Puis, en 2007, death note est arrivé. Dès le premier épisode, je me plongé dans cette aventure. Yagami raito est exceptionnellement fascinant. Il ressemble a vincent de gattaca, preston d'équilibrium, il est solitaire, il est incompris. C'est un manga réaliste et extrêmement bien dessiné. au contraire de naruto trop vague, trop enfentin. Les dessins sont crus et les expressions parfois vulgaire traduissent la réalité du monde. Le scénario est bien ficelé. De plus le créateur ne prend pas position, il ne choisit aucun camp, il reste neutre. ça démontre ke personne n'est totalement bon ou totalement mauvais. Death Note : 14 ans après sa conclusion, le manga revient pour une aventure inédite. Le bien absolu n'existe pas, nous avons tous nos nuances. Le duel entre yagami et L est très intense et palpitant. C'est pour cela que je ne donne que 3 étoiles parce la deuxième parti baisse en intensité. le suspense n'est plus le même... enfin c dommage mais ça reste le manga adulte de référence. Je n'étais pas du tout habitué au animes / manga, Death Note à crée en moi la bonne surprise, très bonne.
Là encore, l'impact de Game of Thrones se fait sentir, mais pas pour le meilleur, tant cette quête secondaire vaine et déconnectée des enjeux globaux du récit rappelle celle d'Arya Stark avec les Sans-Visage. "Non Papa, ne me laisse pas dans une intrigue secondaire laborieuse! " À force de s'éloigner de la sorte de son concept initial, Halo ne peut que se perdre en matière de narration et de mise en scène. Death Note : La série abrégée. C'est particulièrement flagrant sur le combat final du dernier épisode, qui reprend temporairement la dynamique des jeux avant de tomber dans une caricature d'adaptation que la série avait pourtant évitée jusque-là. La présence du nullissime Jonathan Liebesman ( La Colère des Titans, World Invasion: Battle Los Angeles) à la réalisation y est peut-être pour quelque chose, même s'il est aussi à la barre du cinquième épisode salué plus tôt. Par rapport à l'introduction qui cherchait à créer un pont entre l'esthétique des jeux et sa transcription sérielle en distillant son fan-service, le chapitre final sombre dans une suite de plans impossibles qui défient la gravité, passant dans un seul mouvement continu d'un regard externe à un point de vue subjectif, quitte à renvoyer au plan-séquence ignoble de Doom.
Mais le 4e épisode nous empêche de penser quoi que ce soit de définitif sur cette série qui en fera 6 au total. Si vous avez lu cette preview jusqu'au bout, vous penserez à nous, dans quelques semaines, avec ce cliffhanger halluciné, et on espère que vous aurez un peu d'empathie pour l'attente qu'on a subie. Le premier épisode arrive lui ce mercredi 30 mars sur Disney+. Il devrait vous convaincre à lui seul. Série comme death note. Erwan Lafleuriel est rédacteur en Chef d'IGN France. Esclave du jeu vidéo depuis 40 ans, il ne s'en échappe que ponctuellement pour pleurer ses défaites sur Twitter.