Un article de Wikipedia, l'encyclopédie libre. Les Trois Poisons ( sanskrit: triviṣāṇi; chinois: sāndú 三毒; japonais: 三毒(さんどく)), terme bouddhique, désignent la cupidité (convoitise ou avidité), l' intolérance (colére ou xénophobie) et l' obscurantisme (méconnaissance ou ignorance) considérées comme l'origine de toutes les souffrances. Trois poisons bouddhisme des. La convoitise ou l'avidité (sanskrit: Tṛṣna; palî: taṇhā; chinois: tān 贪; japonais: aiyoku) signifie une soif insatiable de vouloir tout prendre, tout posséder, qui ne pourra certainement atteindre son objectif, ainsi la jalousie se produira à l'égard de ceux qui en ont plus, et une colère apparaîtra envers les personnes qui se posent volontairement ou involontairement en obstacles à son prurit, même envers les éléments inanimés qui ne pourront le satisfaire. Cette colère pourrait devenir automatiquement la haine (sanskrit: dveṣa; chinois: chēn 嗔) qui entraînera son sujet - maître à entrer en conflits avec les autres, et les conséquences pourront parfois aller très loin.
Voilà qui me semble aussi déresponsabilisant que la psychanalyse... C'est pas à cause de saint Thomas. C'est à cause de Dieu. Dieu a décidé d'appeler "péché" tout ce qui sépare l'homme de lui (par la charité). Parfois, c'est de notre faute: ex: les Péchés mortels de faiblesse, et surtout le rare péché mortel lucide et froid. Les trois poisons — définition du bouddhisme indien et tibétain. Parfois, c'est pas de notre faute: ex: Le péché originel des tout-petits, l'ignorance des athées ou des païens qui, si ils avaient su etc. Conclusion: la notion de péché n'est PAS toujours la notion de faute personnelle. Dieu, parfois, maintient l'homme sous la loi du péché, pendant un long temps, pour attiser dans son coeur des soifs que n'ont pas les innocents. C'est pourquoi le Verbe a tant tardé à s'incarner et que, aujourd'hui, il laisse les hommes s'éloigner de lui. Mais il transformera tout cela en un SALUT PLUS GRAND, lors de sa Venue. _________________ Arnaud Chantecl Invité Sujet: Re: Les trois poisons de l'esprit dans le Bouddhisme 30/8/2006, 14:11 J'ai du mal à adhérer à cette vision du péché.
5/5 (5) Que sont les Trois Poisons du bouddhisme? Pourquoi sont-ils au centre de la roue des existences? En quoi mènent-ils à la souffrance? Les Trois Poisons sont un concept -clé du bouddhisme. Ce sont trois notions qui expliquent la souffrance intime, la stagnation et des existences et les malheurs du monde. Voyons quels sont ces poisons. Les Trois Poisons du bouddhisme: définition. Définition: les Trois Poisons, sont, dans le bouddhisme, les racines de l' illusion et de la souffrance. Ce sont: L'ignorance (avidya): elle est à la source de tous les maux du monde, à l'origine aussi des deux autres poisons. Trois poisons bouddhisme film. L'ignorance est le moteur du désir, des intentions, de la volonté et du rejet, autant d'éléments qui retiennent les êtres dans le cycle de renaissances du samsara. L'ignorance est en particulier la méconnaissance de la vacuité et des quatre nobles vérités. La soif ( raga: avidité, désir, passion, attachement): elle est directement issue de l'ignorance. Elle est illusion et cause le mauvais karma, L'aversion ( dvesa: antipathie, haine, colère): ce troisième poison est là encore issu de l'ignorance.
Dans ce cas, comment a-t-il passé trois jours dans le tombeau s'il est ressuscité le dimanche? » » l'idolâtrie dans le bouddhisme » Le passage dans la prochaine vie (bouddhisme tibétain) » La notion de Dieu dans le Bouddhisme ( Mahayana) » Trois enfants israéliens assassinés, événements liés, réactions, contextes - les enfants dans la guerre Permission de ce forum: Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum DOCTEUR ANGÉLIQUE FORUM CATHOLIQUE:: Débats avec les religions non-catholiques Sauter vers:
Il n'y a donc pas d'interruption de la série, la durée de la pensée consistant en soif: la conscience, conditionnée par les activités mentales, produit l'impression d'un moi permanent, et de là une tension, une progression vers un aller et venir, d'où résultent le devenir et le dukkha (en pāli; sanskrit: duḥkha). On distingue trois types de soifs selon leur objet: - la soif de désirs des sens (pāli: kāmataṇhā), le "vouloir-désirer", qui concerne les 5 sens et le mental (qui est le sixième sens); - la soif d'existence, le "vouloir-vivre" (pāli: bhavataṇhā) -la soif d'inexistence, le "vouloir-ne-plus-vivre" (pāli: vibhavataṇhā) Trois soifs selon les mondes (loka): Soif d'existence sensuelle, pāli: kāmataṇhā; Soif d'existence physique pure, pāli: rūpataṇhā; Soif d'existence immatérielle, pāli: arūpataṇhā. Six soifs selon les six bases sensorielles, sadayatana: Soif d'objet visible, pāli: rūpataṇhā; Soif de sons, pāli: saddataṇhā; Soif d'odeur, pāli: gandhataṇhā; Soif de saveur, pāli: rasataṇhā; Soif de toucher, phoṭṭhabbataṇhā; Soif de pensées, pāli: dhammataṇhā Dvesha (IAST: dveṣa) est un terme sanskrit, qui peut être traduit par: aversion ou antiphatie.
C'est en s'en libérant qu'il serait parvenu au nirvāṇa. Selon le 14 e dalaï-lama, d'après les représentations iconographiques, on constate que le serpent et le coq sortent de la gueule du porc, cela semblerait indiquer que l'ignorance est la racine des deux autres poisons [ 4]. Voir aussi [ modifier | modifier le code] Caitasika facteurs mentaux associés aux consciences bénéfiques nuisibles ou neutres Références [ modifier | modifier le code] ↑ Alexis Lavis, La conscience à l'épreuve de l'éveil: Lecture, commentaire et traduction du Bodhicaryāvatāra de Śāntideva, Paris, Les Éditions du Cerf, coll. « Sagesses d'Asie », 2018, 546 p. ( ISBN 978-2-204-12762-2), p. 60. Lavigne précise que « venin » fait écho à la racine indo-européenne partagée entre ce terme et le sanskrit viṣam, le latin virūs et le grec ἰός. ↑ Etienne Hauttekeete, Sous l'arbre de l'Eveil: le bouddhisme dans son contexte historique, Asp / Vubpress / Upa, 2009 ( lire en ligne), p. 49. ↑ Nyanatiloka, Vocabulaire pali-français des termes bouddhiques, Adyar, 1995.