Daniel Pennac: Extrait de Comme un roman Voici l'extrait du livre Comme un roman, écrit pas Daniel Pennac. Pennac est un auteur francais, né au Maroc. Il est un romancier contemporain, il a écrit plusieurs livres pour les enfants. Notre texte est un essaie décrivant le passage difficile de l'enfance à l'adolescence des jeunes francais qui ont le problème avec l'écheque scolaire. Nous allonsanalyser ce texte en trois parties, premièrement nous allons décrire la Situation actuelle, deuxièmement nous allons nous intéresser à l'Apparence externe et enfin nous allons expliquer la Malaise interne des élèves. Maintenant je passe à la lecture… 1. Chagrin d'école de daniel pennac - 781 Mots | Etudier. Situation actuelle -Pennac nous présente une partie des jeunes marqué par l'échec scolaire, ces jeunes ont des mauvais résultats à l'école, ils'agit des adolescents (l. 1"une classe adolescente") qui n'ont pas de bons résultats -cet échec concerne ici les jeunes avant le bac (l. 4 "pas de mention au bac, voire pas de bac ddu tout") -les bons lycées se débarasse d'eux pour garder leur bonne réputation d'établissement -Pennac met en opposition les bons étudiants destinés aux études supérieurs et les mauvais élèves qu'il appelle "lesautres" (l. l.
Arts et culture Daniel PENNAC (extrait) (Suite. Voir N° 1, 2/2009) Le droit de ne pas finir un livre Il y a trente-six mille raisons d'abandonner un roman avant la fin: le sentiment du déjà lu, une histoire qui ne nous retient pas, notre désapprobation totale des thèses de l'auteur, un style qui nous hérisse le poil… Le livre nous tombe des mains? Qu'il tombe. Toutefois, parmi nos raisons d'abandonner une lecture, il en est une qui mérite qu'on s'y arrête un peu: le sentiment vague d'une défaite. Daniel pennac comme un roman extrait. J'ai ouvert, j'ai lu, et je me suis bientôt senti submergé par quelque chose que je sentais plus fort que moi. J'ai rassemblé mes neurones, je me suis bagarré avec le texte, mais rien à faire, je n'y pige rien. Je laisse tomber. Ou plutôt, je laisse de côté. Je range ça dans ma bibliothèque avec le projet vague d'y revenir un jour. Le Pétersbourg d'Andreї Bielyї, Joyce et son Ulysse m'ont attendu quelques années. Il en est d'autres qui m'attendent encore, dont certains que je ne rattraperai probablement jamais.
5€ par livre. Bayard jeunesse pour un univers plus fantastique. Daniel pennac comme un roman extrait 1. J'espère que ces conseils vous seront utiles et je vous préconise sur le même sujet, un article de Nymphette, Mon enfant n'aime pas lire… PS: n'hésitez pas à me demander des conseils en matière de lecture jeunesse, j'en ai plein à vous conseiller! Source image: Les droits imprescriptibles du lecteur illustrés par Quentin Blake Edit: Ce billet a été publié également chez Actualitté! Merci à eux!
Mais ni l'examinateur, ni toi, ni les parents, ne souhaitent particulièrement que ces enfants lisent. Ils ne souhaitent pas non plus le contraire, note. Ils souhaitent qu'ils réussissent leur études, un point c'est tout! Pour le reste, ils ont d'autres chats à fouetter. D'ailleurs, Flaubert aussi avait d'autres chats à fouetter! S'il renvoyait la Louise à ses bouquins, c'était pour qu'elle lui fiche la paix, qu'elle le laisse travailler tranquille à ses Bovary, et qu'elle n'aille pas lui faire un enfant dans le dos. La voilà, la vérité, tu le sais très bien. "Lisez pour vivre", sous la plume de Flaubert quand il écrivait à Louise, ça voulait dire en clair: "Lisez pour me laisser vivre", tu le leur as expliqué, ça, à tes élèves? Non? Daniel pennac comme un roman extrait de. Pourquoi? Elle sourit. Elle pose la main sur la sienne: - Il faut t'y faire, mon chéri: le culte du livre relève de la tradition orale. Et tu en es le grand prêtre. Burlington et Perfecto sont les premiers surpris quand le prof leur annonce que L'Attrape-cœur de Salinger, dont ils viennent de se régaler, est en train de faire le malheur de leurs condisciples américains pour la seule raison qu'ils l'ont à leur programme.
