L'une des rares raisons de se réjouir dans tout cela, dit-elle, est que l'industrie du porno se lasse rapidement de ces filles, généralement avant six mois. Et la réalisatrice a trouvé deux raisons à cela. "La première, c'est soit que les parents le découvrent, soit qu'elles ont un nouveau petit ami. Fille de 18 ans sexy costumes. La seconde, c'est l'affaire de l'industrie: les filles ne doivent pas rester longtemps sur le marché, car les gens demandent de nouveaux visages. " Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement: "Hot Girls Wanted", des adolescentes dans le porno 10 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point. Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.
Bienvenue sur Welcome back Se déconnecter S'inscrire Se connecter
Le documentaire, qui montre des scènes crues, est rythmé par des chiffres surprenants, comme ceux du nombre de visites sur les sites pornos. En plein film, des bannières publicitaires "Latina Abuse" ("Filles latines agressées") ou "18 & Abused" ("18 ans et agressée") surgissent comme sur un écran d'ordinateur, accompagnées d'un bruit sourd. "Nouveaux visages" Jill Bauer et Ronna Gradus espèrent, avec leur documentaire, provoquer un débat dans la société américaine et peut-être des modifications dans la loi, surtout celle du travail, qui devrait, selon elles, imposer des règles plus strictes aux producteurs. A 18 ans, la belle pose en robe légère très transparente - Puretrend. Les scènes les plus dérangeantes du film sont les passages concernant les vidéos dites extrêmes. Parmi elles, certaines évoquent la pratique du "facial abuse" ("agressions faciales", soit les scènes de fellations forcées), que les nouvelles recrues sont incitées à pratiquer, moyennant une prime. "On ne pouvait même pas regarder, alors on a demandé à notre monteuse de regarder pour nous et de faire les choix", se souvient Jill Bauer, en parlant d'une séquence en particulier, qui a été coupée à l'image mais dont le son a été conservé.