J'ai également été un peu déçue par quelques passages du livre qui me paraissaient très longs et lents ce qui me faisait perdre le fil de la lecture. Conclusion: Je suis plutôt mitigée, c'est à la fois une très belle histoire, les deux protagonistes sont attachants et touchants mais beaucoup d'instabilité au niveau du rythme, des passages qui semblaient trop lents nous font perdre le fil de l'histoire et également trop de personnages. Au revoir là-haut. C'est un bon roman que je recommande mais je n'ai pas été plus emballée que ça. Ma note: 3, 5/5
Ces deux laissés-pour-compte se vengent de l'ingratitude de l'État en mettant au point une escroquerie qui prend appui sur l'une des valeurs les plus en vogue de l'après-guerre: le patriotisme. Ils vendent aux municipalités des monuments aux morts fictifs. Quant au lieutenant Pradelle, il profite des nombreux morts inhumés dans des tombes de fortune sur le champ de bataille pour signer un contrat avec l'État qui prévoit de les inhumer à nouveau dans des cimetières militaires, vendant « aux collectivités des cercueils remplis de terre et de cailloux, voire de soldats allemands ». Je présente l'extrait L'extrait suivant se situe au moment où Albert Maillard revient du dîner chez M. Péricourt. Il met en scène l'explication de l'escroquerie aux monuments aux morts que souhaite mettre en place Edouard. L'extrait met en scène la découverte progressive par Albert du stratagème d'Edouard. Au revoir la haut chapitre par chapitre 3. Il s'accompagne d'une critique féroce de la politique mémorielle de la France d'après-guerre. Je formule la problématique Comment l'auteur parvient-il à dénoncer l'imposture de la politique mémorielle de la France d'après-guerre?
Le poids des vers de terre en France serait vingt fois supérieur à celui de la population française. Ce chiffre étonnant nous laisse deviner le travail colossal et indispensable que peuvent accomplir ses ouvriers de l'ombre. Incursion sous terre pour mieux comprendre le rôle crucial du ver de terre au jardin. À lire aussi: Astuces bio pour la santé des sols Reconnaître les principaux oiseaux du jardin pour mieux les accueillir Le ver de terre Ils représentent 70% de la biomasse terrestre. On en dénombre 150 espèces en France et 5000 espèces dans le monde. C'est un invertébré. Il ne possède ni œil ni oreilles. Le ver de terre est pourvu de cinq cœurs. Il est hermaphrodite. Un corps complexe: En France, le ver de terre mesure entre 30 et 40 cm. Son corps longiligne est plus complexe qu'il n'y parait. Il est constitué d'anneaux recouverts de poils qui l'aident à se déplacer. Les trous présents sur sa peau lui permettent de respirer, car il n'a pas de poumons. Cette peau est visqueuse et recouverte d'un mucus qui l'empêche de se déshydrater.
Au moins, les vers peuvent alors migrer hors du contenant vers le sol en dessous quand les conditions ne leur plaisent pas… et retourner dans le bac quand elles leur conviennent. (Même dans ce cas, vous remarquerez que peu de vers vont naturellement élire domicile dans un bac, ce qui est, il me semble, assez révélateur. ) Dans un bac surélevé, dans un bac en tissu sans trou de drainage (l'eau s'évacue à travers les fibres du contenant, donc aucun «trou» véritable n'est présent) ou dans un bac placé sur une surface inerte (terrasse, béton, asphalte, etc. ), les vers de terre deviennent prisonniers d'un milieu qui peut facilement leur devenir hostile. Souvent, d'ailleurs, ils y meurent assez prestement. Parfois, des vers de terre élisent résidence dans les pots de nos plantes d'intérieur. Pour savoir quoi faire, lisez l'article Vers de terre dans une plante d'intérieur. Où sont les avantages? Les lombrics sont utiles en pleine terre, mais pas autant en pot. : De plus, bien que l'on considère les vers utiles pour la culture en pleine terre, car ils aèrent le sol avec leurs tunnels et enrichissent le sol avec leurs déchets, ces effets sont moins utiles en pot.
Vous les trouverez seulement dans le terreau des plantes qui aiment un sol plutôt humide; les vers de terre ne peuvent pas vivre dans des pots qui s'assèchent complètement entre deux arrosages. Normalement, les vers de terre ne sont pas nuisibles aux plantes. Au contraire, ils sont bénéfiques, aérant le sol par leurs tunnels et l'enrichissant avec leurs turricules. Mais en pot, leur nourriture principale, la matière organique présente dans la terre, vient vite à manquer, surtout que la plupart des terreaux sont à base de tourbe ou de coir (fibre de coco), deux matières lentes à se décomposer et faibles en minéraux qui n'offrent presque rien qu'un lombric puisse consommer. Ainsi, les vers se mettent à manger les jeunes racines des plantes, ce qui peut nuire à leur croissance et même éventuellement les tuer. Que faire? Commençons par la prévention. Plongez le pot dans de l'eau savonneuse pour éliminer les vers de terre. Ill. : Claire Tourigny, tirée du livre Les 1500 trucs du jardinier paresseux &; Avant de rentrer vos plantes à l'automne, plongez leur pot dans un seau d'eau savonneuse et maintenez-les inondés pendant au moins 20 minutes.
Malheureusement, les engrais chimiques et pesticides anéantissent les vers et, par conséquent, appauvrissent la terre. Pour rebooster cette terre de plus en plus stérile, en agriculture conventionnelle, on l'inonde d'engrais, puis de pesticides, cercle vicieux. A l'opposé, le cercle vertueux est bien de laisser faire leur travail aux vers de terre: en participant à la préservation de la biodiversité, ils construisent un sol sain et riche. Claude Bourguignon, agronome, défenseur des vers de terre Claude et Lydia Bourguignon microbiologistes des sols montrent bien l'importance des vers de terre dans la bonne santé et la vie des sols. Avec le déversement des produits phytosanitaires, les quantités de vers sont passés de deux tonnes à l'hectare, à moins de cent kilos à l'hectare. Comme le sol est organo-minéral, ce sont les vers qui participent à la transformation du minéral en argile, lui-même lié par les humus. Leur discours est très instructif: la masse de vers de terre sur la Terre est supérieure à celle de tous les autres animaux et insectes réunis!
Merci si ces " travailleurs de l'ombre " ô combien précieux sont vraiment très ( trop) nombreux dans un volume de substrat relativement peu volumineux peut-être pourriez-vous en libérer au moins quelques uns dans la Nature? Il est aussi possible que certains quittent d'eux-mêmes leur garde-manger. C'est à vous de voir … Je veux bien libérer ceux que je trouve à la surface 😉 mais comment faire pour ne plus en avoir? merci Pourquoi vouloir retirer tous ces lombrics du pot? Laissez-les vivre! Et qui sait si des œufs ne sont pas présents dans le substrat? Ne vous faites pas de soucis! 😉 Bonsoir N'ayez crainte, Mag, ils ne viendront pas vous chatouiller les doigts de pieds dans votre lit! C'est qu'ils vous répugnent, j'imagine. Bienvenue à tous les amoureux de la nature =`~`= Merci pour vos messages 😀 je vais les laisser tranquille dans le pot, je ne leur veux aucun mal! je m'inquiète surtout pour mon coleus qui se fait grignoter…. à bientôt Bonjour Suis du même avis que Floris. Je suis pour que vous les déposiez sur des parterres de verdure si vous êtes en ville… A la campagne il y a plus de choix… N'importe où ils pourront plonger dans la terre et faire leur vie de ver.