P. Blayau a rendu hommage au travail accompli par Bertrand Labilloy et les équipes de CCR pendant son mandat. Jacques Le Pape présidera au bon déroulement du plan stratégique du groupe CCR avec le renforcement du régime des Catastrophes Naturelles, la poursuite de l'expansion de l'activité de réassurance commerciale et le développement de l'expertise scientifique de CCR au service des pouvoirs publics et des cédantes dans l'analyse des grands risques. Ancien élève de l'Ecole normale supérieure de la rue d'Ulm, Jacques Le Pape allie une expérience de haut niveau au service de l'Etat et des entreprises. Il est inspecteur général des finances, actuaire et diplômé en physique quantique ainsi qu'en économie. Il a débuté sa carrière au sein de la Commission de Contrôle des assurances avant d'occuper différents postes à la Direction générale du trésor. Il a été successivement conseiller du Garde des Sceaux, du Ministre des Transports et enfin directeur-adjoint du cabinet et conseiller auprès de Christine Lagarde, ministre des Finances.
Réuni le 4 mai 2021, le conseil d'administration de la Caisse Centrale de Réassurance (CCR) désigne Jacques Le Pape au poste de président du conseil d'administration du groupe. Il succède à Pierre Blayau dont le mandat arrive à échéance. Diplômé de l'Ecole Normale Supérieure, Ulm, Paris et de l'Institut des Actuaires, J. Le Pape est également diplômé de physique quantique et d'économie. Il débute sa carrière en 1990 auprès de l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR). Après des passages à l'inspection générale des finances et à la direction générale du trésor, J. Le Pape occupe, entre 2002 et 2011, le poste de conseiller au sein de plusieurs cabinets ministériels. En 2013, il rejoint Air France- KLM en qualité de secrétaire général. De 2016 à ce jour, J. Le Pape préside le conseil de surveillance du fonds grec de participations et de privatisations (Hellenic Corporation of Assets and Participations). Il est également membre associé chez Barber Hauler Capital Advisers depuis 2020.
Il rejoindra d'ailleurs ce dernier en 2013 chez Air France dont il sera secrétaire général près un court passage à l'Inspection générale des finances. La tâche qui l'attend demande de la diplomatie. Preuve en est que confirmée, le 7 septembre, par le ministère de l'Economie, en France, sa nomination n'a toujours pas été avalisée par la Grèce. Athènes vient de démentir qu'une décision définitive ait été prise. Prié de dire si un terrain d'entente avait été trouvé, un responsable grec cité par l'agence Reuters a répondu le 16 septembre: « Non, mais nous parviendrons à un accord dans les jours à venir. » Cela fait des années qu'Athènes traîne des pieds pour céder ses « bijoux de famille ». Encore plus depuis l'arrivée au pouvoir de la gauche radicale Syriza. La cession du port du Pirée aux Chinois de Cosco a été un vrai feuilleton. L'année 2016 n'a toutefois pas trop mal démarré avec la cession de quatorze aéroports régionaux (Salonique, Corfou, Mykonos, Santorin, etc. ) à un consortium mené par l'Allemand Fraport moyennant 1, 2 milliard d'euros, plus une participation annuelle à hauteur de 28, 5% du résultat d'exploitation et un versement de 23 millions d'euros l'an.
Carte mentale Élargissez votre recherche dans Universalis Celui qui deviendra pape sous le nom de Benoît XII est né à Saverdun dans le comté de Foix près de Toulouse et mort le 25 avril 1342 à Avignon. Moine cistercien à Boulbonne, puis maître en théologie, diplômé du collège Saint-Bernard à Paris, Jacques Fournier devient supérieur de l'abbaye de Fontfroide en 1311, puis évêque de Pamiers en 1317, de Mirepoix en 1326, et cardinal en décembre 1327. Il se distingue par son implication dans les débats théologiques et son zèle à combattre les hérétiques, si bien que les cardinaux d'Avignon le choisissent le 20 décembre 1334 pour succéder au pape Jean XXII (1316-1334); il est intronisé le 8 janvier 1335 sous le nom de Benoît XII. Il s'attache alors à fixer la doctrine autour d'un débat qui agita la fin du pontificat de son prédécesseur sur la question de la vision béatifique promise aux justes après leur mort. Jean XXII avait, à plusieurs reprises, défendu la thèse de l'ajournement de cette récompense après le Jugement dernier.
Benoît XII met fin à la controverse par la constitution apostolique Benedictus Deus de 1336, dans laquelle l'Église déclare que les bienheureux jouissent de la vision béatifique dès le moment même de leur mort. Benoît XII tente de réformer les ordres religieux par l'introduction d'une discipline ecclésiastique draconienne. L'austérité de ses mesures lui vaut l'hostilité de ses pairs, et la plupart de ses réformes seront réduites à néant par les papes suivants. Troisième pape d'Avignon, il marque l'enracinement de la cour pontificale dans la ville, décevant les partisans d'un retour à Rome, mais il envoie de l'argent pour la restauration des églises à l'abandon et des aides pour la population déchirée par les conflits. Benoît XII fait construire un coûteux palais des papes en Avignon, et confie la décoration des églises à des artistes toscans, qu'il fait venir de Sienne. Son action politique, sous l'influence du roi de France Philippe VI de Valois, est rarement couronnée de succès. L'un de ses échecs les plus retentissants est son incapacité à juguler le conflit entre les royaumes de France et d'Angleterre qui débute durant son pontificat, et mènera à la guerre de Cent Ans (1337-1453).
La prochaine Rencontre mondiale des familles se tiendra à Rome en juin 2022. Le thème de la rencontre sera L'amour familial: vocation et chemin de sainteté. Après le report d'une année, dû à la pandémie, notre désir de nous revoir est grand. Lors des précédentes rencontres, la majeure partie des familles sont restées chez elles et la rencontre était perçue comme une réalité distante, tout au plus suivie à la télévision, ou inconnue de la majeure partie des familles. Cette fois-ci, elle aura une formule inédite: ce sera une occasion de la Providence pour réaliser un événement mondial capable d'impliquer toutes les familles qui voudront se sentir partie prenante de la communauté ecclésiale. La Rencontre aura une forme multicentrique et diffuse, favorisant la participation des communautés diocésaines du monde entier. Rome sera le siège principal, avec des délégués de la pastorale familiale qui participeront au Festival des familles, au congrès pastoral et à la Messe, qui seront transmis dans le monde entier.