Par exemple: problèmes liés au quotidien, à l'organisation de l'entreprise, etc. Dans cette analyse fonctionnelle de la situation, le consultant doit tenir compte des aspects psychologiques et de la personnalité des membres de l'équipe. Team building: Quels outils? La cohésion d'équipe peut-être amélioré par différent outils. Ces outils alternent afin de conserver un aspect ludique à l'approche. Des actions collectives s'appuient donc sur des exercices se déroulant à l'intérieur de la salle ou à l'extérieur. Ces exercices sont conçus spécifiquement pour mettre en lumière des aspects de dysfonctionnements identifiés au préalable. Des discussions et débriefings collectifs suivent ces exercices, pendant lesquels il est important que chacun puisse s'exprimer librement. Il est alors mis en place, des ateliers en petits groupes de travail. Cela permet donc aux membres de l'équipe de réfléchir à des plans d'action. Au cours d'une restitution finale, l'équipe et le consultant font le point sur les enseignements tirés de l'expérience collective.
Partager la publication "Les facteurs de la cohésion au sein d'une équipe de travail" LinkedIn Twitter Facebook Article mis à jour le 10 mars 2021 « La valeur de l'équipe n'est pas fonction de l'addition des capacités individuelles, mais de leurs combinaisons dans une complémentarité active. » Raymond Chappuis Une équipe n'existe et ne se donne efficacement à son travail que dans la mesure où elle présente une certaine cohésion. En physique, la cohésion indique « la force qui unit les molécules d'un liquide ou d'un solide ». Ainsi, appliquée à un groupe, la notion de cohésion renvoie aux facteurs qui maintiennent ensemble les membres d'un groupe et leur permettent de résister aux forces de désintégration. Le degré d'attraction du groupe Le degré de cohésion dépend, pour les membres du groupe, du degré d'attraction de celui-ci. Cette « valeur attractive » est fonction de l'intérêt des personnes pour les activités du groupe et son mode d'organisation. Cet intérêt est optimisé lorsque les éléments suivants sont clarifiés: Les objectifs qui déterminent le sens de l'action menée.
Comprendre ses modes de fonctionnement et donc mieux fonctionner ensemble. Apprécier ses talents. – Développer la confiance entre coéquipiers: étape préalable à toute coopération digne de ce nom. Pour cela, faire tomber les masques, savoir exprimer ses émotions (pas uniquement en one to one mais aussi en équipe) et accueillir celles des autres. – Favoriser la propension à se donner: individuellement et en équipe, pour l'équipe. Cultiver l'élan d'aller au-delà de ce qui m'est demandé et me soucier des préoccupations de l'autre et du collectif. En clair, ne pas agir –que- dans son intérêt propre. -Partager une finalité commune: converger vers un objectif commun, porteur de sens pour chacun d'entre nous. – Partager des signes d'appartenance: Pouvoir s'identifier collectivement grâce à un emblème ou à une tenue commune. Les forces armées ne rassemblent-elles pas des équipes remarquablement soudées? Les signes extérieurs partagés comme l'uniforme, le drapeau ou le cérémonial en sont une raison première.
Les membres du groupe étant suffisamment rassurés et reconnus font preuve de motivation par rapport au travail et aux objectifs, de solidarité et d'entraide, de communication active. Ils commencent ainsi inconsciemment à développer une culture commune. Extrait du livre « Communiquer efficacement » (GERESO édition – octobre 2010) Auteur: Guillaume LEROUTIER, Coach professionnel certifié en PNL (CQPNL), Formateur en développement du leadership,
La notion de cohésion peut se targuer d'être l'un des thèmes centraux de l'approche lewinienne et dynamique des groupes. Elle ne se conçoit théoriquement que référée à un groupe saisi comme un ensemble, c'est-à-dire comme un phénomène de groupe. Intuitivement, elle permet de répondre avec une apparente évidence aux questions intrigantes que les gens formulent à propos des groupes: pourquoi certains groupes se désagrègent-ils face à l'adversité, alors que d'autres en ressortent plus forts? Pourquoi dans certains groupes, mais pas dans tous, l'intérêt du groupe passe-t-il avant l'intérêt personnel? Comment un groupe moyennement doté réussit-il mieux qu'un autre supérieur en ressources, talents, expérience? Pourquoi la confiance se développe-t-elle dans certains groupes et pas dans d'autres? De même pour la coopération? Pour évoquer cette alchimie mystérieuse propre aux groupes, porteuse aussi bien d'enthousiasme et de fierté que de désarroi et de rancunes, d'union que de désunion, l'homme de la rue, comme les scientifiques, parlent spontanément de cohésion ou d'absence de cohésion.
Menace et concurrence Un groupe sera plus uni lorsqu'il rencontrera des difficultés. Les membres seront prêts à mettre leurs différences de côté et à travailler à la résolution du problème en question. Par exemple, si une organisation hostile veut prendre le contrôle d'une société particulière, le conseil d'administration présentera un front uni pour empêcher l'acquisition. De même, les menaces de la direction et la concurrence sont susceptibles d'unir une équipe par ailleurs désorganisée. Jean D. Je suis tombé dans le web il y a peu et je prends plaisir à tester, partager et m'amuser sur ce site multi-thématique! Boulanger de formation, je suis curieux et aime découvrir toujours de nouvelles choses et astuces! Marianne ma compagne partage également ma passion et ma soif de découverte!