Nous tous à la recherche du moyen d'arriver a cette fin. Nous faisons ce que nous croyons être le mieux pour nous-mêmes, même si la plupart du temps le bonheur reste une chimère inatteignables. Pour l'atteindre, il nous faut passer par des moyens qui dépendamment de la situation nous rapprochera un peux plus du bonheur. Mais puisqu'il est presque impossible de le définir, et qu'il est différent…. Le bonheur est-il la quête de l'idéal humain? 777 mots | 4 pages Le bonheur est une vision de l'eudémonisme, c'est-à-dire une fin ultime de la vie. Il représente l'aboutissement d'une vie et l'assouvissement intégral des besoins et désirs de l'homme. Alors le bonheur comblerait ce vide ressenti. Il peut cependant être perçu comme la paix intérieure de l'Homme, et serait la moralité qui mène à un état stable. « Les deux grands secrets du bonheur: le plaisir et l'oubli. » Citation d'Alfred de Musset; La nuit…. SQ QUETE DU BONHEUR SylDem 7juin 1 10504 mots | 43 pages Caligula (Acte I, SCÉNE IV) d'Albert Camus LE VENT A DJÉMILA, Noces de Albert Camus Le monde de Sophie de Jostein Gaarder, 1995 L'absurde et le suicide, Un raisonnement absurde, Le mythe de Sisyphe, d'Albert Camus, Folio essais, 2010 La quête du bonheur permet-elle de réussir sa vie?
La quête du bonheur au siècle des Lumières 1. Comparez les différentes conceptions du bonheur exprimées dans ces textes en indiquant les conditions évoquées par chacun des auteurs pour y accéder. Montesquieu, dans les Lettre s persanes (1721). pense que le bonheur se trouve dans la pratique de la vertu (« l'intérêt des particuliers se trouve toujours dans l'intérêt commun «, « la justice pour autrui est une charité pour nous «). Voltaire, en revanche, affirme que les conditions nécessaires pour accéder au bonheur sont le luxe et le progrès. Il fait l'éloge de son « siècle de fer «. Récusant les valeurs religieuses qui fondent l'idée du bonheur sur le sacrifice, l'austérité et la vertu (voir le texte de Montesquieu), il considère que les raffinements de la civilisation augmentent le bonheur des hommes. Dans Le Mondain (1736), véritable hymne à la vie et aux plaisirs, il présente ainsi une conception épicurienne du bonheur. Dans la cinquième promenade des Rêveries du promeneur solitaire (1782), Rousseau évoque son séjour sur l'île Saint-Pierre, lieu de retraite idéal, selon lui, pour faire l'expérience d'un bonheur qui ne tient que dans la jouissance « de soi-même et de sa propre existence « présente.