Bonjour, je suis actuellement en LEA anglais-chinois, j'ai eu mon bac L il y a 5ans, j'ai fais 3 ans aux beaux arts, obtenu mon diplôme, travaillé 2 ans dans divers endroits basics (mcdo, caissière... ) je suis reparti sur des études car ca me fait mal au Coeur de finir ma vie équipière chez mcdo ou caissière, mais ca ne me plait pas, rien ne me passionne, rien ne va, je déprime, je suis perdu. J'ai l'impression que rien ne va aller par la suite, de perdre mon temps, de n'avoir ma place nul part. Je me pose des questions sur mon couple. J'ai peur de tout perdre car je me vois travailler nul part... Help! DOSSIER Enseignement L'enseignement est un domaine d'activité qui recrute dans le public et dans le privé. Que ce soit pour les élèves de maternelle ou les étudiants en université, découvrez toutes les informations pour travailler dans le secteur de l'enseignement. Voir le dossier
Les métiers du cinéma m'ont toujours intrigué, je rêverais de composer la musique d'un film ou même d'un jeu vidéo, ou bien même participer à leurs conception, pouvoir voir mon nom dans le générique! Je suis aussi musicien, pouvoir vivre de mes potentielles futures compositions serait génial! Mais dans le monde réel, le métier "créatif" m'assurant une situation stable et un salaire correct est développeur et là est tout le dilemme. Je suis donc dans une impasse. Je ne sais pas ou continuer. Mon dossier est très médiocre à cause de mon manque d'assiduité lui même causé par mon manque de motivation. Avec ma licence pro, je n'ai pas beaucoup de possibilité. Si je souhaite continuer dans l'info je vais devoir me tourner vers les écoles privées modestes et payantes car je ne serai pas accepté en Master et encore moins en école d'ingénieur. Mais si je n'ai pas apprécié ces 3 années, est-ce que j'apprécierai celles ci?? Ou bien je tente de changer de domaine, mais lequel? Les écoles de cinéma, les BTS sont très difficilement accessible, et ne garantissent pas un bon avenir, bien au contraire.
Bonjour à tous! Étant complètement paumé, ce message s'apparente pour moi à un dernier recours. Je suis diplômé d'une Licence Pro de Développement Web que j'ai effectué apres un BTS Informatique. Par manque de motivation / de choix et ayant des parents compréhensifs, je me suis autorisé une année sabbatique pour réfléchir à mon orientation. Durant mon adolescence (et toujours aujourd'hui d'ailleurs), j'ai baigné dans l'informatique, je m'amusais a bidouiller des PC, je m'intéressais un peu à la programmation (et je m'en lassais très vite). Mais cela relevait plus d'une grande curiosité que d'une réelle passion à part entière. En arrivant au lycée, j'étais quand même convaincu que la voie naturelle pour moi était celle des études en informatique, j'ai donc passé un BAC S de justesse puis je suis parti en BTS. Je n'ai pas apprécié mes années d'études, et ça pour de multiple raisons: - Je trouve les cours de programmation très vite écœurant et j'ai énormément de mal à y consacrer de l'intérêt, à me concentrer sur le sujet.
Cela peut être si changeant: certaines, par exemple, font de longues qui coûtent cher à la famille pour, simplement et sereinement, trouver l'homme qui leur convient et s(occuper des enfants qui naîtront de cette union. D'autres, auront le déclic de se déclarer en auto entreprise pour un projet qui épanouit leur savoir faire, leur passion. Alors, continue de faire ces expérience actuelles mais sans avoir le sentiment d'aller dans le mur: C'est plutôt celui d'acquérir des connaissances éclectiques et de les engranger parce que, un jour ou l'autre, certaines d'entre elles te permettront de réaliser que tu as le savoir faire qui convient au bon moment! Etre jeune, ce n'est pas évident parce qu'il y a beaucoup de pression avant l'heure. Seules le personnes qui ont une vocation (la musique, la peinture par exemple) ont moins besoin de trouver leur voie. Ca ne veut pas dire qu'elle soit plus facile non plus! Confiance choisir doucement qui tu es, Bifgfoot J'aime Vous ne trouvez pas votre réponse?
» Lire aussi Orientation: « Perdre son temps pour en gagner » ou les vertus des chemins de traverse De plus, s'il n'est pas insolite en France d'arrêter ses études pour les reprendre plus tard, le pari reste risqué: « La société est régie par une "police des âges", qui organise la vie des gens en fonction de leur nombre d'années », souligne le sociologue. Aux alentours de 25-26 ans, on considère qu'il faut entrer dans le monde professionnel. Les étudiants se retrouvent ainsi dans une « logique d'urgence » dans leurs études, pour ne pas se retrouver en décalage avec le reste de la société. Ne pas accumuler de retard Les concours sont un symbole de cette logique. Cette procédure méritocratique, typiquement française, « n'est pas adaptée aux adultes, mais pensée pour des jeunes, selon Nicolas Charles. Les concours prennent bien souvent une forme scolaire, impliquant un bachotage important. Ceux de l'enseignement, par exemple, n'évaluent pas les qualités plus singulières aux adultes, comme la pédagogie ».
Dans le cadre de la réforme de l'entrée à l'université mise en place sur la nouvelle plate-forme, Parcoursup, « certaines commissions d'examens de vœux réfléchissent à donner la priorité aux néobacheliers ou à imposer des quotas d'étudiants en réorientation », explique Sandrine Wachs, vice-présidente de la commission de la formation et de la vie universitaire à l'université Sorbonne-Nouvelle-Paris III. « Une "police des âges", qui organise la vie des gens » En cause, une façon très différente de construire son parcours d'études, selon que l'on soit en France ou dans d'autres pays européens. « Au Royaume-Uni et en Suède, le jeune mène ses études comme il l'entend. Il peut prendre un an de pause après le bac, étudier deux ans, travailler une année puis reprendre la fac », explique M. Charles. En France, les études sont pensées pour s'effectuer à temps plein, et les combiner avec une activité rémunérée n'est pas chose aisée pour réussir ses examens. « A l'étranger, le statut d'étudiant salarié permet mieux d'associer études et travail.