Il faut dire que la commune possède des professionnels de santé implantés, des structures scolaires et sportives. Cette vidéo est née car pour le maire, " il y a une situation qui va devenir critique d'ici à la fin de l'année. On est proche de la commune des Ancizes où il y a plus de 1 500 habitants, de la commune de Queuille avec 200 habitants. Donc un bassin de vi e de 4 000 habitants ". Ils ne seraient donc plus que deux médecins d'ici 2023, même si " on a ouï-dire qu'il y aurait un nouveau médecin qui s'installerait dans la commune des Ancizes ". Mais Julien Perrin préfère être prudent sur ce sujet en cours. Faire le buzz pour mieux mettre en avant ce problème que l'on retrouve dans plusieurs communes de France, c'est le but de la vidéo. " On voulait vraiment se démarquer. Et par le biais de cette vidéo, je me dis qu'on peut aller séduire des jeunes médecins en présentant les atouts de la commune de Saint-Georges. " Ce n'est pas la grosse maison de santé qui fait venir le médecin. Julien Perrin - Maire de Saint-Georges-de-Mons L'élu local est convaincu, " ce n'est pas la grosse maison de santé qui fait venir le médecin, c'est vraiment la dynamique qui va se dégager de la commune, se dégager du territoire.
212-8 du même code prévoit que « lorsque les écoles maternelles ou les écoles élémentaires publiques d'une commune reçoivent des élèves dont la famille est domiciliée dans une autre commune, la répartition des dépenses de fonctionnement se fait par accord entre la commune d'accueil et la commune de résidence ». Toutefois, en application des dispositions de l'alinéa 4 de l' article L. 212-8 susmentionné, la commune de résidence n'est pas tenue de contribuer financièrement à cette scolarisation « si la capacité d'accueil de ses établissements scolaires permet la scolarisation des enfants concernés, sauf si le maire de la commune de résidence, consulté par la commune d'accueil, a donné son accord à la scolarisation de ces enfants hors de sa commune ». De plus, aucune obligation financière ne pèse également sur la commune de résidence de l'enfant dans le cas prévu à l'alinéa 5 de l' article L. 131-5 du code de l'éducation où « les familles domiciliées à proximité de deux ou plusieurs écoles publiques ont la faculté de faire inscrire leurs enfants à l'une ou l'autre de ces écoles, qu'elle soit ou non sur le territoire de leur commune, à moins qu'elle ne compte déjà le nombre maximum d'élèves autorisé par voie réglementaire ».
- la comptabilisation de l'activité et le suivi de l'activité. - la réalisation et le suivi de la facturation liée aux séjours en tenant compte des Règlements Départementaux d'Aide Sociale (RDAS), des forfaits journaliers et de la participation des Usagers. - la mise en place d'outils harmonisés de suivi et de contrôle ad hoc. - Etre force de proposition en matière d'optimisation du suivi. - Gérez et suivez les investissements de différents établissements: - Assurer le suivi comptable des immobilisations. - Elaborer les Plans Prévisionnels des Investissements. - Réaliser le montage des dossiers de prêts. - Etre le relais des AMO en matière administrative sur les dossiers de subventions. - Assurer le suivi comptable des chantiers. - Etablir les déclarations TVA en lien avec les opérations immobilières - Etre force de proposition en matière d'optimisation des investissements. Profil: - Diplôme Bac+2 gestion comptable exigé. - Une connaissance du logiciel de comptabilité « Cegi / Compta first » serait un plus.
Objectif: permettre à l'interco de disposer d'une cartographie globale, subventionnée par l'Etat, à intégrer dans son futur PLUI. Contraintes mal mesurées « Je crains que certaines informations aient été mal comprises. La communication du ministère de la Transition écologique a été très positive, présentant de nouveaux outils juridiques et des financements pour une cartographie. Je ne suis pas sûre que les contraintes, pourtant énormes, aient toujours été bien mesurées. Il s'agit de mettre un trait définitif sur une carte dans le PLU, ce qui entraîne des effets très importants en cascade, avec des restrictions d'urbanisation fortes et des expropriations. Cela engage la responsabilité de la commune pour l'avenir », prévient Anne-Sophie Leclere. Elle craint en outre que certains maires aient confondu submersion et érosion, et aient ainsi ajouté leur commune sur la liste. Les échanges au sein de certains conseils municipaux tendent à démontrer cette confusion. La Baule-Escoublac (16 300 hab., Loire-Atlantique) s'est inscrite volontairement sur la liste pour faire réparer sa « promenade de mer »!
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