D'après la photo faite juste après sa mort, on a reconstitue le cabinet de travail de Dostoïevski, où il a écrit les dernières pages de son œuvre. L'exposition littéraire consacrée à la vie et l'œuvre de l'écrivain, fait aux visiteurs connaissance à la biographie de ce génie de l'étude de l'âme humaine. Les collections du Musée sont très riches. Musée de l'Ermitage à St-Pétersbourg - Russie.net le Web franco-russe. C'est une grande bibliothèque où on peut trouver presque toutes les éditions des œuvres de Dostoïevski, y compris celles qui étaient parues de son vivant. Ce sont les photos de l'écrivain et de son entourage, des endroits qu'il avait visites où les endroits ou se passe l'action de ses œuvres. Les portraits de Dostoïevski et les illustrations pour son œuvre. Quelques objets authentiques appartenant a Dostoïevski ou au membres de sa famille et beaucoup d'autre. Le Musée dispose d'une salle de cinéma ou on peut voir les films et les spectacles ou bien assister aux conférences scientifiques annuelles « Dostoïevski et la culture mondiale. Maintenant, les travailleurs du Musée ont une grande expérience dans la domaine de l'organisation des expositions provisoires à l'étranger.
Puis d'art politique avec les portraits des grands de l'empire, à commencer par les Tsars eux-mêmes et leurs conseillers. L'art pour l'art ensuite, avec les grandes œuvres des maîtres de la peinture russe, comme Repine et ses comparses les Ambulants. Musée saint petersbourg russie paris. Et puis, l'art après l'art, avec la formidable liberté de l'Avant-garde russe du début du XX e siècle, Malevitch, Kandinsky, Vroubel, qui ont créé la peinture moderne et dans une certaine mesure l'art pictural utilisé par les affiches politiques puis la publicité. Enfin, l'art sans art, certains ont ainsi qualifié le réalisme socialiste. Plus agréable que l'Ermitage car il reçoit moins de visiteurs. Pourtant, le musée Russe redoute la concurrence de son voisin et certaines œuvres parmi les plus célèbres sont ainsi parties à l'Ermitage, comme le Carré Noir de Malevitch. Au XVIII e siècle, si l'art venu d'Occident a trouvé son temple dans l'Ermitage, le XIX e siècle, d'inspiration plus nationale, rendra urgente la création d'un musée consacré à l'art russe.
Le réalisme critique de Perov, exprimé dans Le Réfectoire du monastère, salle 23, est lui encore plus mordant... et grave. Les salles 20 et 21 exposent diverses vues de l'Antiquité et d'événements historiques (Morts des chrétiens, Mort de Néron), très appréciées par les notables de l'époque. Salle 23, on retrouve des scènes quotidiennes; on sourira entre autres devant La Dispute d'Ivan Ivanovitch et d'Ivan Nikitfovorich de Gribokov. La salle 24 est principalement consacrée aux paysages de Savrasov (1830-1897), souvent considéré comme le père de la peinture paysagiste russe. Musée saint petersbourg russie des. La section suivante est consacrée au groupe des Ambulants. En 1863, ces jeunes artistes de l'Académie refusent de continuer à peindre des sujets mythologiques et antiques, et de suivre les règles académiques en vigueur. Ils décident de fonder ce qui deviendra la société des Ambulants, présentant leurs peintures lors d'expositions ambulantes, pour éviter tout risque de censure. Leurs sujets de prédilection sont la vie populaire quotidienne (ainsi que ceux qui la vivent) et la nature.
Tous deux sont remarqués, lors de l'exposition panrusse qui a lieu à Moscou en 1882, par Alexandre III qui commande à Karl Fabergé des boutons de manchettes en forme de cigales. Dès 1884 Fabergé devient le fournisseur de la Cour Impériale de Russie, ce qui le place en concurrence directe avec le bijoutier Suédois Bolin. Le Musée d'Etat de l'histoire politique de la Russie.. Fabergé servira aussi sous Nicolas II et sera reconnu auprès des cours de Suède, Norvège, Angleterre, Thailande… Karl Fabergé quitte la Russie suite à la révolution Russe en septembre 1918 et mourra deux ans plus tard à Lausanne. Des bijoux et trésors sans pareil… Fabergé dénigre la mode de l'époque, il crée des bijoux merveilleusement travaillés, fins, légers, comparés à la mode "vieille Russie" qui fabrique à l'époque des bijoux de grandes tailles et lourds. Le tsar Alexandre III commande à Fabergé un bijou pour Pâques qu'il veut offrir à sa femme Marie Fiodorovna, Fabergé crée alors son premier oeuf en émail blanc que l'on ouvre pour y trouver une poule avec à l'intérieur une couronne et dans la couronne un petit oeuf en rubis.