Les corrigés du bac: Le bac avec Apollinaire. Les colchiques, Apollinaire. Vers une modernité poétique, "les colchiques", Alcools Poème publié le 15 novembre 1907 dans le journal la phalange. Ojbectif: Montrer en quoi la poésie d'Apollinaire est moderne. Thème: l'automne: saison mentale du poète Thème associé: l'amour. Lecture analytique les colchiques des. La femme est associée à une fleur, le colchique mais c'est une fleur vénéneuse, un poison. Nous avons donc l'inverse de la femme fleur. On est face à un échec amoureux. A la même époque, le poète fait la rencontre d'Annie Playden.
Les corrigés du bac: Le bac avec Apollinaire. Les colchiques, Apollinaire. Vers une modernité poétique, "les colchiques", Alcools Poème publié le 15 novembre 1907 dans le journal la phalange. Ojbectif: Montrer en quoi la poésie d'Apollinaire est moderne. Les Colchiques Lecture Analytique | Etudier. Thème: l'automne: saison mentale du poète Thème associé: l'amour. La femme est associée à une fleur, le colchique mais c'est une fleur vénéneuse, un poison. Nous avons donc l'inverse de la femme fleur. On est face à un échec amoureux. A la même époque, le poète fait la rencontre d'Annie Playden. Problématiques possibles: En quoi cette poésie peut elle être qualifiée de moderne? Comment utilise t'il un mythe ancien, le mythe de la femme fleur déjà utilisé par Ronsard?
Cette structure qui meurt comme l'auteur illustre également le choix d'une forme poétique plus guère utilisée au XX° siècle mais qu'Apollinaire rénove avec audace. Lecture analytique Les colchiques, Apollinaire - Commentaire de texte - soh75. II) Le tombeau du sonnet: Ce poème n'offre nullement l'apparence d'un sonnet, genre-roi de la poésie française: il n'en a ni la disposition (3 strophes au lieu de 2 quatrains suivis de 2 tercets), ni le nombre de vers (15 au lieu de 14). Pourtant le retour des rimes en « one » (« automne » et « empoisonne ») et en « a » (« lilas », « là », « fracas », « harmonica ») met en évidence une régularité qui rappelle celle du sonnet (« que la rime en deux sons frappât huit fois l'oreille » prônait Boileau pour les quatrains dans son Art Poétique). Seuls les vers 2 et 3 semblent poser problème par leur brièveté et par le fait que le vers 2 ne rime avec aucun autre. En fait il s'agit là de deux hémistiches qui, dans un environnement de vers longs (alexandrins ou quasi alexandrins) doivent être réunis pour former un vers de douze pieds parfaitement régulier.
Comment la mélancolie d'Apollinaire s'exprime-t-elle dans ce poème? Un tableau mélancolique et saturnien Un tableau d'automne → Automne = saison mélancolie, nostalgie → Anaphore d'« automne » (v. 1-6-15) = scène mélancolique → Champ lexical de la nature = tableau champêtre avec couleurs automnales → Suffixe « âtre » suggère une atmosphère crépusculaire Un poème marqué par l'influence de Verlaine → Poème influencé par Verlaine: cf.
» Mais les rapports étudiés par Riffaterre sont toujours de l'ordre des micro-structures sémantico-stylistiques, à l'échelle de la phrase, du fragment ou du texte bref, généralement….
Il nous laisse imaginer que la scène se passe entre un médecin et un patient. On peut deviner que Esculape joue le rôle du médecin car on voit qu'il propose à Irène des solutions pour soigner ses maux. En effet l'auteur nous le montre par l'intermédiaire des verbes d'injonction impératif aux lignes 4, 5, 6 et 9 « ordonne », « prescrit », « elle doit » et « prenez ». Donc si l'on devine qui est le médecin, on sait qui est le patient. Irène parle beaucoup de ses problèmes, elle signale de nombreuses plaintes. Lecture analytique les colchiques c. On peut même croire qu'elle semble mécontente, les nombreuses tournures négatives en font part comme l'indique les mots « sans appétit », « insomnie », « nuisible », « indigestions », « ni si forte ni si saine ». Le locuteur manifeste la présence d'Irène par l'emploi récurrent de pronoms de la première personne sujet (« je m'affaiblis », »je ne suis » « j'ai été » « ne savais-je » « vous m'enseignez » « que m'apprenez vous ») ou d'objets (« me donnez vous » « moi même »), d'adjectifs possessifs (« ma vue »).
On peut également remarquer le champ lexical du sonore: « harmonica » (v. 8), « vent » (v. 12). Tout le v. 10 crée une image de l'insouciance et de la naïveté de l'enfance puisque dans ce dernier « Ils » (donc les enfants du v. 8) cueillent des colchiques qui sont une fleur vénéneuse sans s'en soucier, ce vers (10) peut aussi dégager un pressentiment de danger. Au v. 12 il y a répétition du verbe « battre » (à la troisième personne du pluriel de l'indicatif présent) qui dévoile une violence intérieure chez le poète. L'adjectif « dément » qui est associé au vent au v. Lecture analytique les colchiques da. 12 (personnification) peut nous faire penser que le poète est tombé dans la folie à cause de sa souffrance amoureuse.... Uniquement disponible sur