Volé à quoi? Disons, au devoir de vivre. C'est sans doute la raison pour laquelle le métro - symbole rassis dudit devoir - se trouve être la plus grande bibliothèque du monde. Le temps de lire, comme le temps d'aimer, dilatent le temps de vivre. Si on devait envisager l'amour du point de vue de notre emploi du temps, qui s'y risquerait? Qui a le temps d'être amoureux? A-t-on jamais vu, pourtant, un amoureux ne pas prendre le temps d'aimer? Je n'ai jamais eu le temps de lire, mais rien, jamais, n'a pu m'empêcher de finir un roman que j'aimais. Daniel Pennac, Comme un roman (Extraits) – Dans la caverne. La lecture ne relève pas de l'organisation du temps social, elle est, comme l'amour, une manière d'être. La question n'est pas de savoir si j'ai le temps de lire ou pas (temps que personne, d'ailleurs, ne me donnera), mais si je m'offre ou non le bonheur d'être lecteur. Afficher en entier A toute lecture préside, si inhibé soit-il, le plaisir de lire; et, par sa nature même - cette jouissance d'alchimiste - le plaisir de lire ne crait rien de l'image, même télévisuelle, même sous forme d'avalanches quotidiennes.
10. Le droit de nous taire. EXTRAIT 2: Le verbe lire ne supporte pas l'impératif. Aversion qu'il partage avec quelques autres: le verbe «aimer» … le verbe «rêver»… On peut toujours essayer, bien sûr. Allez-y: «Aime-moi! » «Rêve! » «Lis! » «Lis! Mais lis donc, bon sang, je t'ordonne de lire! » – Monte dans ta chambre et lis! Résultat? Néant. Il s'est endormi sur son livre. La fenêtre, tout à coup, lui a paru immensément ouverte sur quelque chose d'enviable. C'est par là qu'il s'est envolé. Pour échapper au livre. Mais c'est un sommeil vigilant: le livre reste ouvert devant lui. Pour peu que nous ouvrions la porte de sa chambre nous le trouverons assis à son bureau, sagement occupé à lire. Extraits et passages de Comme un roman de Daniel Pennac - page 7. Même si nous sommes monté à pas de loup, de la surface de son sommeil il nous aura entendu venir. – Alors, ça te plait? Il ne nous répondra pas non, ce serait un crime de lèse-majesté. Le livre est sacré, comment peut-on ne pas aimer lire? Non, il nous dira que les descriptions sont trop longues. Rassurés, nous rejoindrons notre poste de télévision.
En sorte qu'il se trouve peut-être un Perfecto texan en train de s'envoyer en douce Madame Bovary pendant que son prof s'épuise à lui fourguer du Salinger! Ici (petite parenthèse) intervention de la Veuve sicilienne: — Un Texan qui lit, monsieur, ça n'existe pas. — Ah! bon? D'où tu tiens ça? — De Dallas. Est-ce que vous avez jamais vu un seul personnage de Dallas un livre à la main? (Fermons la parenthèse. ) Ce cri de joie célèbre l'aboutissement du plus gigantesque voyage intellectuel qui se puisse concevoir, une sorte de premier pas sur la lune, le passage de l'arbitraire graphique le plus total à la signification la plus chargée d'émotion! Des petits ponts, des boucles, des ronds... et... maman! C'est écrit là, devant ses yeux, mais c'est en lui que cela éclot! Ce n'est pas une combinaison de syllabes, ce n'est pas un mot, ce n'est pas un concept, ce n'est pas *une* maman, c'est *sa* maman à *lui*, une transmutation magique, infiniment plus parlante que la plus fidèle des photographies, rien que des petits ronds, pourtant, des petits ponts... mais qui ont soudain - et à jamais!