Dans l'étranger on peut lire: « Enfin, est-il accusé d'avoir enterré sa mère ou d'avoir tué un homme? » Le public a ri. D'après vous, p ourquoi le public a ri? Trouvez-vous cette phrase drôle?
« Je n'avais qu'une hâte, celle qu'on en finisse et que je retrouve ma cellule avec le sommeil ». - Il se révolte passivement, ce qui justifie son souci de vérité et d'authenticité lorsqu'il dit: « j'ai acquiescé mais mon compliment n'était pas sincère, parce que j'étais trop fatigué ». - Après l'irruption de souvenirs le personnage retombe dans un état de fatigue et d'indifférence, sorte de résignation désabusée: « je n'avais qu'une hâte, celle qu'on en finisse et que je retrouve ma cellule avec le sommeil ». Bachibac 2012 / 2014: L'Étranger - Partie II - Questions de compréhension. - Meursault est complétement détaché de son procès: « À la fin, je me souviens seulement que… », « C'est à peine si j'ai entendu ». - Meursault... Uniquement disponible sur
Analyse sectorielle: L'étranger, chapitre 4, partie 2. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 18 Mars 2017 • Analyse sectorielle • 587 Mots (3 Pages) • 2 723 Vues Page 1 sur 3 L'étranger (partie 2 chapitre 4) I - Les sens sollicités A - Le refuge dans les souvenirs - Meursault à envie de fuir la réalité, il se plonge donc dans ses souvenirs: il est nostalgique: « j'ai été assailli des souvenirs ». - Il est dans ses pensées pour avoir une sorte de liberté. - L'attention de Meursault est détournée par le bruit extérieur de « la trompette d'un marchand de glace » qui incarne la vie en liberté. - Les sens sont sollicités, Meursault hiérarchise les sons. L'Étranger de Camus : 📚 Partie 2 chapitre 3 (Explications et commentaires détaillés). - L'ouïe est présente: « c'est à peine si j'ai entendu », « J'ai entendu », « Aux quelques bruits de rue que j'entendais ». - Mais aussi l'odorat: « des odeurs d'été ». - La vue est extrêmement présente à la fin du passage « J'ai encore regardé la salle », « J'ai rencontré le regard du journaliste », « Je l'ai vu entre Céleste et Raymond », « J'ai vu son visage ».
Tout le long du roman, Meursault est honnête envers lui-même et envers les autres. Ce souci d'honnêteté, de clarté est bouleversé lorsqu'il commet le meurtre qui va l'emmener en prison. Dans ce texte, Meursault essaye de comprendre les événements qui se déroulent devant ses yeux et est confronté à une incompréhension: je n'avais pas compris à quel point les jours pouvaient être à a fois longs et courts. [... ] [... ] Ce registre didactique entraîne alors un certain registre satirique. Effectivement, une véritable critique apparaît contre le monde sans cohérence dans lequel le personnage principal, qui n'est qu'honnêteté, vit et ce monde est sans aucun doute celui dans lequel Albert Camus a vécu et a trouvé une cause à la notion d'absurde. L étranger chapitre 3 partie 2 de. Conclusion Le personnage de Meursault s'éloigne des autres personnages de romans traditionnels par son désir de compréhension dans un monde incohérent. Ce désir est perçu par le lecteur comme un désir absurde puisqu'il sait que cette compréhension est vaine. ]
Finalement, c'est l'organisation qui pêche pour cette deuxième tentative. L'utilisation du numérique, qui devait rendre le vote accessible, s'avère hasardeuse. Certains vont même jusqu'à s'interroger sur la validité du vote. Jhonny Blamoutier, habitant en Espagne, pose la question sur Twitter: "L'égalité devant le vote n'étant pas respectée, il pourrait être invalidé? "