica Martucci (L'Arche Agent théâtral), mise en scène d' Arnaud Meunier Le mot terrorisme renvoie à un affect destructeur, une passion déchaînée. Le terrorisme, qui bouscule les relations internationales et la notion de « guerre », représente, dans les situations inégalitaires, l'arme suprême du faible ou du pauvre – tel le terrorisme des Palestiniens face à Israël. Dérives religieuses et extrémisme de certains intégristes musulmans ont obscurci la pratique de la violence, exercée soit par des mercenaires endoctrinés ou non, soit par des fanatiques incontrôlables. Parole est donnée sur la scène à trois femmes dans la pièce Je crois en un seul dieu de l'Italien Stefano Massini que monte le metteur en scène Arnaud Meunier, directeur de la Comédie de Saint-Etienne Centre Dramatique National, et connaisseur de ce théâtre puisqu'il a créé deux précédentes pièces – Chapitres de la chute, saga des Lehmann Brothers et Femme non-rééducable – du même auteur.
C'est pratiquement du journalisme, voire de la docu-fiction: plutôt que de proposer une relecture de l'Histoire avec majuscule, c'est trois tranches de vie qu'on nous donne à voir (avec ses paradoxes et contradictions, de l'humain pur jus). La particularité étant que le spectateur a affaire ici au paradigme du Titanic (selon l'expression du metteur en scène Arnaud Meunier): dès les premières minutes de spectacle, on connait déjà la conclusion. La bombe va exploser, c'est comme ça, on y pourra rien. La véritable force de la pièce se manifeste alors dans ces trajectoires humaines qui se dérèglent; la palestinienne apprentie martyr confrontée à la réalité de ses actes; la professeure juive, humaniste convaincue, traumatisée par un attentat. On touche alors des instants de grâce en écoutant les peurs, les traumatismes de ces femmes: on en viendrait presque à regretter que ces moments ne durent pas plus longtemps. Car la bombe va exploser, c'est dit dès le début. Mais voir cette humanité (la plus belle autant que la plus lâche) sur scène est toujours un bonheur.
Rachida Brakni déplie l'origami polyphonique, avec une articulation précise et calme, implacable. TÉLÉRAMA
texte Stefano Massini mise en scène Arnaud Meunier Comédie de Saint-Étienne interprétation Rachida Brakni traduction Olivier Favier, Federica Martucci collaboration artistique Elsa Imbert assistanat à la mise en scène et à la dramaturgie Parelle Gervasoni scénographie, lumière Nicolas Marie regard chorégraphique Loïc Touzé musique Patrick De Oliveira costumes Anne Autran régie générale Philippe Lambert décor, costumes ateliers de La Comédie de Saint-Étienne Trois femmes prennent tour à tour la parole. Trois récits qui se croisent, se contredisent parfois, pour rendre compte de la complexité de la situation israélo-palestinienne. Sauf que ces trois identités n'en forment qu'une: l'auteur demande à ce que ces voix soient incarnées dans un seul corps. Stefano Massini déploie l'histoire de ces femmes aux destins inéluctablement liés: Eden Golan, professeure d'histoire juive, Shirin Akhras, étudiante palestinienne et Mina Wilkinson, militaire américaine d'une quarantaine d'années. Dans un geste d'une grande densité on voit Rachida Brakni se démultiplier.