Ceci concerne notamment les laboratoires, mais aussi l'industrie (médicaments, agro-alimentaire). Histoire du symbole [ modifier | modifier le code] Avant la création du symbole international du danger biologique, au début du XX e siècle, il n'y avait aucun symbole universel pour exprimer un danger de nature biologique [ 1]. Un laboratoire de catégorie "P3", c’est quoi ? - ladepeche.fr. Par exemple, l'armée américaine utilisait un triangle bleu inversé, la Navy utilisait un rectangle rose et l' Union postale universelle utilisait un caducée blanc sur fond violet pour exprimer ce type de danger [ 2], [ 1] L'absence de norme dans ce domaine entraîna, en 1966, une équipe d'ingénieurs et de designers du groupe Dow Chemical à rechercher et créer un meilleur pictogramme pour exprimer ce risque [ 1]. Le logo devait répondre à six critères spécifiques [ 1]:, [ 2] Attirer immédiatement l'attention Être unique, clair et explicite Être facilement reconnaissable et mémorisable Être facilement dessiné Être symétrique (pour pouvoir le reconnaître sous n'importe quel angle) Être acceptable pour tous les groupes ethniques Le premier critère exclut les logos employés par l' armée américaine et la Navy, le deuxième exclut celui utilisé par l' Union postale universelle, car le caducée est aussi employé dans divers domaines hospitaliers [ 1].
l'essentiel P1, P2, P3, P4... Les laboratoires de virologie sont classés en fonction de la dangerosité des agents biologiques qui sont étudiés sur place. Il va intégrer la liste des 3 000 laboratoires de virologie de ce type enregistrés dans le monde: le laboratoire de catégorie « P3 » (pour « pathogène de classe 3 ») qui va prochainement voir le jour en Andorre suscite des interrogations. Que se passe-t-il à l'intérieur de ce type de bâtiment? Comment sont-ils surveillés et protégés? Voici quelques réponses. Les laboratoires de virologie sont classés en fonction de la dangerosité des agents biologiques qui sont étudiés sur place. En 2000, une directive européenne propose une classification sur la base des « risques liés à l'exposition à des agents biologiques au travail ». Laboratoire p2 p'tits. Sont notamment évalués les risques de propagation de ces agents pathogènes ou encore l'existence ou non de traitements efficaces pour lutter contre les virus étudiés. Il existe ainsi des laboratoires de type P1, qui observent à la loupe des groupes d'agents biologiques qui ne sont pas susceptibles « de provoquer une maladie chez l'homme ».
Présentation des Laboratoires de biosécurité P2 (Protection biologique de niveau 2) / P3 (Protection biologique de niveau 3) Dans le cadre de la politique nationale de la santé, pour la promotion des biotechnologies et pour tous les aspects liés à la biosécurité et bio-sûreté, a été inscrit le projet de réalisation des laboratoires P2/P3 (Classification relative au niveau de sécurité, établie par l'Organisation Mondiale de la Santé en fonction de la pathogénicité des virus), spécialisés dans la manipulation d'agents biologiques pathogènes à haut risque. Ces nouveaux laboratoires, construits sur le site de l'annexe de virologie de l'Institut Pasteur d'Algérie de Sidi-Fredj, sont des laboratoires de haute sécurité biologique fonctionnellement composés de deux laboratoires distincts de niveau 2 et 3. Il s'agit de laboratoires de confinement permettant la manipulation sécurisée, le diagnostic et la recherche des virus hautement pathogènes, construits selon le modèle de "boite en boite"; à savoir la partie P3 dans le P2, considéré comme étant la meilleure approche en terme de sécurité biologique.