Randonnée au refuge de l'ONU depuis le refuge de la Poste des Mines. Retour au Solliat – Transpiree Passer au contenu Randonnées, conseils et formations pour la montagne Refuge du Poste des Mines Refuge de l'ONU Refuge de la Poste des Mines La veille, nous sommes arrivés au refuge de la Poste des Mines. Arrivés tôt, cela nous a permis de passer l'après-midi et soirée. Le poêle, comme tout instrument de cet acabit, prends un temps fou à monter en température. Adoption de Grisou & sauvageon en fa à tucquegnieux: Petit chat européen, région Grand Est. Par contre, une fois chaud, la température reste assez haute (plus de 20°c, alors que dehors, c'est juste au-dessus de zéro). Mais il faut alimenter en bûches régulièrement. Au fond, il y a une remise pour couper du bois. La nuit, je suis surpris, la température n'est pas trop descendue, la bâtisse a deux étages, permet de conserver la chaleur au rez-de-chaussée. Pourtant, les fenêtres sont de simple vitrage et n'ont pas toutes des volets. Pour cuisiner, mieux vaut compter sur son propre matériel … qui est propre! Il y a l'électricité (avec minuteur) via des panneaux solaires.
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Suite à ce malheureux incident, le mari aurait perdu la vie. La femme aurait été violée». Elle vivait nue Esseulée, dépouillée de ses vêtements et choquée, la pauvre malheureuse aurait décidé dans un premier temps de trouver refuge dans les montagnes de l'Est andorran. «Ce n'est qu'au printemps 1801, après la fonte des neiges, qu'elle décide de franchir le col pour se retrouver sans le savoir en France, dans la région du Vicdessos», ajoute l'auteur. Au milieu de cette nature à l'état brut, elle vivait nue. Adoption de Sauvageonne: Petit chat européen, région Occitanie. Eté comme hiver. De quoi se nourrissait-elle? De noix, noisettes, châtaignes, faines, glands… dont elle fait provision. De mûres, myrtilles, airelles, framboises, nèfles et prunelles. Du miel que dénichaient les animaux, de la sève sucrée des arbres, des poissons qu'elle pêchait, des lièvres, écureuils, insectes, oiseaux, marcassins qu'elle capturait… La sauvageonne aurait même fraternisé avec les ours qu'elle considérerait comme ses congénères. L'hiver, elle se réchauffait auprès d'eux dans leur antre d'hibernation.