Accorde-moi de Tes biens licites pour m'éviter de rechercher Tes interdits et puisse Ta générosité m'atteindre pour m'éviter de recourir à tout autre que Toi. » ____ « Allâhoumma Inniy A'oudhou bika minal 'hammi wal houzn wal 'adjzi wal kasal wal boukhli wal djoubni wa dhalaïd dayni wa qahril ridjâli » « Ô Seigneur! Je me mets sous Ta protection contre les soucis et la tristesse, contre l'incapacité et la paresse, contre l'avarice et la lâcheté, contre le poids de la dette et la domination des hommes. » Qu'Allah nous protège tous et nous garde toujours à l'abri du besoin. Deces parent endettés et effacement des dette. Qu'Allah facilite à tous ceux et à toutes celles qui sont endettées l'acquittement de leur dû. Âmine Wa Allâhou A'lam! Et Dieu est Plus Savant!
» (Ahmad et Abou Dâoûd - "Dhaïf" - "Faible" selon Albâni -Réf: "Dhaïf Sounan Abi Dâoûd" Page 335/ Hadith 725. Ce genre de Hadith peut être cité dans un but de rappel, à partir du moment où il ne se pose pas en contradiction avec un principe établi en Islam et respecte au contraire l'esprit de nombreux autres Hadiths authentiques…) Dans un autre Hadith rapporté par Abou Houraïra (radhia Allâhou anhou), voici ce qui est dit: « L'âme du croyant reste "suspendue" en raison de sa dette, tant que celle-ci n'est pas acquittée.
Ce même prêteur sur gage doit ensuite s'acquitter de la zakât et souhaite la redistribuer aux pauvres. Lui vient alors l'idée de remettre à son débiteur le gage qu'il a déposé et d'annuler sa dette, lui faisant savoir que le montant qu'il lui devait lui appartenait désormais et qu'il faisait partie de la zakât dont il devait s'acquitter. L'imâm A h mad répondit: « Non, ce n'est pas valable…». On lui dit: « Et si l'endetté emprunte de l'argent ailleurs pour rembourser sa dette envers son premier créancier puis, que ce créancier, une fois ayant récupéré le montant qui lui est dû, redonne cette somme à son débiteur sous forme de zakât, qu'en est-il? Rêver d'effacer - Interprétations exactes du rêve d'effacer. L'imam A h mad dit: « S'il fait cela en espérant faire fructifier son propre argent, ce n'est pas permis. » L'on déduit de ses propos que le fait de faire bénéficier son débiteur de la zakât est permis, que son créancier la lui verse dès le départ ou que le crédit accordé soit remboursé au préalable. Mais dès lors que le créancier ne souhaite, à travers son versement de la zakât à son débiteur, que la fructification de ses biens et l'obtention du remboursement de ce qui lui est dû, alors, cela n'est pas permis.