Afin de réunir des fonds en vue de cette opération, il a constitué, ainsi que son épouse, une société avec M. Grégoire, la Banque Delon, M. Valex et Mme Mentzer. M. Marchand a obtenu des crédits de la part de CGIB, une banque pour la construction et l'équipement, après…. 1297 mots | 6 pages Sommes-nous bien face à une société? Définition d'une société On cite chaque condition de validité du contrat en définissant bien chaque terme et en démontrant bien en l'espèce. En principe, une des conditions de validité du contrat de société est le consentement c'est-à-dire la volonté de contracter pour la création d'une société. En l'espèce chacune des associés veulent créer une société donc on démontre un consentement. L'objet est l'activité de la société. On diffère l'objet statutaire…. Cas pratique droits des sociétés 3264 mots | 14 pages Premier dossier. La Société en nom collectif (SNC) ARTFLEURS, spécialisée dans la composition florale, a été constituée en 1991 par deux amis Monsieur Pierre et Monsieur Rodolphe, tous deux gérants statutaires, sans répartition de pouvoirs prévue par les statuts.
Elle peut être instituée, dans les cas prévus par la loi, par l'acte de volonté d'une seule personne. Les associés s'engagent à contribuer aux pertes. » Au visa de cet article, deux conditions nécessaires à la constitution d'une SARL en ressortent. La première est la mise en commun d'apports et la seconde est la vocation aux bénéfices et la contribution aux pertes. De plus, au regard de la jurisprudence, une condition supplémentaire est requise. Il s'agit de l'affectio Societatis caractérisant l'élément intentionnel de la constitution de la société. Ainsi, afin d'établir si la société peut être légalement constituée, il convient de vérifier si les trois conditions sont remplies. I. La légalité des apports. La mise en commun d'un bien, transfert de propriété ou de jouissance, est une condition nécessaire de formation de la société. Sans apport, la société n'existe pas. Chaque Tdcontratscasc 17350 mots | 70 pages LICENCE EN DROIT – 2ÈME NIVEAU GROUPE DE COURS N° II DROIT ADMINISTRATIF TRAVAUX DIRIGÉS THÈME N° 5: Les contrats administratifs Cas pratique n°1 – Corrigé À retenir absolument sous peine de ne pas obtenir la moyenne à l'examen Références jurisprudentielles relatives aux contrats administratifs: 1.
Une fois signé ce projet doit être déposé au greffe du tribunal de commerce du lieu du siège social de chacun des « participants », et un avis doit être inséré dans un journal d'annonces légales, le tout doit être réalisé au moins un mois avant l'assemblée générale qui statuera sur l'opération. Application au cas Dans notre cas, Madame Goteborg souhaiterait arrêter son activité en faisant reprendre la SA « Duvets d'or France » par la SA « Duvets d'or et Traditions » dirigée par le fils de Madame Goteborg, Monsieur Swenska. La SA « Duvets d'or et Traditions » possède la SA « Duvets d'or France » à hauteur de 92%. Le projet de Madame Goteborg constitue bien un projet de fusion absorption. On a dans notre cas une fusion absorption sans création d'une entité nouvelle. La SA « Duvets d'or France » sera dissoute sans passer par la procédure de liquidation et la SA « Duvets d'or et Traditions » procédera à une augmentation de capital en absorbant la SA « Duvets d'or France ». Il faut évidemment qu'un projet de fusion absorption soit mis en place pour la SA « Duvets d'or France et « Duvets d'or et Tradition ».
Question de droit Ces actes accomplis pendant la période suspecte sont-ils valides? Résolution La période suspecte est la période s'étendant de la cessation des paiements au prononcé du jugement d'ouverture du redressement judiciaire. Conformément aux articles L 632-1 et suivants du Code de commerce, certains actes effectués au cours de cette période sont suspectés d'irrégularité et encourent la nullité. À cet égard, l'article L 632-1 pose une liste des actes susceptibles d'une annulation de plein droit ou alors annulables par le tribunal durant cette période. Il faut combiner cet article avec l'article L 632-2 du Code de commerce qui précise les actes de la période suspecte qui sont frappés d'une nullité facultative. I) Le cas des donations L'article L 632-1 du Code de commerce énonce que « tous les actes à titre gratuit translatifs de propriété mobilière ou immobilière » sont « nuls, lorsqu'ils sont intervenus depuis la date de cessation des paiements ». Par conséquent, tous les actes à titre gratuit translatifs de propriété mobilière ou immobilière peuvent être annulés.