Ce document, imprimé le 29-05-2022, provient du site de l'Union des Villes et Communes de Wallonie (). Les textes, illustrations, données, bases de données, logiciels, noms, appellations commerciales et noms de domaines, marques et logos sont protégés par des droits de propriété intellectuelles. Plus d'informations à l'adresse La Fédération des CPAS de l'Union des Villes et Communes de Wallonie représente et défend les intérêts des centres publics d'action sociale de Wallonie. Les 262 CPAS wallons sont donc tous membres de la Fédération des CPAS. Son Président dirige les travaux du Bureau exécutif et du Comité directeur, constitué de 24 membres. C'est l'organe décisionnel qui garantit l'autonomie politique de la Fédération des CPAS. En interne, la Fédération des CPAS, ce sont 18 membres du personnel: un directeur général, des conseillers juridiques, des économistes, des chargés de missions, des chargés de formations et des secrétaires qui viennent en appui aux conseillers et à la direction générale.
Publié le vendredi 25 Mars 2022 à 13h30 Les directeurs des 262 CPAS wallons regrettent le refus de prolongation du Fonds Covid, destiné à aider les catégories de population directement touchées par les effets socio-économiques de la pandémie, au-delà du 31 mars. Belga Réunis vendredi à l'occasion d'une assemblée générale de la Fédération des CPAS de Wallonie, ils ont également mis en lumière les difficultés d'utilisation pratique de ce fonds, notamment en matière des dépenses éligibles. «Nous regrettons amèrement que notre demande n'ait pas été entendue par le cabinet de la ministre fédérale des Pensions et de l'Intégration sociale, Karine Lalieux», ont fait savoir des membres de la Fédération. Comme l'ont pointé les directeurs de plusieurs Centres publics d'action sociale wallon, les effets socio-économiques de la crise sanitaire se font encore sentir pour certaines catégories de la population, telles que les indépendants. Certains acteurs de terrain constatent en outre un «effet retard» dans l'utilisation de ce fonds, certains bénéficiaires potentiels attendant parfois des situations critiques pour pousser la porte d'un CPAS.
Une mission quasi accessoire. " Une petite annexe de la Sécurité sociale. " C'est un peu comme ça qu'on conçoit les CPAS dans la loi organique de 1976, considère Luc Vandormael, président du CPAS de Waremme. Il préside aussi la Fédération wallonne des CPAS, au sein de l'Union des Villes et Communes de Wallonie. Elle tenait son assemblée générale ce vendredi matin. " En 2022, un quart de la population est touchée par des difficultés qui peuvent les amener au CPAS. Avec la crise énergétique, ça pourrait passer du quart au tiers. On est loin des quelques marginaux qu'on imaginait en 1976… " Back to 2008 Les crises se multiplient. Mais "la" crise des CPAS et de l'aide sociale, elle avait déjà commencé bien avant. La brèche s'ouvre en 2008, pose Luc Vandormael: " La crise bancaire. Et puis la réforme du droit aux allocations d'insertion, qui a un impact considérable sur les CPAS. De 2009 à 2019, on enregistre une hausse de 56% des bénéficiaires du revenu d'intégration. Mais dans le même temps, le personnel des CPAS n'augmente que de 7%. "
Fiche descriptive Message d'introduction à définir Réduire la carte Étendre la carte Url de la fiche descriptive: Résumé Accès Description Qualité Ressources associées Contact Cette couche de données localise les Centres Publics d'Action Sociale sur le territoire de la Wallonie Francophone Les centres publics d'action sociale (CPAS) sont des organismes publics, qui assurent la prestation d'un certain nombre de services sociaux et veillent au bien-être de chaque citoyen. Chaque commune a son propre CPAS offrant un large éventail de services. Le CPAS apporte l'aide la plus adéquate à toute personne en situation de besoin. Cette aide peut prendre diverses formes: palliative, curative ou préventive. Elle peut également être matérielle, sociale, médicale, médico-sociale ou psychologique. En raison de ses missions nombreuses et variées, le CPAS touche un public aussi large que diversifié, le Centre Public d'Action Sociale apporte une réponse à une situation individuelle, évaluée au cas par cas.
A lire: Découvrir le métier d'aide familial. e, un métier-clé pour les familles Enfin, ils souhaitent que l'indemnité de 0, 37euro du kilomètre actuelle soit majorée: " Avec le budget disponible, une majoration limitée aux seuls kilomètres missions pourrait s'élever à 0, 24 euro du km. En première analyse, un relèvement pour les kilomètres mission et ceux relatifs au transport de personnes aidées serait au moins égale à 0, 12 euro du km. " Une réponse est attendue dans les meilleurs délais. Pour en savoir plus, découvrez la lettre adressée aux ministres ici