Le médecin-colonel Ibrahima Socé Fall, né le 08 février 1966 à Dakar est le Directeur-Général Adjoint de l'OMS en charge de la réponse aux urgences et sous-secrétaire Général des Nations Unies. Dr Fall est un pur produit de l'école publique sénégalaise et de l'Institut de santé et Développement. Après son baccalauréat obtenu avec mention Bien au Lycée Abdoulaye Sadji de Rufisque, il réussit le très sélectif concours d'entrée à l'Ecole Militaire de Santé de Dakar. En Décembre 1992, il soutient sa thèse de doctorat d'état en médecine sur un sujet de médecine interne et d'épidémiologie clinique à savoir « l'épidémiologie de l'ulcère gastro-duodénal chez les patients diagnostiqués par fibroscopie à l'hôpital principal de Dakar ». Son directeur de thèse fut le professeur Ibrahima Wone qui était le directeur de l'ISED à l'époque. Dr Fall fera aussi sa spécialisation en santé publique avec la 7 ème promotion. Bien qu'ayant terminé toute sa formation doctorale de troisième cycle aux Etats Unies, il préfèrera soutenir sa thèse à l'ISED quand l'Ecole doctorale fut crée pour contribuer au rayonnement de son école d'origine avec comme directeur de thèse le professeur Anta Tal-Dia.
Biographie Irahima Socé Fall Le médecin-colonel Ibrahima Socé Fall, né le 08 février 1966 à Dakar est le Directeur-Général Adjoint de l'OMS en charge de la réponse aux urgences et sous-secrétaire Général des Nations Unies. Dr Fall est un pur produit de l'école publique sénégalaise et de l'Institut de santé et Développement. Après son baccalauréat obtenu avec mention Bien au Lycée Abdoulaye Sadji de Rufisque, il réussit le très sélectif concours d'entrée à l'Ecole Militaire de Santé de Dakar. En Décembre 1992, il soutient sa thèse de doctorat d'état en médecine sur un sujet de médecine interne et d'épidémiologie clinique à savoir « l'épidémiologie de l'ulcère gastro-duodénal chez les patients diagnostiqués par fibroscopie à l'hôpital principal de Dakar ». Son directeur de thèse fut le professeur Ibrahima Wone qui était le directeur de l'ISED à l'époque. Dr Fall fera aussi sa spécialisation en santé publique avec la 7 ème promotion. Bien qu'ayant terminé toute sa formation doctorale de troisième cycle aux Etats Unies, il préfèrera soutenir sa thèse à l'ISED quand l'Ecole doctorale fut crée pour contribuer au rayonnement de son école d'origine avec comme directeur de thèse le professeur Anta Tal-Dia.
Toujours pour le Pr Wone, la musique sénégalaise peine surtout à s'imposer à l'extérieur, les différentes reconnaissances internationales reçues par les plus grands noms de la musique locale sont en réalité les fruits d'un compromis qui n'a pas pour le moment l'effet escompté sur la musique sénégalaise. Même si des groupes et artistes comme l' Ochestra Baobab, Cheikh Lô et Faada Freddy portent haut l'étendard de la musique sénégalaise, ces étoiles aussi scintillantes qu'elles soient cachent mal l'état actuel de l'industrie du disque locale. Aujourd'hui, la télévision est devenue pour lui le cœur de l'industrie de l'enregistrement, en effet, les anciens détenteurs de maisons de production tendent tous à devenir des magnats de la presse, imiter en cela par la nouvelle génération de musiciens sénégalais. L'ancienne génération cède la place à la nouvelle Pendant plus de 30 ans les grands noms de la musique sénégalaise étaient: Youssou N'Dour, Omar Pène, Ismaël Lô, Baaba Maal, Thione Seck. Pour le Prof Wone, on est en train de vivre, actuellement une période charnière ou une nouvelle génération de jeunes artistes comme Pape Diouf, Wally Seck, Pape Birahim, Momo Dieng, etc... va prendre les rennes de la musique sénégalaise.
SeneWeb présente ses condoléances à l'ancien ministre et à toute sa famille.
Ma cousine Fatou Ly le secondait bien et préparait toujours une marmite bien large qui nourrissait tout le monde à satiété. Personnellement, j'attendais impatiemment les vacances pour débarquer à Diourbel, à Dakar Sicap Jet d'Eau ou à Fann Résidence. Le Coran son premier compagnon Autant on pouvait louer le Professeur pour ses capacités intellectuelles exceptionnelles, autant on le pouvait pour ce qui était de sa religion. Erudit du Coran, il ne faisait aucune concession pour la pratique de la prière. Quand on séjournait chez lui on se pliait à la règle, la prière se faisait ensemble sous sa direction: tôt le matin pour la prière du Fajr (lever du soleil), tout le monde devait être sur pieds! Pas de pitié, même pour les enfants, il fallait se réveiller pour prier, et ainsi de suite pour toutes les autres prières, de sorte que le pli était pris pour les enfants devenus adultes, à ne négliger sous aucun prétexte la prière. Pour ses filles, il était hors de question d'être dehors jusqu'à la prière de magreb (coucher du soleil), quelque soit l'occasion ou la sortie, elles se dépêchaient de rentrer à la maison avant le coucher du soleil.
Il était une foi, une encyclopédie. La première semble tenir de l'inné plus que de l'acquis si l'on sait l'exemplarité en matière de piétè et de soumission de son grand père, le cadi titulaire Cheikh Hamidou KANE et de son père, Thierno Amadou Tidiane WONE tout à la fois marabout et riche commerçant; par contre la seconde a été forgée au fil des ans grâce aux ingrédients qu'il entretient en lui: intelligence, mémoire, sens de l'organisation, esprit de méthode. Vous constaterez que ces termes énumérés ne comportent pas de qualificatif. La raison en est que le superlatif l'apercevant de loin, s'écarte de son chemin de peur d'être terni par son sillage; l'excellence, par contre, lui emboite le pas, fière de servir de valet à un tel maitre; le subjonctif, sorti des oubliettes où il était confiné, par ce prestidigitateur du verbe, aura du mal à retrouver sa place à cause de l'applaudimètre « qui n'en finit pas de finir » semblable en cela à la neuvième symphonie de Beethoven. Ceci me rappelle que le médecin marabout était aussi mélomane éclectique, amoureux du grand compositeur avant que le Saint Coran et le wiird n'occupent tout le terrain.