La première période d'OM-OL, dimanche soir en Ligue 1, a été marquée par un potentiel penalty non sifflé en faveur des Marseillais, après une main, ou plutôt un bras, de Moussa Dembélé dans la surface lyonnaise. Ce qui a rendu fou de rage Jorge Sampaoli. Jorge Sampaoli éructant dans sa zone technique, se fâchant tout rouge en faisant de grands gestes en direction du corps arbitral, l'image n'est pas forcément rare. Mais ce dimanche soir lors d'OM-OL, l'entraîneur argentin de Marseille a piqué une colère particulièrement grosse, et particulièrement longue. Tout est parti d'une action à la 25e minute de jeu. Trouvé par Dimitri Payet dans la partie gauche de la surface lyonnaise, Gerson tente un centre en retrait. Sauf que celui-ci est détourné en corner par Moussa Dembélé... du bras. En taclant - les deux bras largement décollés - pour contrer la tentative du Brésilien, l'attaquant français touche la balle avec son membre supérieur gauche, au niveau du biceps. Kiev optimiste sur la guerre, Poutine avertit la Finlande qu'elle fait "erreur" en voulant rejoindre l'Otan. >>> OM-OL en direct Un carton jaune trois minutes après la scène Alerté par les protestations des joueurs marseillais, l'arbitre Antony Gautier s'enquiert rapidement d'un éventuel penalty auprès de ses collègues du VAR.
« Il y a des combats nourris à la frontière avec la région de Donetsk, près de Popasna », a commenté, vendredi soir sur Facebook, Serguiï Gaïdaï, gouverneur ukrainien de la région de Lougansk, faisant état de nombreuses pertes en matériel et en personnel du côté russe. « C'est une horreur mais ils essaient encore de parvenir à leurs fins. Être rouge de rage. Mais, d'après les interceptions (de communications téléphoniques), nous comprenons qu'un bataillon entier a refusé d'attaquer car ils voient ce qui est en train de se passer », a-t-il relevé. « Nous continuons de voir que les Russes ne font pas de prise significative » Un responsable américain de la Défense, s'exprimant sous couvert d'anonymat, a confirmé que l'activité russe la plus importante actuellement se déroulait dans le Donbass. « Et, en gros, nous continuons de voir que les Russes ne font pas de prise significative » dans cette région, a-t-il indiqué. « L'artillerie ukrainienne contrecarre les efforts russes pour gagner du terrain, y compris leurs efforts pour franchir la rivière Donest (…) ce qui affecte leur capacité à envoyer des renforts importants dans le nord du Donbass », a poursuivi cette source.
» Mais selon elle, Jean-Pierre Pernaut lui ferait « des signes » depuis sa mort. « Mais je sais qu'il est près de moi. Je crois aux anges, à la vie après la mort, comme je l'ai écrit dans mon livre « Moi, j'y crois ». Depuis son décès, il m'a fait énormément de signes. Lui qui était très terre-à-terre quand je lui parlais de ça, il me fait désormais des signes de là-haut », affirme-t-elle. Elle poursuit en donnant des exemples de ces manifestations: « Pendant deux mois, j'ai quitté l'hôpital chaque soir à 21 h et la tour Eiffel était éteinte. Le jour où il est mort, en sortant, elle était allumée, elle scintillait. Cannes 2022 : une manifestante nue interrompt la montée des marches. C'est là qu'on avait eu notre premier rendez-vous au restaurant. » L'ancienne Miss France ajoute: « Le lendemain, je vais prendre ma voiture et, en allumant la radio, il y avait sa chanson préférée de Johnny Hallyday, « Allumer le feu ». Quant à ma fille, Lou, sa télé s'est allumée toute seule à 1 h du matin. Il y avait un film où un homme disait: « Je suis fier de toi, ma fille.
Des débuts impériaux Décortiquer la biographie des présidentes et présidents de ces associations appelées alors de charité nécessite un certain goût pour le bottin mondain. A en juger: la Société de Secours aux blessés militaires a, à sa tête, de 1864 à 1940, exclusivement des gens de la « haute », des noblesses d'Empire. Après tout, Napoléon III et son aide de camp, le Maréchal de Mac Mahon (à l'époque des guerres d'Italie), furent parmi les grands défenseurs des idées du très bonapartiste Henry Dunant. Bref, ceux qui font la « première Croix-Rouge » sont incontestablement légitimistes. Rouge de rage clothing. Le premier président de la SSBM n'est autre qu'un Montesquiou de Fézensac, Comte et Général d'Empire. Les suivants sont, pêle-mêle, le Comte et Général de Goyon, le Comte de Flavigny, le Duc de Nemours, Prince royal, le Maréchal Duc de Mac Mahon, le Duc d'Aumale ou encore le Marquis de Vogüe… Les « scissions Croix-Rouge », oeuvre des femmes Après l'effondrement de l'Empire en 1870, aussi brutal qu'inattendu, puis l'avènement long et compliqué de la Troisième République, la SSBM fleure la réaction.