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4 Ils ont constaté que se gratter est bien un signe de stress, en particulier social, car ce geste se produit davantage en présence de dominants ou d'ennemis. En outre, cette manifestation corporelle diminue le nombre de combats et de conflits: le risque d'agression chute de 75% pour un singe stressé qui se gratte, comparé à celui qui ne montre rien. Les primates n'ayant pas de lien social fort évitent ainsi les confrontations. 5 Et cela profite à tous: les manifestations du stress contribuent à la cohésion sociale. Cerveau et psycho novembre 2015 cpanel. Pourquoi? D'un point de vue évolutif, et pour les macaques en particulier, les attaquants évitent ainsi d'agresser des individus qui ont un comportement imprévisible et donc potentiellement dangereux, ou, à l'inverse, des congénères qui semblent affaiblis par le stress, ce qui rendrait l'attaque inutile. Or se battre coûte cher en énergie. 6 Montrer son stress est donc une forme de communication sociale. Les individus les plus empathiques tirent profit de leur faculté à le détecter chez les autres, ce qui confère un avantage à tout le groupe.
N°94 – décembre 2017 Feuilleter sur La méditation thérapeutique « Le dossier de ce nouveau numéro révèle ainsi que la méditation peut contribuer à rajeunir notre cerveau, atténuer la douleur ou vaincre la dépression. Neurobiologie Un cerveau plus jeune en méditant Comment ralentir le vieillissement cérébral et limiter les risques éventuels de maladie d'Alzheimer? Ces dernières années, l'essor des pratiques méditatives a suscité l'intérêt des chercheurs, qui ont lancé de vastes études pour tester leur effet protecteur. Avec de premiers résultats encourageants. Neurosciences « la douleur peut être vécue sans angoisse » La pratique de la méditation change notre rapport à la douleur. Celle-ci est débarrassée de sa composante émotionnelle et devient moins aliénante. Cerveau et psycho novembre 2017 en. Explications de Jean Gérard Bloch, responsable du diplôme universitaire Médecine, méditation et neurosciences, à l'université de Strasbourg. Thérapie Méditer contre la dépression Après un épisode dépressif, le principal danger qui guette les patients est la rechute.
En analysant les mécanismes qui y conduisent, les chercheurs en psychiatrie comprennent pourquoi la méditation, associée à des thérapies plus classiques, réduit fortement le risque de ces récidives. » du mercredi 29 novembre 2017 qui est consacrée à ce numéro.