Douleur, je vous déteste! Ah! que ( continuer... ) 8h16. Le goudron pleure ses dernières larmes de chaleur. Des carcasses humaines ( continuer... ) De gaieté en gaieté J'ai contrefait ma joie De tristesse en tristesse J'ai ( continuer... ) (poème inachevé) Tout voir – je vous ai dit que je voulais tout voir, Tout ( continuer... ) Quelqu'un m'est apparu très loin dans le passé: C'était un ouvrier des hautes ( continuer... ) Ne lisez pas ces vers, si mieux vous n'aimez lire Les escrits de mon coeur, les ( continuer... ) IV Combattu des vents et des flots, Voyant tous les jours ma mort preste Et ( continuer... ) Penser qu'on vivra jamais dans cet astre, Parfois me flanque un coup dans l'épigastre. Ah ( continuer... ) « ma douleur, comme un peu de soleil dans l'eau froide » Paul Eluard, Capitale ( continuer... ) Chopin, mer de soupirs, de larmes, de sanglots Q'un vol de papillons sans se poser ( continuer... ) Dis-moi le Monde de demain un monde où les robots aimeront d'amour, pendant ( continuer... Citadelle de la douleur, poème de Villebramar - poetica.fr. ) Certe, il ne faut avoir qu'un amour en ce monde, Un amour, rien qu'un seul, ( continuer... ) Ils attendent à la surface ces héros au cœur de glace que sous l'immense usine au ( continuer... ) Je ne peux plus, je ne peux plus, vous voyez bien… C'est tout ce que je puis.
Je rêve une existence en un cloître de fer, Brûlée au jeûne et sèche et râpée ( continuer... ) A mon ami Abel Renault. Le soir, quand paraît la première étoile, Les coeurs ( continuer... )... Usons ici le fiel de nos fâcheuses vies, Horriblant de nos cris les ombres ( continuer... Poeme sur la douleur de. ) il porte avec lui sa colère de dix ans, l'emmène dans les couloirs lui cogne ( continuer... ) Un immense désespoir Noir M'atteint Désormais, je ne pourrais M'égayer ( continuer... Tout cela qui sent l'homme à mourir me convie, En ce qui est hideux je cherche ( continuer... ) Sur l'océan couleur de fer Pleurait un choeur immense Et ces longs cris dont ( continuer... ) Les roses étaient toutes rouges Et les lierres étaient tout noirs.
XV Elle se penche sur moi Le cœur ignorant Pour voir si je l'aime Elle a confiance elle oublie Sous les nuages de ses paupières Sa tête s'endort dans mes mains Où sommes-nous Ensemble inséparable Vivants vivants Vivant vivante Et ma tête roule en ses rêves. Poeme sur la douleur par. XVII D'une seule caresse Je te fais briller de tout ton éclat. XXII Le front aux vitres comme font les veilleurs de chagrin Ciel dont j'ai dépassé la nuit Plaines toutes petites dans mes mains ouvertes Dans leur double horizon inerte indifférent Je te cherche par-delà l'attente Par-delà moi-même Et je ne sais plus tant je t'aime Lequel de nous deux est absent. XXIX Il fallait bien qu'un visage Réponde à tous les noms du monde.
nous heureux? Mais regardez nos yeux! Les pleurs y sont encor, pleurs amers, pleurs sans nombre. Ah! quoi que vous fassiez, ce voile épais et sombre Nous obscurcit vos cieux. » Contre leur gré pourqoui ranimer nos poussières? Que t'en reviendra-t-il? et que t' ont-elles fait? Tes dons mêmes, après tant d' horribles misères, Ne sont plus un bienfait. Au! tu frappas trop fort en ta fureur cruelle. Tu l' entends, tu le vois! la Souffrance a vaincu. Dans un sommeil sans fin, ô puissance éternelle! Laisse-nous oublier que nous avons vécu. Poème : La douleur pensive. Les Malheureux Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise Ackermann Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poème | Envoyer à un ami | Voter pour ce poème | 1031 votes Mes pleurs sont à moi, nul au monde Ne les a comptés ni reçus; Pas un oeil étranger qui sonde Les désespoirs que j'ai conçus. L'être qui souffre est un mystère Parmi ses frères ici-bas; Il faut qu'il aille solitaire S' asseoir aux portes du trépas. J'irai seule et brisant ma lyre, Souffrant mes maux sans les chanter; Car je sentirais à les dire Plus de douleur qu'à les porter.
