33 poèmes < 2 3 4 5 6 Phonétique: savonner savonnera savonnerai savonneraient savonnerais savonnerait savonneras savonnèrent savonnerez savonnerie savonneries savonneriez savonnerions savonnerons savonneront savonnier savonnière savonnières savonniers souvenir souvenirs souvinrent Au vieux roi de Thulé sa maîtresse Adèle Avait fait en mourant don d'une coupe d'or, Unique souvenir qu'elle lui laissait d'elle, Cher et dernier trésor. Dans ce vase, présent d'une main adorée, Le pauvre amant dès lors but à chaque festin. La liqueur en passant par la coupe sacrée Prenait un goût divin. Et quand il y portait une lèvre attendrie, Débordant de son coeur et voilant son regard, Une larme humectait la paupière flétrie Du noble et doux vieillard. 06 – Je me souviens de toi telle… de Pablo NERUDA dans 'Vingt poèmes d'amour et une chanson désespérée' sur UnJourUnPoeme.fr : lectures, commentaires, recueils. Il donna tous ses biens, sentant sa fin prochaine, Hormis toi, gage aimé de ses amours éteints; Mais il n' attendit point que la Mort inhumaine T' arrachât de ses mains. Comme pour emporter une dernière ivresse, Il te vida d'un trait, étouffant ses sanglots, Puis, de son bras tremblant surmontant la faiblesse, Te lança dans les flots.
O frère, ô jeune ami, dernier fils de ma mère, O toi qui devanças, dans le val regretté, Cette enfant, notre sœur, une rose éphémère, Qui ne vécut qu'un jour d'été; Que fais-tu, cher absent, ô mon frère! à cette heure Où mon cœur et mes yeux se retournent vers toi? Ta pensée, évoquant les beaux jours que je pleure, Revole-t-elle aussi vers moi? Souvent dans mon exil, je rêve à notre enfance, A nos matins si purs écoulés sous les bois, Et sur mon front le vent des souvenirs balance Les molles ombres d'autrefois. Pour tromper les ennuis d'un présent bien aride Pour rafraîchir mon pied que la route a lassé, Je remonte, songeur, à la source limpide Qui gazouille dans mon passé. Poème souvenir de toi un. De nos beaux jours c'était le matin et le rêve: Tout était joie et chants, fleurs et félicités! O bonheurs des enfants que le temps nous enlève, Pourquoi nous avez-vous quittés? Nous étions trois alors. Éveillés dès l'aurore, Sortant du nid à l'heure où l'aube sort du ciel, Nous allions dans les fleurs qu'elle avait fait éclore Boire la rosée et le miel.
Elle et toi, de concert à ma voix indociles, Vous braviez du soleil les torrides chaleurs. Quand ma mère accourait, l'arbre aux ombres mobiles Voilait nos plaisirs querelleurs. Elle avait tout vu. Quittant le frais ombrage, Nous lisions notre faute à son front rembruni. Moi – j'étais votre aîné – bien qu'étant le plus sage, Je n'étais pas le moins puni. Nous la suivions. Bientôt, trompant sa vigilance, Nous revolions aux champs, au grand air, au soleil, Et des bois assoupis, tiède abri du silence, Nous allions troubler le sommeil. Alors, malheur à l'arbre à la grappe embaumée, Au fruit d'or rayonnant à travers les rameaux! Nous brisions branche et fruits, la grappe et la ramée, Et jusqu'aux nids des tourtereaux. Poème souvenir de toi pour. Et puis nous descendions la pente des ravines, Où l'onde et les oiseaux confondaient leurs chansons, Nous heurtant aux cailloux, nous blessant aux épines Des framboisiers et des buissons. Un lac était au bas, large, aux eaux peu profondes. Sur ses bords qu'ombrageait le dais mouvant des bois, Avec les beaux oiseaux furtifs amis des ondes, Enfants, nous jouions tous les trois.
Et mon âme vagabonde s'est attachée… C'était toi que je désirais sans le savoir. Toi, qui raisonna en écho dans ma mémoire. Toi, qui fanais depuis des ans sans t'émouvoir. Toi, qui te délabrais sans en faire une histoire. Je vais te redonner l'éclat du temps passé. Poème : Le souvenir. Oui, toi en disgrâce, à l'agonie présagée, Je vais te parer de couleurs, te sublimer, Je vais te revêtir d'étoffes chamarrées. Toi, ma maison… Publié par christ'in J'ai commencé l'écriture comme un défi à relever, puis l'écriture m'a emportée dans ses synonymes et son vocabulaire. Ecrire m'apprend la persévérance, la patience et l'humilité Voir tous les articles par christ'in
Les deux strophes suivantes au futur sont plus tristes, plus désespérées, plus tragiques. Elles insistent sur la permanence du lien, même sur son éternité dans la dernière strophe. Poème souvenir de toi en. Nous comprenons bien qu'il n'est nulle question de réciprocité, mais de l'élan d'un cœur vers un autre qui ne résonne plus… Le souvenir est-il assez puissant pour réunir de nouveau deux amants? A chacun sa réponse selon l'optimisme et la force de la passion… mienne a changé ces derniers jours. Si vous le souhaitez, prenez 1 minute pour lire cet article et peut-être m'aider dans ma mission d'amour: Je lance un appel aux forces de l'amour! Faites circuler les poésies d'amour de 👩❤️👨 Pages Facebook: Les cours Julien, ou Bac de français Twitter:@lescoursjulien Contact:
24/05 14:20 Syntax_Error Bon après-midi chez vous. 21/05 18:19 Lys-Clea Bonsoir Olivier.. :) 21/05 18:13 CRO-MAGNON bonjour claire 19/05 12:05 Chrysantheme Que ce soit au solstice ou à l'équinoxe salut ParadoXx 19/05 12:03 Chrysantheme Poursuivez votre quête de l'amour des vers 19/05 12:00 Chrysantheme Bonjour les poètes les troubadours les trouvères 17/05 13:10 ParadoXx696 Belle journée à tous! :) 16/05 13:40 Vermeil Bonjour à tous! 16/05 11:21 Yuba Bonjour Georges et bonjour à toustes les poètes de Icetea:) 08/05 10:42 jacou Bonjour à la communauté Icetea, bon dimanche non férié, mais l'esprit y est car mai te fait ce qu'il lui plaît! :D 07/05 21:37 Souffle de l'esprit Bonsoir à tous et à toutes. 07/05 15:17 Matriochka Bonjour à toutes les plumes bien inspirées, agréable weekend:-) 07/05 15:17 Matriochka Lesquels maux attendent d'être mis en mots;-) 07/05 11:24 Chrysantheme ne restent que les maux 07/05 11:24 Chrysantheme l'inspiration hiberne 07/05 11:23 Chrysantheme comme un drapeau de mots 07/05 11:23 Chrysantheme Ma plume est en berne 06/05 20:09 Syntax_Error Bon week-end à tous.