L'ouvrage vient appuyer ses propos en soulignant que "la vente à domicile se distingue clairement de la vente à distance, réglementée par les articles L. 121-16 à L. 121-20-16 et L. 121-27 du Code de la consommation, à l'occasion de laquelle la prise de commande se réalise par un moyen de communication à distance". Bien que les vendeurs en aient l'interdiction, ce n'est pas le cas des entreprises. Celles-ci peuvent tout à fait avoir un site marchand, indépendamment de savoir comment faire cohabiter ces différents modes de distribution. Juridique : le vendeur à domicile peut-il commercialiser les produits sur Internet ? - Vente directe magazine. L'utilité du Web Toutefois, les entreprises peuvent également héberger les sites non marchands de leurs VDI. "Ce n'est pas parce qu'il n'a pas le droit d'y vendre qu'il ne doit pas y être présent", pointe Yann Bédard. Ainsi, de plus en plus de sociétés optent pour cette solution, car elles peuvent ainsi mieux encadrer la présence de leurs distributeurs sur la Toile. "Lorsque les sociétés les autorisent à avoir une visibilité sur Internet, c'est surtout pour permettre de parler de leur activité mais aussi de présenter l'entreprise.
l'essentiel Des miels présentés comme « aphrodisiaques » et « naturels », contenant en réalité des substances médicamenteuses telles que la Viagra, sont actuellement vendus sur internet. Les autorités sanitaires mettent en garde contre ces produits, potentiellement dangereux pour les consommateurs. Les autorités sanitaires ont mis en garde ce mardi contre des miels et gelées se présentant comme des produits « naturels » « aphrodisiaques » et qui contiennent en fait des principes actifs de médicaments comme le Viagra, exposant ceux qui les consomment à des « effets indésirables graves ». Vendre du miel sur internet la. Les personnes en ayant acheté sont invitées « à ne surtout pas consommer ces produits et à les détruire », alertent la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), la Direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) et l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Ces produits « illégaux et dangereux », vendus « notamment via internet ou les réseaux sociaux » sous les marques Black Horse Honey ou Jaguar Power, sont présentés comme « des compléments alimentaires à finalité aphrodisiaque (…) contenant des ingrédients d'origine naturelle (plantes) », expliquent ces autorités dans un communiqué.