Bonjour à tous, Dans le cadre d'un cas pratique je botte en touche. Je dois déterminer les conditions dans lesquelles une sanction prise par un chef d'établissement est abusive ou non. Je pense en premier lieu à saisir le tribunal administratif. J'étudie cependant la possibilité de du pénal. Je pense à l'atteinte à l'autorité parentale dans le cas ou l'E. P. L. E qui ne respecte pas la réglementation en vigueur, refuse de présenter un élève à la personne qui a le droit de le réclamer. Je résume la situation proposée de tête et mon portable ET des transports en communs alors peut-être manquera t il de précisions. "Un élève arrive en retard. Il écope d'une heure de retenue. Cette heure de retenu s'effectue je jour même à la suite de sa dernière heure de cours. C'est une procédure systématique non précisée dans le règlement intérieur. L'E. E n'en informe pas les parents au préalable. Une foi la présence de son enfant confirmé dans l'E. E pour une heure de retenu, le père conteste mais l'établissement refuse de laisser sortir l'enfant" Le non respect à la réglementation en vigueur est selon moi avérée: Toute modification prévisible des horaires d'entrée et de sortie des élèves consécutive, notamment, à l'absence d'un enseignant, est portée à la connaissance des parents sur le carnet de correspondance.
L'infraction de non-représentation d'enfant consiste dans le fait de ne pas représenter l'enfant; c'est-à-dire de ne pas remettre l'enfant au titulaire d'un droit de visite ou de garde, ou de ne pas ramener l'enfant après un droit de visite, de façon délibérée. Les dispositions relatives à l'infraction d'atteinte à l'exercice de l'autorité parentale sont encadrées par les articles 227-5, 227-6, 227-7, 227-8 du Code pénal. Les peines sont aggravées selon les articles 227-9 et 227-10 du Code pénal: lorsque l'enfant mineur est retenu au-delà de cinq jours, sans que ceux qui ont le droit de réclamer qu'il leur soit représenté sachent où il se trouve; lorsque l'enfant mineur est retenu indûment hors du territoire de la république; lorsque l'auteur des faits a été déchu de l'autorité parentale. Natinfs 2381 NON NOTIFICATION DE CHANGEMENT DE DOMICILE AU BÉNÉFICIAIRE D'UN DROIT DE VISITE OU HÉBERGEMENT. D 11549 NON REPRÉSENTATION D'ENFANT À CEUX AYANT DROIT DE LE RÉCLAMER ET RÉTENTION HORS DE FRANCE.
Dans le cadre d'une procédure de divorce, le juge aux affaires familiales a le choix d'homologuer ou non cette convention. Il peut ainsi notamment refuser de le faire, s'il estime que le consentement des parents n'a pas été donné librement et est donc vicié, ou que l'intérêt de l'enfant n'est pas préservé. Le juge aux affaires familiales peut attribuer, pour 6 mois maximum, à l'un des parents la jouissance du logement familial, lorsqu'il est saisi d'une requête relative à la fixation des modalités de l'exercice de l'autorité parentale (article 373-2-9-1 du Code civil). >> À lire aussi - Enlèvement parental: démarches et sanctions Autorité parentale exclusive La notion d'autorité parentale est si importante qu'en cas de non-respect de l'intérêt de l'enfant par l'un de ses parents, ce dernier peut se voir retirer son exercice. Pour préserver l'enfant, le juge aux affaires familiales peut alors confier l'exercice de l'autorité parentale à l'autre parent. Cette décision très grave se prend quand la preuve de maltraitance sur l'enfant est apportée au juge, ou qu'il constate au vu des pièces du dossier que l'un des parents refuse de s'investir dans la vie de son enfant, ou de collaborer avec son ex conjoint.
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Généralités L'autorité parentale confère aux parents des droits et met à la charge des devoirs vis-à-vis de leur enfant mineur (article 371-1 du Code civil). Ces droits et obligations se traduisent de différentes manières: la protection et l'entretien (veiller sur la sécurité de leur enfant, contribuer à son entretien matériel et moral c'est-à-dire le nourrir, l'héberger, prendre des décisions médicales, surveiller ses relations, ses déplacements... ); l'éducation (éducation intellectuelle, professionnelle, civique... ). Les parents qui n'assurent pas l'instruction obligatoire (scolarisation de 6 à 16 ans) de leur enfant, s'exposent à des sanctions pénales; la gestion du patrimoine de leur enfant (droit d'administration et de jouissance). Le Code pénal consacre aux infractions contre l'autorité parentale une section, au sein de laquelle figurent deux infractions: la non-représentation de mineur et la soustraction de mineur. L'infraction de non-représentation de mineur vient sanctionner le non-respect des droits de visite, d'hébergement ou de garde d'une personne sur un enfant mineur, que ces droits proviennent d'une décision de justice ou indépendamment de toute décision de justice, en vertu de la loi.