Le bec de la cigogne y pouvait bien passer; Mais le museau du sire était d'autre mesure. Le renard et la cigogne resume - 779 Mots | Etudier. Voilà donc la conclusion, le renard a pris un râteau et ça nous fait tellement plaisir que la description dure trois vers avant la moralité qui lui est liée par les rimes. Il lui fallut à jeun retourner au logis Honteux comme un renard qu'une poule aurait pris Serrant la queue et portant bas l'oreille. Trompeurs, c'est pour vous que j'écris Attendez-vous à la pareille Autres fables de La Fontaine étudiées sur ce blog: La Mort et le Bûcheron – La Fontaine Le Lièvre et la Tortue – Jean de La Fontaine La Fontaine: la jeune veuve Le renard et le bouc- fable de La Fontaine
Commentaire de texte: Commentaire « Le Renard et la Cigogne », Jean de La Fontaine. Rechercher de 50 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires Par • 25 Mars 2019 • Commentaire de texte • 1 836 Mots (8 Pages) • 3 837 Vues Page 1 sur 8 Commentaire « Le Renard et la Cigogne », Jean de La Fontaine Les Fables de La Fontaine sont considérées comme un recueil de la sagesse populaire, ses morales sont devenues des proverbes, La Fontaine est un auteur classique du XVIIe siècle, né en 1621 a Château Thierry. Il s'est beaucoup inspiré de Phèdre et Esope pour la rédaction de ses fables dans lesquelles il emploie vigoureusement des personnifications. Ses fables ont pour but d'instruire et de critiquer la société de son époque. Dans « Le Renard et la Cigogne » l'auteur raconte une histoire de vengeance, la morale est explicite. Le renard et la cigogne analyse 6ème les. Comment La Fontaine utilise-t-il les animaux pour représenter la société du XVIIe siècle? D'abord nous allons parler d'un récit plaisant, ensuite des animaux miroirs des hommes, puis enfin de l'hypocrisie des relation sociales La fable « Le Renard et la Cigogne » constitue ainsi avant tout un récit plaisant, grâce à sa structure, à son rythme vif et sa variété dans les vers et rimes.
Le renard et la cigogne La source de la fable se trouve chez Ésope – le Renard et la Grue. La Fontaine utilise beaucoup les mots compère et commère dans ses fables. Ces mots n'ont plus le sens d'origine de parrain et marraine. Pour notre auteur, les compères et commères ne sont pas des amis, plutôt des connaissances qui se lient à l'occasion (le début du mot vient du latin « cum » qui signifie « avec »), parfois pour un mauvais coup. C'est ici une façon familière de les nommer: ce sont des gens comme vous et moi, ils n'ont pas de titre particulier mais sont bien connus «au village» pourrait-on dire. Aujourd'hui, on dirait peut-être «le père Renard», «la mère Cigogne». Français...U. Compère renard se mit un jour en frais «se mit en frais» signifie décider d'offrir un bon repas. C'est «je t'invite à un bon resto». On voit que ce n'est pas une habitude avec «un jour» et l'emploi du passé simple qui est un temps employé pour une action isolée. On a compris que le renard est avare, il n'aime pas dépenser.
I - Les personnages 1. Les principaux personnages de cette histoire sont le lièvre et la tortue. 2. « celle-ci », « ma commère » désignent la tortue; « notre lièvre », « l'animal léger » désigne le lièvre. 3. Le procédé consistant à donner des sentiments ou à faire parler un animal est la personnification. 4. Le procédé qui consiste à désigner un personnage par une expression plutôt que par son nom est la périphrase; « l'animal léger » en est un exemple. 5. La tortue propose au lièvre un pari: elle arrivera plus vite que lui au but fixé. 6. La tortue emporte le pari, car le lièvre, trop sûr de lui, s'est attardé. 7. « Sitôt? » et « Êtes-vous sage? » sont deux phrases interrogatives; « Eh bien! Le renard et la cigogne analyse 6ème par. », « Moi, l'emporter! » sont deux phrases exclamatives. Les phrases interrogatives sont prononcées par le lièvre. La tortue prononce les phrases exclamatives. 8. Les phrases prononcées par le lièvre montre l'étonnement, l'amusement et l'assurance de celui qui est convaincu de gagner. Les propos de la tortue expriment l'étonnement, la joie et la satisfaction d'avoir gagné une course qui semblait perdue d'avance.