Si vous êtes plus intéressé par le machine learning et les exemples eux-mêmes, la fonctionnalité des noyaux s'est améliorée de mieux en mieux avec le temps. Le pudding Il est vrai que les essais visuels sont une forme de journalisme émergente. Le Pudding incarne ce mouvement comme nul autre. L'équipe utilise des ensembles de données originaux, des recherches principales et l'interactivité pour explorer des tonnes de sujets intéressants. Data analyst / Data scientist : métier, études, diplômes, salaire, formation | CIDJ. Cinq Trente Huit Un classique, mais toujours bon à ce jour. Je veux dire, allez, Nate Silver est l'homme. Le blog axé sur les données aborde tout, de la politique au sport en passant par la culture. Sans oublier, ils viennent de réorganiser leur page d' exportation de données bien améliorée. Vers la data science Enfin, je tiens à féliciter l' équipe TDS pour avoir réuni cette communauté de personnes intelligentes, passionnées par la réalisation de nombreux objectifs et aidant les autres à se développer dans le domaine des données. Parcourir des histoires récentes vous apportera plus que quelques idées de projets intéressantes chaque jour.
"Les données sont comme le pétrole brut. Précieux, mais non raffiné, il n'est pas vraiment utilisable. Le pétrole doit être converti en gaz, plastique, produits chimiques, etc. afin de créer une entité précieuse qui génère une activité rentable. Les données doivent être décomposées de la même manière, analysées pour avoir de la valeur. Projet Data: Les 5 étapes cruciales by DataScientest. " –Michael Palmer Partenaires Le KBR Data Science Lab a été créé sur la base d'une collaboration à long terme avec le groupe de recherche Digital Mathematics (DIMA) de la Vrije Universiteit Brussel (VUB). Cette collaboration est soutenue et financée par Belspo dans le cadre du programme FED-tWIN. Chef de projet Prof. Dr. Tan Lu Chercheur à KBR: Professeur assistant à la VUB: Promoteurs Frédéric Lemmers, Responsable de la numérisation, KBR Prof. Ann Dooms, Chargé de cours digital mathematics (DIMA), VUB
2. Récupérer et explorer les données Au moment de récupérer les données sur lesquelles vous allez travailler assurez-vous en priorité que vous bénéficiez de l' environnement de travail optimal: Avez-vous bien tous les packages dont vous avez besoin? On peut être amené à travailler sur plusieurs projets à la fois nécessitant plusieurs environnements. Si vous avez peur de créer des conflits n'hésitez pas à créer des environnements virtuels isolés. 10 projets de big data intéressants – Kaspersky Daily – | Blog officiel de Kaspersky. Une fois que vous avez vérifié votre environnement de travail il est temps de télécharger et explorer les données. Une analyse descriptive et visuelle est cruciale pour comprendre la structure, les forces et les faiblesses de votre jeu de données. Il faut repérer les types de variables dont vous disposez (qualitatives, quantitatives) et ne pas hésiter à regarder si il n'y a pas de combinaisons prometteuses à tester pour votre modèle. Enfin pensez à étudier les corrélations entre les différentes variables, cela vous aidera à comprendre vos données dans leur globalité.
#2. À circuler en ville sans subir les embouteillages Par exemple, lorsque Yandex Company a aiguisé ses compétences en matière d'analyse de données, ils ont décidé de regarder ces données sous un autre angle. C'est la raison pour laquelle Yandex Traffic a vu le jour. Cette technique consiste à analyser l'information à partir de différentes sources afin de nous renseigner en temps réel sur l'état du trafic routier d'une ville. And it's a number 9 (out of 9) on the Yandex traffic ratings! #Moscow — Jack Farchy (@jfarchy) June 11, 2014 Il s'agit d'un outil fantastique pour les grandes métropoles au sein desquelles les embouteillages sont un vrai calvaire. Vous êtes-vous déjà rendu à Moscou? Un conseil d'ami: si vous vous y rendez, essayez cet outil qui aide actuellement des millions d'automobilistes moscovites. #3. À sauver les espèces rares d'animaux et attraper les braconniers Les braconniers chassent le tigre du Bengale, une espèce menacée d'extinction, afin de fabriquer des médicaments à partir de leurs os très populaires auprès d'une population chinoise superstitieuse.
