J'ai pris quelques jours de congé pour revenir vous voir mais je ne vais pas tarder à devoir y retourner. Et toi alors? Avec les filles, ça avance? - Pas trop… dis-je évasivement avec un petit geste de la main pour montrer que je n'ai pas très envie d'aborder le sujet. Et toi Justine, tu es toujours avec ton copain? - Oui, toujours avec Thibaut! Ca va faire deux ans et demi maintenant alors c'est du sérieux! répond-elle en souriant avec enthousiasme. - Vous allez bientôt habiter ensemble alors! dis-je en plaisantant. - Ca serait déjà fait si Papa et Maman ne me payaient pas un appartement aussi petit! répond-elle sur le même ton. Elle rit. Je saute ma cousin.pascal1. Je souris moi aussi en essayant de le regarder dans les yeux même si mon regard redescend inlassablement vers le décolleté. - C'est vrai que les rares fois où je l'ai vu à la maison, vous aviez l'air de bien vous entendre! - Oui, et je sais que tu as bien vu! ajoute-t-elle énigmatiquement. - Quoi? - Laisse tomber. Bon… Je m'étais réservé un chambre dans hôtel avec spa pour la nuit de Lundi à Mardi prochain.
Ses inspirations sont nombreuses. Breakdance, danse contemporaine ou classique, elle reprend différents styles et adopte de nouvelles approches. « C'est plus de l'art que du sport. On peut créer des choses uniques avec notre corps en mouvement ». Sur les réseaux sociaux, il n'est pas rare de la voir réaliser quelques pas de danse avec des figures connues comme des saltos ou des vrilles. Lilou Ruel est d'ailleurs très présente sur les applications comme Instagram. Douche avec ma cousine!!!. Pour elle, c'est un des aspects du métier de « freerunner »: « Shootings, sponsors ou clips, les réseaux sociaux me permettent de participer à de nombreux projets. Dans notre discipline, il n'y a pas que les compétitions qui comptent ». Une figure inspirante Avec ces mouvements artistiques et acrobatiques, Lilou Ruel est un modèle. Elle démocratise un sport encore trop peu féminin. Même si ça n'a jamais été son premier combat: « J'ai envie d'inspirer, mais ça n'a jamais été dans un but féministe. Beaucoup veulent en faire une cause.
Heureusement pour moi, c'était une jupe avec caleçon intégré. Il n'a jamais réussi. Je me suis retrouvée encore une fois honteuse avec mes collants verts d'herbe et troués aux genoux… moi j avais 15 ans, j'avais juste envie d'avoir un petit ami tendre et échanger quelques baisers et se tenir par la main… Bref, je passe le lot de blagues, de dragues qui mettent mal a l'aise et autres joyeuseté… Je remercie de tout mon cœur mon mari, celui que j'ai rencontré depuis peu. Je saute ma cuisine un. Nous nous sommes côtoyés plusieurs années d'amitié avant d'être ensemble en couple. Nous avons pris le temps de nous connaitre et avec lui j ai pu réapprendre les limites de mon corps, regagner ma liberté, connaitre la tendresse, échanger, discuter… faire l amour aujourd'hui n'a plus rien a voir avec les actes sexuels que je vivais avant. La difficulté c'est que j'ai pris conscience de tout ça face à lui et que tout ce qui était enfoui est ressorti. Colère, tristesse, envie de me protéger, parfois besoin de m'isoler longtemps pour me retrouver moi.
» A ce moment-là, sa mère intervient à temps pour calmer « l'imagination débordante » de son frère! De mon côté, aucun soupçon n'est formulé. Au contraire. Un simple amour de vacances? Alors que Raphaël entre en septembre en dernière année d'école de commerce à Bordeaux, mes parents m'encouragent à y aller aussi, suivre une formation en multimédia, car ils imaginent le bien que cela me ferait de m'éloigner de Paris, et d'Adrien, et que, en plus… « Tu ne seras pas seule, nous avons une amie qui y habite, et Raphaël termine ses études là-bas. Vous vous entendez si bien… » Au moment où je trouve cette histoire trop sulfureuse, ma mère me pousse à la faire durer! Je saute ma cuisine en. C'est presque avec impatience que j'attends la fin des vacances. Vivement la fin de la peur d'être surpris en flagrant délit… Raphaël et moi savons que nous nous retrouverons à Bordeaux. Le dernier jour au Touquet aurait dû être synonyme d'un au revoir à un amour de vacances qui n'aurait jamais dû voir le jour. Il s'est finalement transformé en un « à la semaine prochaine ».