4. Soirée Cousins FamJam Soirée Queer hip-hop quasi mensuelle au club Lambi 5. Soirée L Nights Soirée lesbienne mensuelle au bar Rachel-Rachel 6. Casa del Popolo Bar mythique pour ses concerts intimes et sa faune hipster. Une clientèle ouverte et hybride a élu domicile à la Casa del Popolo depuis des années. Casa del popolo 7. Lez Spread the Word Plate-forme de diffusion sur la communauté lesbienne. Ils organisent plusieurs événements. 8. Fortune Tacos Restaurant de tacos à quelques mètres du Notre-Dame des Quilles, qui reçoit le même type de clientèle. 9. Café Cagibi Un café tout ce qu'il y a de plus hipster, ouvert et sympathique, en plein cœur du Mile-End. 10. Café Névé Un des meilleurs cafés en ville sur la rue Rachel. Employés et clientèle ouverte et hyper sympa. 11. Grumman 78 Le local pignon sur rue du célèbre Food Truck de tacos. Une soirée sympathique où l'alcool et la nourriture coulent à flots. 12. Café Cléopâtre (2e étage) Figure emblématique de la main et de la culture travestie et drag, le café Cléopâtre (le 2e étage) est un incontournable.
Énormément. Il y a vingt ans, les parents acceptaient très mal cette annonce, certains hurlaient, pleuraient, tournaient le dos à leur enfant. On en avait régulièrement qui nous emmenaient leur ado pour qu'on "corrige" cette homosexualité. Les mentalités ont beaucoup évolué. Dans les manuels de psychiatrie des années 60 ou 70, l'homosexualité était par exemple considérée comme une perversion sexuelle. Il a fallu attendre les années 90 pour qu'on admette qu'il s'agissait d'un penchant dont on ne sait d'ailleurs toujours pas vraiment quand il prend racine. Aujourd'hui ces réactions extrêmes sont rares. Dans la grande majorité des cas, les parents ne sont pas très à l'aise avec l'homosexualité de leur enfant - notamment parce qu'ils ont des représentations - mais ils l'acceptent. Et les mentalités évoluent dans ce sens: les adolescents sont plus ouverts que leurs parents sur le sujet. Caroline Politi Opinions Détours de France Eric Chol Chronique Gilles Pialoux, chef du service d'infectiologie de l'hôpital Tenon à Paris Tribune Jean-François Copé Chronique Par Pierre Abadie, directeur climat de Tikehau Capital
"Est-ce que cela veut dire qu'il est gay? " C'est la question que posait une femme au "New York Times", en janvier dernier. Après avoir fouillé dans le téléphone de son copain, elle s'était aperçue qu'il se baladait sur des applis gays. En lisant cette femme, nous avons pensé à son compagnon. Parle-t-il d'homosexualité et de bisexualité dans les dîners d'amis sans se sentir concerné par le sujet? Que signifie ce refus d'accéder à ces catégories? Adrien*, qui se présente comme "un Parisien trentenaire semi-branchouille qui gagne bien sa vie dans l'événementiel culturel", a accepté de nous parler de son cas par téléphone, après avoir insisté sur l'anonymat total de son témoignage. "Des aventures exotiques" Dans une conversation, ponctuée de soupirs, il se souvient de son arrivée à Paris il y a quelques années et de sa plongée dans une disette sentimentalo-sexuelle. Pas une meuf à pécho. Timide, pas dragueur, Adrien finit par se tourner vers les mecs pour "combler un vide". Il couche plusieurs fois avec des garçons, découvre des plaisirs nouveaux en étant pénétré... "Mais ce n'est pas comme si j'étais homo, là, c'est juste des aventures exotiques irrégulières et ponctuelles. "
Mais chez lui comme au collège, "il valait mieux cacher son homosexualité", précise-t-il. "Parce que ça n'aurait pas été très bien vu. " Le Refuge L'association Le Refuge, créée en 2003, accueille des garçons et des filles de 18 à 25 ans exclus du domicile familial du fait de leur homosexualité. L'association, qui fonctionne grâce à des dons et des subventions publiques, dispose d'appartements et de chambres d'hôtel en Ile-de-France, à Marseille, à Lyon et à Montpellier. L'antenne de Paris, ouverte en 2008, héberge 21 jeunes pour une période de six mois. Le Refuge dispose d'une ligne d'urgence: 06 31 59 69 50. Et ça ne l'a pas été. À la maison surtout. Quand sa mère révèle l'homosexualité de son fils à son compagnon après quelques semaines de relation, tout a changé. "Mon beau-père ne m'a plus adressé la parole, l'ambiance est devenue très tendue". Les insultes se sont immiscées partout dans le quotidien, à table, aux pauses cigarettes sur la terrasse... "Un jour, j'ai touché sa fourchette.
S'il ne peut se définir comme gay, c'est que: "Je ne me suis jamais considéré comme gay ni même bi parce que je ne me vois pas être en relation réelle avec un mec. " "Hétéros curieux Pour lire la suite de cet article et accéder à l'intégralité de nos contenus. Je teste sans engagement ou Profitez de l'offre 1€ pour 3 mois avec Google En choisissant ce parcours d'abonnement promotionnel, vous acceptez le dépôt d'un cookie d'analyse par Google.