L'aliboufier Styrax officinal est fréquent dans le pourtour Méditerranéen. Il donne également une résine solide qui porte le même nom de storax mais son usage a pratiquement disparu. Effets / pourquoi? La combinaison balsamique et ambrée fleurie de cette résine est unique. Elle favorise la détente physique et psychique ainsi que la prière et la méditation. Encens Storax 15 gr- Bâtonnets-poudre-grain-feuilles-cône-Cavailon. Parole de sage «Les usages spirituels de cette résine sont les plus courants. Une perception plus fine de ces effets, en rapport avec la discipline monastique et ésotérique, décrivent et précisent ces effets comme suit: favorise le sens des responsabilités, la constance, la fidélité, protège contre les énergies négatives, aide à sublimer les pulsions vitales. » Parole d'utilisateur «J'utilise la résine de storax pour me relaxer et me détendre, particulièrement en fin de journée. Je trouve que le parfum floral et doux qui s'en dégage embaume la pièce et apaise l'esprit. Elle apporte une note sucrée, son utilisation est idéale dans les petites pièces comme la salle de bain et la chambre lorsque l'on prend un bain ou que l'on se fait masser.
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Il sera saint pour toi, réservé à L'Eternel. Quiconque fera le même pour en humer l'odeur sera retranché de son peuple. » De tous les parfums, l'encens est certainement celui qui a le passé le plus prestigieux. On le considérait dans l' Antiquité comme plus précieux que l' or, et la route de l'encens a fait la fortune de plusieurs royaumes arabes. Encens storax ou trouver une. [réf. nécessaire] Traditions [ modifier | modifier le code] Antiquité [ modifier | modifier le code] Les Égyptiens, considérés comme les plus grands parfumeurs de l'Antiquité, firent eux aussi un grand usage de l'encens, qui entrait notamment dans la composition du kyphi. Le nom même de l'encens dans l'ancienne langue égyptienne est évocateur. Le mot « netcher » désignait ce qui relevait des dieux ou du divin et c'est le causatif de ce mot qui était utilisé pour dénommer l'encens: « sénetecher » dont une traduction pourrait être: « Ce qui rend divin ». Même chose chez les Grecs et les Romains [réf. nécessaire]. La nature divine de l'encens est évoquée par Ovide dans ses Métamorphoses, puisque selon lui le premier arbre à encens aurait poussé sur la tombe de Leucothoé, maîtresse d' Hélios châtiée par son père Orchamos.