Citation de Christian Bobin; La femme à venir - 1990. La dent envenimée du serpent est moins déchirante que la douleur d'avoir un enfant ingrat. Citation de William Shakespeare; Le Roi Lear, I, 4 - 1606. Ce que l'on dit à la douleur peut très utilement se conseiller à la colère. Citation de Sénèque; De la colère, III, 27 - Vers 47 ap. J. -C. Qu'importe la douleur d'aujourd'hui puisqu'elle est le commencement d'autre chose! Citation de Paul Claudel; Le soulier de Satin - 1929. Il est plus facile à l'imagination de se composer un enfer avec la douleur qu'un paradis avec le plaisir. Citation d'Antoine de Rivarol; De l'homme intellectuel et moral - 1797. Nul mortel n'est heureux jusqu'à sa fin, et nul jusqu'ici n'a échappé à la douleur. Citation d'Euripide; Iphigénie à Aulis - Ve s. av. -C. Le fruit de la faute est la douleur et celui des bonnes actions le plaisir. La poésie pour soulager la douleur - Nos Pensées. Citation d'Antoine Gombaud; Maximes, sentences et réflexions - 1687. Donner est honneur, demander douleur. Citation de Miguel de Cervantès; Le petit-fils de Sancho Panza - 1613.
Le supplice est plus dur aux bourreaux qu'aux victimes Les couteaux sont des signes et les balles des larmes. PARIS PENDANT LA GUERRE Les bêtes qui descendent des faubourgs en feu, Les oiseaux qui secouent leurs plumes meurtrières, Les terribles ciels jaunes, les nuages tout nus Ont, en toute saison, fêté cette statue. Elle est belle, statue vivante de l'amour. O neige de midi, soleil sur tous les ventres, O flamme du sommeil sur un visage d'ange Et sur toutes les nuits et sur tous les visages. Silence. Le silence éclatant de ses rêves Caresse l'horizon. Ses rêves sont les nôtres Et les mains de désir qu'elle impose à son glaive Enivrent d'ouragans le monde délivré. Poeme sur la douleur d. LEURS YEUX TOUJOURS PURS Jours de lenteur, jours de pluie, Jours de miroirs brisés et d'aiguilles perdues, Jours de paupières closes à l'horizon des mers, D'heures toutes semblables, jours de captivité. Mon esprit qui brillait encore sur les feuilles Et les fleurs, mon esprit est nu comme l'amour, L'aurore qu'il oublie lui fait baisser la tête Et contempler son corps obéissant et vain.
ce n'est point à nous de redouter l' enfer, Car nos fautes n'ont pas mérité de supplices: Si nous avons failli, nous avons tant souffert! Eh bien, nous renonçons même à cette espérance D ' entrer dans ton royaume et de voir tes splendeurs, Seigneur! nous refusons jusqu 'à ta récompense, Et nous ne voulons pas du prix de nos douleurs. Nous le savons, tu peux donner encor des ailes Aux âmes qui ployaient sous un fardeau trop lourd; Tu peux, lorsqu 'il te plaît, loin des sphères mortelles, Les élever à toi dans la grâce et l' amour; Tu peux, parmi les chœurs qui chantent tes louanges, A tes pieds, sous tes yeux, nous mettre au premier rang, Nous faire couronner par la main de tes anges, Nous revêtir de gloire en nous transfigurant. Tu peux nous pénétrer d'une vigueur nouvelle, Nous rendre le désir que nous avions perdu… Oui, mais le Souvenir, cette ronce immortelle Attachée à nos cœurs, l'en arracheras-tu? Quand de tes chérubins la phalange sacrée Nous saluerait élus en ouvrant les saints lieux, Nous leur crierions bientôt d'une voix éplorée: « Nous élus?