– Serigne Mboup a bien choisi sa troisième épouse. Aïssatou Aïda Mbaye fait partie de la famille proche de Serigne Touba. A LIRE AUSSI: 04 photos – voici la 3e femme qui a fait chavirer le coeur de Serigne Mboup En effet, elle est la petite fille de Serigne Dame Abdourahmane Mbacké dit Serigne Dame Atta ibn Serigne Ibrahim Mbacké Khadim Rassoul. Son père se nomme Issa Mbaye. Sa mère Sokhna Maï Mbacké ibn Seugn Dame Atta a passé son enfance aux côtés de Serigne Mbacké Sokhna Lô. Mme Mboup est aussi une tête pleine. Juriste de formation, elle est étudiante à l'université du Sahel où elle est très remarquable. En plus de cette formation, elle suit un stage dans un cabinet d'un célèbre avocat dont le nom n'a pas été révélé. A LIRE AUSSI: VIDEO. La « Nietel » de S. Mboup CCBM: « Serigne nèna souma rètanè di geune di diongoma » Aïssatou Aïda Mbaye a fait chavirer le coeur du patron de CCBM depuis leur première rencontre. Aujourd'hui, ils officialisent leur relation et décide de vivre sous le même toit.
La maltraitance des talibés de Ndiagne, à Louga, défraie toujours la chronique. L'homme d'affaires Serigne Mboup, pur produit de "daara", déplore et fustige cet acte inhumain. Condamnant ces sévices corporels, le patron de Ccbm place ce drame dans le registre du comportement humain. «Ce n'est pas qu'au 'daara' qu'on assiste à ces comportements. On en enregistre même au sein des familles. Il est arrivé, à l'école française, qu'un maître se défoule avec une rare violence sur un enfant», a-t-il déclaré dans "L'Obs". Le patron de Ccbm dit avoir été lui-même menotté, quand il était au "daara". "Il m'est arrivé, au 'daara' où j'ai fait mes humanités, d'être enchaîné, non par violence ou pour m'humilier, mais pour m'empêcher de fuir. Cela fait partie des coutumes de l'apprentissage du Coran dans les 'daara', au Sénégal. Cette violence s'exerce partout, mais personne ne la cautionne. Maintenant, il ne faut pas en faire l'apanage du 'daara"'. Pour mettre fin à ces pratiques, Serigne Mboup préconise la formation des maîtres coraniques.
Né le 28 Novembre 1966 à Touba Ndorong dans le Saloum (Kaolack), son père Bara Mboup avait décidé de l'inscrire à l'école primaire arabe à Kaolack au quartier Ndorong chez Ouztaz Bassirou Bousso. Passé cette première étape, Serigne Mboup, toujours sur décision de son père, va rejoindre le célèbre Daara de Koki, dans la région de Louga, c'était en 1976. Dans cet établissement réputé pour son sérieux, il a au bout de trois années seulement, réussi à mémoriser tout le Coran ce qui lui avait valu à son retour à Kaolack dans la demeure familiale d'être accueilli avec tous les honneurs. Son père lui avait en effet organisé une grande fête à laquelle il avait invité des Égyptiens venus spécialement pour mesurer le degré de connaissance du jeune Serigne Mboup. Mais ce n'était qu'une étape dans sa formation. Puisqu'il retournera à Koki pour y poursuivre ses études. Il y décrochera d'ailleurs son certificat, son brevet et ira jusqu'au niveau du baccalauréat, un examen qui n'était pas alors organisé au Sénégal.
Et, ils se sont séparés. « Ils ont divorcé mais j'ignore vraiment la cause » nous souffle une source au fait de la séparation prématurée du couple. Nous avons beau tenté de joindre Serigne Mboup aux fins d'en savoir davantage. En vain. Pub