Soirée de la Recherche médicale: Arnaud Fontanet, Prix Jean Valade 2021 - YouTube
Jean-Philippe Girard, médaille d'argent 2013 du CNRS, directeur de recherche à l'Inserm et directeur de l'Institut de pharmacologie et de biologie structurale (IPBS - CNRS/Université de Toulouse III-Paul Sabatier), est récompensé par le Prix Jean Valade de la Fondation de France pour ses travaux sur l'IL-33, une cible thérapeutique majeure pour l'asthme et les maladies allergiques. Jean-Philippe Girard recevra le Prix Jean Valade le 28 mars au Collège de France à Paris lors de la Soirée de la recherche médicale de la Fondation de France, qui fête ses 50 ans cette année. Créée par legs en 1994 sous l'égide de la Fondation de France, la Fondation Jean Valade récompense une découverte à application médicale rapide. Jean-Philippe Girard est honoré pour ses travaux sur l'IL-33, une protéine qu'il a découverte dans son laboratoire à Toulouse il y a une quinzaine d'années. L'IL-33 joue un rôle très important dans les maladies allergiques telles que l'asthme, l'eczéma et la rhinite allergique.
Le prix Jean Valade récompense une découverte dans le domaine médical qui trouve une application diagnostique, physiopathologique ou thérapeutique potentielle. DESCRIPTION DU PROGRAMME Créée en 1994 sous l'égide de la Fondation de France, la Fondation Jean Valade attribue chaque année le Prix Jean Valade. Ce prix annuel est destiné à distinguer les travaux d'un ou plusieurs chercheurs francophones (y compris au-delà des frontières françaises). Il peut consacrer soit des travaux individuels, soit des recherches collectives. À côté des travaux impliquant la découverte ou l'exploitation de données clinico-biologiques nouvelles, une attention particulière sera portée aux recherches consacrées à la mise au point d'investigations originales ainsi qu'à des disciplines jusqu'alors peu honorées (études épidémiologiques, psychiatrie…). Placé sous la responsabilité du Professeur Christian Nezelof, le jury sera composé d'experts français et étrangers. MONTANT/PRESTATIONS En 2010, les prix attribués seront de 35 000 € pour un senior et de 18 000 € pour un jeune chercheur.
Partenaires Université Claude Bernard Lyon 1, Institut National des Sciences Appliquées, Ecole Normale Supérieure, Université Grenoble Alpes, Université Clermont Auvergne, INSERM, CNRS, Université Jean Monnet, Université Gustave Eiffel, HCL, CEA Grenoble
Le groupement est géré et administré par le Conseil d'administration. Il est composé de quatorze personnes physiques désignées par l'assemblée générale en son sein parmi les représentants nommés par les membres pour y siéger. Les administrateurs sont nommés par l'assemblée générale pour une durée de trois ans renouvelable. Le Conseil d'administration se réunit 4 fois par an, il prend toutes les décisions relatives au fonctionnement du Cancéropôle qui ne relèvent pas de l'Assemblée Générale, et notamment les nominations de l'équipe de direction, la désignation des coordonnateurs d'axes de recherche et des membres du comité de pilotage scientifique. Il propose le budget, le programme d'activités et les orientations stratégiques à l'Assemblée Générale. Le Professeur Guy LAUNOY préside les séances du Conseil d'administration.
» Les résultats très attendus de cette étude seront disponibles dans deux ans. Parkinson: vers une nouvelle révolution thérapeutique Plus de 200 000 personnes en France sont atteints de la maladie de Parkinson, avec un nombre croissant de cas. Erwan Bézard, lauréat du Grand Prix de la recherche de la Fondation de France en 2014 et actuel président du comité Parkinson, est revenu sur les deux priorités de la recherche dans ce domaine: « Tout d'abord, la recherche de traitements curatifs pour stopper, ralentir l'évolution de la maladie. Et d'autre part, développer des approches thérapeutiques sur les symptômes de la maladie, qu'il s'agisse de symptômes classiques ou de symptômes non moteurs, qui sont tout aussi invalidants. » Une minorité des formes de la maladie de Parkinson sont génétiques, et c'est à ces formes spécifiques de la maladie que Thierry Galli, neurobiologiste soutenu par la Fondation de France, consacre ses travaux. Avec une ambition: faire le lien entre les mutations génétiques qui conduisent à la maladie de Parkinson et une molécule détectée chez les patients.