| 29 avril 2021 - MAJ: 29/04/2021 15:06 Le film de science-fiction français, Le dernier voyage, a dévoilé son premier teaser. Entre Mad Max et Melancolia, les images donnent envie de sauver le monde. Malgré quelques surprises, le cinéma français n'est pas un grand adepte du cinéma de science-fiction. Le court-métrage La Jetée de Chris Marker est très loin dans nos mémoires et les Dante 01 de Marc Caro ou High Life de Claire Denis n'ont pas été les révolutions attendues pour ce genre boudé par l'Hexagone. Si le genre reste assez minoritaire du côté de chez nous (malgré la plaisante série Missions), le vent pourrait enfin tourner grâce à un premier film très ambitieux: Le Dernier Voyage. Partagé sur le compte Twitter du distributeur Tandem, le teaser du film a dévoilé l'univers référencé du long-métrage. Effectivement, le réalisateur Romain Quirot semble avoir puisé dans les grands mythes de la science-fiction au cinéma: un peu de Mad Max, un peu de Blade Runner, mais également du Star Wars avec un peu de Mandalorian, voire du Interstellar pour la musique.
LE DERNIER VOYAGE | Bande-annonce - YouTube
Le Dernier voyage Teaser VF 19 040 vues 29 avr. 2021 Le Dernier voyage Sortie: 19 mai 2021 | 1h 27min De Romain Quirot Avec Hugo Becker, Jean Reno, Paul Hamy, Lya Oussadit-Lessert, Philippe Katerine 2 Bande-annonces & Teasers 0:59 Vidéo en cours - Il y a 1 an 1:30 Le Dernier Voyage Bande-annonce VF 154 571 vues 3:49 Le Dernier voyage EXTRAIT VF "Les quatre premières minutes du film" 269 vues 1 Emission d'actu ou bonus 4:52 Le Dernier voyage BONUS VF "Les coulisses" 146 vues Commentaires Pour écrire un commentaire, identifiez-vous Voir les commentaires
La preuve est au cinéma, à présent! Pirogue Tu l'emportes haut la main;-)Mais bon, à vaincre sans péril... N'est-ce pas là le même Gnafron qui me conseillait d'abandonner les combats inutiles? Bah, c'était un ultime effort, désespéré, au cas où il y aurait eu vraiment un interlocuteur à l'écoute et de bonne foi de l'autre côté. J'ai ma réponse à présent, et elle apporte un éclairage définitif et sans appel sur la crédibilité de l'ensemble de ta correspondance sur Allociné à ta présence tentaculaire sur ce site, elle laisse à penser qu'une bonne part de ta vie est ici. Autant en faire quelque chose d'utile. Mais bon, voilà.., aucun belles rencontres à faire ailleurs... ah ah ah!! (3 com' dans le vent)il insiste en plus!
©2019 Ciné - IMPORTANT: Toutes les images / affiches sont la propriété de leurs auteurs ainsi que des sociétés de cinéma respectives.
A peine le film commencé, Luhrmann explose l'écran d'un festival visuel grandiloquent, où les splits screens se succèdent les uns aux autres, où les mouvements de caméra tourbillonnants envahissent l'écran, où le montage déchaîné présage d'ores et déjà d'un biopic enflammé. Bref, en quelques secondes, Baz Luhrmann montre qu'il n'a pas perdu son style aussi baroque qu'allumé, aussi euphorique qu'une soirée sous coke, aussi démesurée que la vie du roi du rock'n roll. L'euphorie euphorique Elvis déroule donc son programme furieux dans une première heure surexcitée et épuisante, où les délires visuels aussi grotesques que spectaculaires de Baz Lurhman n'ont d'égal que la folie musicale accompagnant (non-stop) chaque séquence. Cette première partie est d'ailleurs le moyen de découvrir Austin Butler dans la peau du King. Si le choix a troublé de nombreux fans de la star américaine, le comédien convainc en seulement quelques minutes et prouve son immense talent, parvenant à ressusciter l'icône dans un mimétisme déconcertant de vérité, de ses débuts à sa mort.