Quelques heures de printemps est un film français coécrit et réalisé par Stéphane Brizé, sorti en 2012. Synopsis [ modifier | modifier le code] Un homme à sa sortie de prison, se voit contraint de retourner chez sa mère. Celle-ci, malade d'un cancer incurable, a décidé de choisir l'heure de sa mort [ 1].
Elle s'exprime pas loin d'ici. Sur la page de gauche ou d'un clic. Hélène Vincent. L'immense Hélène Vincent. Et sa seule présence devrait inciter chacun à aller voir Quelques Heures de printemps, de Stéphane Brizé. Non pour l'intrigue -les relations conflictuelles entre une mère et un fils qui ne savent pas s'aimer- ni pour le sujet -le choix de mourir dans la dignité, comme on dit- ni pour la rigueur de la mise en scène; toutes choses bien tenues par ailleurs. Mais pour elle. Il est rare de voir un(e) comédien(ne) élever à ce point son niveau de jeu. Elle est tout entière son personnage, effacée mais sans cesse présente, émouvante et juste dans le regard, le geste, la voix. Un bonheur. Un miracle. Un césar. Et même deux, trois ou quatre. C'est bien simple: on dirait ma grand-mère; ou le souvenir que j'en ai, mais au cinéma c'est la même chose. Maintenant, le film. Quelques Heures de printemps s'inscrit dans une veine naturaliste, qui consiste à reproduire au plus près la réalité en un tableau singulier, à la différence du courant réaliste, qui la représente en la réduisant au sens commun.
Elle décide de faire appel à une entreprise de « suicide assisté » en Suisse pour l'aider. L'entreprise se situe en Suisse car en France, l'euthanasie n'est pas légal. Elle va donc se rendre en Suisse pour mourir selon ses choix. L'euthanasie devrait être interdite. En effet, l'euthanasie sert à effacer, supprimer le problème, elle ne le traite pas. Ce choix laissé au patient n'est pas toujours correct. Des soins palliatifs existent. La mort n'est pas forcément la solution. De plus, l'euthanasie ne rend pas la dignité à un Homme même dans la mort. Au prétendu droit de mourir dans la dignité, il faut opposer le droit de vivre dans la dignité. Il n'y a pas d'autre choix concevable que d'être aux côtés de ceux qui se battent chaque jour pour assurer la dignité d'une personne mourante, plutôt que de ceux qui, de loin, préconisent l'injection. Ensuite, la demande de mort est extrêmement minoritaire. En effet, l'euthanasie est très peu demandé par les patients atteints de grave maladie incurable.
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