Loin du gargantuesque et répugnant personnage habituellement mis en scène, le héros de Barrie Kosky est au contraire un amoureux éperdu de la vie, dévorée avec d'autant plus de gloutonnerie que le terme s'en rapproche à pas feutrés.
« Le petit camp à Buchenwald », 1945, de Boris Taslitzky. Huile sur toile, 300 x 500 cm. / Centre Pompidou, MNAM-CCI Bruno Gaudichon, directeur de La Piscine, avait déjà montré, en 2014, l'œuvre d'André Fougeron, l'autre grand artiste « réaliste » du PCF. Il se dit « fier » de révéler aujourd'hui Taslitzky, décédé en 2005 à 94 ans, d'autant que ce dernier a noué des liens avec le Nord. Voici la nouvelle speakerine de RTL-TVi qui remplace Jill Vandermeulen - La Libre. En 1947, l'artiste a peint les ouvriers des usines de sidérurgie de Denain. Dans Les Délégués, un tableau offert à La Piscine par la fille de l'artiste, leurs silhouettes massives en tablier de cuir, vues en contreplongée et armées de pelle ou de tenailles, évoquent des guerriers solidaires, prêts au combat. Dès 1936, Taslitzky avait peint, dans un style un peu naïf, les ouvriers de Renault en grève. En 1951, ce fidèle sans faille du PCF représentera encore les affrontements avec la police des dockers de Port-de-Bouc, refusant de charger les navires de guerre partant pour l'Indochine, dans une grande toile, inspirée du Radeau de la Méduse de Géricault.
Coquillages, crustacés, et levrette dans les rochers. En cette veille d'un mois d'août - on l'espère - brûlant, vous nous confiez ces love stories qui vous ont fait vibrer, littéralement. L'été sera-t-il aussi chaud que les prédictions post-confinements l'affirment depuis le début du printemps? On l'espère. Ou plutôt, on ne rêve que de ça. De passer des vacances loin du quotidien et de se distraire le temps d'une nuit dans les bras d'un·e partenaire plus ou moins temporaire. Sur le sable, dans la tente, à la montagne entre deux sapins: reste à choisir le cadre, et à ce que l'occasion se présente. Nue sous son tablier. En attendant que rencontres se fassent, et pour inspirer celles qui, après des mois isolés, ne savent plus très bien comment s'y prendre, on a recueilli quelques croustillantes anecdotes. Des histoires d'amour (un peu), de cul (surtout), qui ont laissé un souvenir impérissable dans l'esprit des femmes qui ont bien voulu nous les conter. Célia, 30 ans: "L'Australien, la lune et le transat'" "J'avais 18 ans, j'étais en vacances en Grèce avec mes copines.