Merci de nous la signaler dans ce cas ici. Grille indiciaire du grade Inspecteur de l'éducation nationale classe normale Echelon Indice Brut Indice majoré Durée Salaire brut Salaire net 1 670 559 2 ans 2 619, 49 € Calculez votre salaire net avec notre simulateur 2 762 628 3 ans 2 942, 82 € 3 813 667 3 ans 3 125, 58 € 4 883 720 3 ans 3 373, 94 € 5 912 743 3 ans 3 481, 72 € 6 977 792 3 ans 3 711, 33 € 7 1027 830 - 3 889, 40 € 8 - - A venir - A venir - A venir Malgré tous nos efforts pour mettre à jour ces grilles avec les derniers décrets, une erreur peut toujours s'être glissée. Merci de nous la signaler dans ce cas ici. Copyright © 1995-2022 - reproduction interdite CONSULTEZ TOUTES LES OFFRES D'EMPLOI
Définition du métier Inspecteur départemental de l'éducation nationale (IDEN): Cette rubrique regroupe dans l'enseignement public ou privé: les directeurs et sous-directeurs de tous les établissements d'enseignement secondaire, à l'exception de ceux qui sont chefs d'entreprise, les inspecteurs, chargés de conseiller et de contrôler les enseignants du primaire et du secondaire dans leur pratique pédagogique, à l'exception de ceux classés en personnels de direction.
Détachement ou intégration directe Le détachement ou l'intégration directe dans le corps des IA-IPR est notamment ouvert aux personnels de direction d'établissement d'enseignement ou de formation relevant du ministère de l'Éducation nationale, aux professeurs des universités, aux maîtres de conférences, aux professeurs de chaire supérieure, aux professeurs agrégés et aux inspecteurs de l'Éducation nationale. Formation La formation professionnelle statutaire des inspecteurs académiques-inspecteurs pédagogiques régionaux doit permettre, en complément des parcours professionnels antérieurs, l'acquisition des compétences nécessaires à l'exercice de leurs futures fonctions, ainsi que le développement de compétences transversales relatives à une culture commune d'encadrement. Pour les IA-IPR stagiaires recrutés par concours, cette formation préalable à la titularisation, et qui dure un an, permet notamment une prise de responsabilité immédiate. Elle alterne: l'exercice effectif des fonctions par l'accomplissement d'un stage en responsabilité dans l'académie d'affectation durant la période probatoire statutaire des sessions de formation organisée à l'École supérieure de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (ESENESR) ou par les académies, dans un cadre académique, interacadémique ou national, d'une durée minimale de 36 jours.
Cinq années de services effectifs sont requises. Il faut également être fonctionnaire titulaire d'un corps d'enseignement ou d'éducation, de celui des psychologues de l'Éducation nationale ou de celui des personnels de direction d'établissement d'enseignement ou de formation. À ces conditions spécifiques, s'ajoutent les conditions générales d'accès à la Fonction publique. L'épreuve d'admissibilité consiste en l'étude par le jury d'un dossier de reconnaissance des acquis de l'expérience (RAEP) réalisé par le candidat. Le jury dresse ensuite la liste par spécialité des candidats autorisés à se présenter à l'épreuve orale d'admission. Cette épreuve commence par un exposé de 15 minutes du candidat, portant sur son parcours et son activité professionnelle. Puis un entretien de 45 minutes avec le jury permet d'apprécier notamment les compétences du candidat dans la spécialité et ses motivations. La formation préalable à la titularisation des candidats admis dure un an. Elle permet l'acquisition des compétences nécessaires à l'exercice des fonctions d'inspecteurs de l'Éducation nationale.
L'inspection générale de l'Education est concernée par la suppression des grandes corps voulue par Emmanuel Macron. Le statut de ses cadres va être modifié, au plus tard, le 1er janvier 2023. Ce n'est pas une surprise sur le fond mais le calendrier s'accélère et inquiète les principaux concernés. Au 1er janvier 2023 maximum, il n'y aura plus de corps de l'Inspection générale de l'Education, des Sports et de la Recherche (IGESR). C'est ce qu'indique Caroline Pascal, la cheffe de l'IGESR, dans un mail adressé aux inspecteurs généraux, samedi, et révélé ce lundi par le site le Café pédagogique. Cette décision n'a pas été prise directement par le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, mais elle a lieu dans le cadre de la réforme de la haute fonction publique voulue par Emmanuel Macron et qui concerne toutes les inspections générales, à commencer par l'établissement qui les formait depuis 1945: l'Ecole nationale d'administration (ENA), dont la suppression a été annoncée en avril dernier.