Ils connaissent chaque coin et recoin de la zone où se trouvent les tigres, et il serait très difficile de les attraper sans…big data. Study uses big data to target and thwart Indian tiger poachers #wildlife #animal — Emrals (@EmralsNYC) January 21, 2015 #4. À rendre nos villes vertes La ville de New York fut l'une des plus dangereuses à cause des vieux arbres qui tombaient sur la tête des citoyens et sur leurs biens, jusqu'à ce que les autorités trouvent une solution. À présent, les big data leur indiquent comment maintenir les espaces verts de la Big Apple. Pretty cool: "New York Turns to Big Data to Solve Big Tree Problem via @CIOonline #CIO — Debra Bulkeley (@dbulk) June 5, 2013 #5. À comprendre pourquoi la cuisine indienne est unique en son genre Les scientifiques ont étudié de nombreuses recettes et ont découvert que l'hypothèse du mariage des aliments s'applique bien à toutes les cuisines du monde – à l'exception de la cuisine indienne. Negative food pairing in Indian cuisine – because science.
Se moquer du public fait partie des codes de ce genre de spectacle, et celui-ci est plus ou moins consentant. Mais l' abus d'ironie grinçante peut finir par être fatal. Surtout quand il s'agit d'ironiser sur la figure – caricaturale et largement fantasmée, puisqu'on est dans un théâtre d'archétypes – d'une sorte de bobo bien-pensant, en prétendant prendre une distance, alors même que le second degré est précisément l'un des marqueurs même de ceux que l'on montre du doigt. N'est pas Desproges qui veut! Chien de navarre jusque dans vos bras un. Au-delà, on ne sait trop que penser du propos, et, en fait, on ressort avec l'impression qu'il n'y en a peut-être pas. Le thème est clair: qui sont-ils, à quoi se raccrochent-ils, ceux qui se disent ou se veulent Français? Mais, finalement, à partir dans tous les sens et à tout dynamiter, le spectacle ne résout rien: le message serait-il qu'il n'y a aucune vérité en la matière, que chaque définition est à la fois bonne et mauvaise, que tout le monde est déboussolé et que tous les mythes fondateurs ne sont que des chimères?
Là où le plateau était recouvert de sable pour leur précédent opus, Les armoires normandes, il est cette fois couvert d'un gazon tendre. Seul élément saillant de la scénographie à l'arrivée du public, un lampadaire se dresse en fond de scène et répand sa lumière blafarde sur l'espace. Cette tension entre une grande économie de moyens, une mise en scène qui assume sa facticité et une parfaite exécution dans le rythme des saynètes se retrouve tout au long de la représentation. Comme pour tous les spectacles de la troupe, c'est l'écriture de plateau qui prévaut. Pour la meute, l'improvisation est autant une méthode de travail qu'un parti pris esthétique. Chien de navarre jusque dans vos bras en. C'est ainsi que la forme peut garder toute son énergie et surtout cette maladresse hilarante si caractéristique. Comme l'explique Jean-Christophe Meurisse, ce qui les intéresse lui et ses partenaires c'est le sublime triste de la maladresse, ces petits moments mal réglés, déstabilisants, où les certitudes idéologiques se confrontent à la trivialité du quotidien et à ces flottements imprévisibles.
