Instauré jour férié par Leonid Brejnev à l'occasion des 20 ans de la capitulation nazie en 1965, les célébrations du « Jour de la Victoire » du 9 mai ont connu une mutation durable depuis la fin de la Guerre froide. L'ère Eltsine: service minimum Les années 90 constituent une « rupture » dans le déroulement des commémorations et dans l'importance accordée au 9 mai. Cette période post-soviétique est tout d'abord marquée par l'éclatement de l'URSS, les chocs des réformes économiques et par la transition d'une économie planifiée étatique à un système capitaliste d'économie de marché. « Ces célébrations ne sont pas forcément laissées de côté et le 9 mai et continuent d'être célébrées », explique Anne Le Huérou maîtresse de conférences à l'université Paris-Nanterre. Passé en russe belgique. Toutefois, « elles ne constituent plus une priorité et un rituel patriotique incontournable dans un pays où la population est davantage préoccupée par sa survie et son pouvoir d'achat. » Le 9 mai 1995 demeure une exception durant ces « années troubles.
Ils ont occupé nos territoires, nous n'avons plus d'accès à nos infrastructures". Au sujet de la baisse des livraisons, Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, a seulement déclaré que "la Russie a toujours honoré ses obligations contractuelles et va continuer de le faire". Suivez La Tribune Partageons les informations économiques, recevez nos newsletters
→ PORTRAIT. Qui est Roman Abramovitch, le plus célèbre des oligarques russes? Igor Volobuev raconte d'ailleurs sa honte d'avoir participé à ce système. « J'ai travaillé vingt-trois ans pour Gazprom, pour les dirigeants russes, j'ai participé à la guerre du gaz et du pétrole », affirme-t-il. Ayant grandi en Ukraine jusqu'à ses 18 ans, il dispose des deux nationalités. Il explique qu'il ne peut pas rester dans un pays qui « agresse » son voisin et que l'invasion de l'Ukraine est un « crime international » dont « Vladimir Poutine et le peuple russe » sont responsables. En quête de repentance Son histoire raconte aussi l'étroitesse des liens qui peuvent unir certains habitants des deux pays. La destruction d'un pont flottant, symbole des difficultés russes dans le Donbass. « Les Russes ont tué mes connaissances, mes amis proches. Des gens que je connaissais depuis l'enfance m'ont dit qu'ils avaient honte de moi. (…) Mon père, caché dans une cave, me disait que si je ne faisais rien, il aurait honte de moi », raconte l'ancien cadre de Gazprom. Igor Volobuev affirme avoir quitté la Russie et son poste le 2 mars, en rejoignant Kiev via Istanbul.
Elle y a coupé court sur Twitter, indiquant que "contrairement à ce qu'écrit la presse sans même avoir pris soin de me consulter, sur la base de fantasmes, je n'ai aucune émission de TV prévue sur C8! ". J. F Tout TF1 Info Les + lus Dernière minute Tendance Voir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir plus d'actualités
Plusieurs explosions ont secoué la Transnistrie, une région séparatiste pro-russe de Moldavie, frontalière de l'Ukraine. Le conflit ukrainien s'exporte-t-il dans un autre pays? C'est la crainte ce mardi alors que la Transnistrie, région pro-russe séparatiste de la Moldavie et frontalière de l'Ukraine, a été secoué par une série d'explosions, faisant craindre une extension du conflit. Que s'est-il passé? Lundi, les autorités séparatistes de la région, ont rapporté une attaque au lance-grenades contre le siège du ministère de la Sécurité publique à Tiraspol, la capitale régionale: "Les fenêtres des étages supérieurs ont été brisées. Igor Volobuev, cadre de Gazprom, fuit la Russie pour rejoindre la résistance en Ukraine. Une fumée s'échappe des locaux. Le territoire adjacent est encerclé par des policiers", a déclaré la police de la Transnistrie dans un communiqué. Ce mardi, deux détonations ont endommagé une tour radio, toujours dans la région de 505. 000 habitants. Ces deux incidents n'ont pas fait de victime, mais renforcent la crainte d'un débordement en Moldavie du conflit qui ravage l'Ukraine voisine.