Scénographie de choc: pour l'occasion, la scène de la MC93 a été recouverte de vrai gazon. Quatre machines à fumée entretiennent un brouillard épais. Un lampadaire est planté à cour. Cela n'empêchera pas de considérer le plateau comme une mer à traverser pour un zodiac rempli de migrants, ou comme le salon d'un couple aisé, à l'aide de quelques canapés et d'une bibliothèque. Sans cesse, le public est ramené à se rappeler de la convention théâtrale, avec des changements de décor à vue, ou des commentaires des comédiens adressés à la salle, critiquant tout ce qui leur passe sous la main: le nom des personnages, les costumes, les décors, le public lui-même, le lieu… Sans cesse, le théâtre déborde du plateau, ça joue dans les escaliers, le public est sollicité et mis en jeu à son tour… Rien qui ne soit complètement nouveau: on est là dans les codes d'un théâtre qui se veut iconoclaste et subversif, imprévisible et incontrôlable. Chien de navarre jusque dans vos bras.fr. Dans ce décor s'enchaîne une succession de saynètes, qui sont autant de galeries de personnages plutôt savoureux, et de radioscopies d'une société française qui a perdu sa boussole.
Armé de son rire féroce et décapant, le collectif des Chiens de Navarre bouscule avec une provocante jubilation une certaine idée de l'identité française qu'il passe à la moulinette. A thème sérieux, traitement furieusement foutraque et irrésistible: on rit sans retenue. Ciblant le repli, les a priori et les contradictions d'une société déboussolée face au chaos du monde, « Jusque dans vos bras », le dernier spectacle de la meute à voir jusqu'au 2 décembre aux Bouffes du Nord, est un exutoire parfait aux angoisses et névroses collectives. «Jusque dans vos bras» : le rire féroce des Chiens de Navarre - Le Parisien. Sur une pelouse véritable couvrant entièrement le plateau, les dix comédiens mis en scène par Jean-Christophe Meurisse s'ébrouent dans une succession de tableaux délirants. Un déjeuner sur l'herbe de bobos aux discussions suintant de préjugés - immigrés, homosexuels, école publique - et qui vire immanquablement à l'hystérie. Idem pour ce couple bien-pensant qui accueille une famille de migrants chez lui ou cette tranche de vie d'un bureau spécialisé dans l'aide aux réfugiés politiques.
L'effet coup de foud(t)re laisse place à plusieurs reprises à un certain ennui lié à la répétition du même. Des ficelles, parfois épaisses comme des cordages, cousent entre elles les saynètes d'une dramaturgie dont la marque de fabrique frappée du sceau de l'irrespect semble s'accommoder un peu trop facilement des poncifs du genre – le leur – participant à une mécanique bien huilée. Ainsi certaines « saillies », sûres de leurs coups, ne nous surprennent plus vraiment et ne constituent pas – c'est un comble pour ces trublions déchaînés, affranchis de tout diktat – un véritable risque mais tout au contraire font figure de rentes obtenues sur investissements précédents.
Parallèlement à ces saillies affranchies, libérées des diktats du bon goût, un homme ventripotent allongé sur une serviette se relève et court à poil dans tous les sens en jouant avec sa zigounette dans un entrain communicatif. Là on ne se demande plus si on est encore dans un second degré faisant voler en éclats les préjugés, pour acter – hélas – le glissement vers la facilité d'un ras des pâquerettes visant à ratisser large en provoquant un rire gras à ventre déboutonné. La contestation libertaire s'est mue en (qué)quête du bon rire franchouillard. Jusque dans vos bras, Les Chiens de Navarre - MA CULTURE. Autres tableaux plus convenus que libertaires, celui d'un De Gaulle géant rencontrant une Marie-Antoinette jugulant le sang qui s'écoule de son aorte ouverte en y glissant un tampax, ou encore celui d'une Jeanne d'Arc – porte drapeau de l'identité française s'il en est – en cotte de mailles dépenaillée et à la figure bien amochée qui supplie quelqu'un de l'assistance de bien vouloir honorer son insterstice, ce dernier lui créant le temps passant une réputation trop dure à porter.