Très bien jouée par Jérôme Kircher, seul en scène, qui donne envie de lire ou relire Zweig. Un spectacle utile et intelligent sur l'art face à la dictature # écrit le 13/05/18, a vu Le Monde d'hier, Théâtre des Mathurins - grande salle Paris avec -Bravo! 9/10 Texte indispensable à connaître. Très bien porté par le comédien. # écrit le 23/07/17, a vu Le Monde d'hier, Théâtre des Mathurins - grande salle Paris avec -Belle performance 8/10 Belle performance de monologue qui nous plonge dans l'écriture de Zweig. Cette évocation d'un monde disparu nous fait encore réfléchir aujourd'hui... vu à l'automne 2016. # écrit le 21/05/17, a vu Le Monde d'hier, Théâtre des Mathurins - grande salle Paris avec velo27 Inscrite Il y a 11 ans 89 critiques -Emouvant 10/10 Très beau texte, très émouvant et yres bien interprété. À voir pour comprendre les 2 guerres mondiales. # écrit le 20/05/17, a vu Le Monde d'hier, Théâtre des Mathurins - grande salle Paris avec brisat Inscrite Il y a 18 ans 2283 critiques 130 -Dans les flots de l'histoire 9/10 Coïncidences de la vie, j'avais entendu la veille une émission radiophonique, au milieu de la nuit, évoquant la correspondance échangée entre Stefan Zweig et Romain Rolland.
Le décor évoque une époque passée voire lointaine. La lumière est plutôt intimiste et l'atmosphère créée est chaleureuse, humaine. L'ambiance a été conçue de façon que le spectateur puisse se laisser imprégner par la beauté du texte qui va lui être narré… Et ça fonctionne. L'interprétation juste, fluide et sincère des comédiens rend la rencontre avec ce monument de la littérature particulièrement vivante et émouvante. Plongé dans ce testament qui va de 1895 à 1941, le public est mis dans les conditions idéales pour écouter ce témoignage historique. "Le Monde d'Hier" de Stefan Zweig, témoignage magistral du 20e siècle, se joue au Théâtre Le Public jusqu'au 26 février. Alice Piemme – Théâtre Le Public En parfaite adéquation avec le contexte actuel, cette pièce est également l'occasion de prendre le temps de réfléchir au rôle que peut jouer la culture dans une crise politique ou sociétale. En effet, bien que le récit de Stefan Zweig soit avant tout pertinent pour penser la problématique du nationalisme et de ses dérives, celui-ci s'attelle également à analyser ce que la culture peut offrir face à l'obscurantisme.
» Hadrien Volle, Sceneweb « Dans une interprétation sobre, tendue et fine, Jérôme Kircher dit l'émotion de Zweig, laisse entendre dans les légers tremblements de sa voix le désenchantement, l'inquiétude, la peur des noirs lendemains. Dans une résonance sensible avec le monde d'aujourd'hui » Annie Chénieux, JDD, 5 avril 2016 « Grâce à un jeu d'une netteté et d'une subtilité remarquables, d'une sobriété et d'une intériorité retenue qui font entendre chaque mot, Jérôme Kircher accorde à ce témoignage toute sa puissance dramatique, et toute sa poignante lucidité. Co-mise en scène avec son ami Patrick Pineau, la pièce évite tout superflu et se concentre sur l'essentiel. En cela, la mise en scène fait écho à l'écriture si extraordinairement limpide de Stefan Zweig. Dans cet espace étroit, réduit, quasi nu, émerge cette voix d'une Mitteleuropa disparue. C'est une présence d'acteur et c'est un fantôme d'écrivain qui nous alertent. A méditer… » Agnès Santi, La Terrasse, 23 oct 2018 Extrait « Je suis né en 1881 dans un grand et puissant empire, celui des Habsbourg; mais qu'on ne le cherche sur la carte; il en a été effacé sans laisser de traces.
La Compagnie La Part Manquante fait revivre en un monologue poignant l'univers étincelant et perdu du Monde d'hier, ouvrage des plus essentiels pour nous aider à mieux comprendre les bouleversements du siècle passé et nous interroger sur le monde d'aujourd'hui. Rédigé en 1941 au Brésil où le triomphe du nazisme en Autriche a contraint Zweig à émigrer, Le Monde d'hier raconte une perte: celle d'un monde de sécurité et de stabilité apparente, où chaque chose avait sa place dans un ordre culturel, politique et social qui nourrissait l'illusion de l'éternité. Mise en scène de Jean Stéphane, interprétation Alain Daffos.
» Brigitte Hernandez, Le Point « Le spectacle, minimal dans sa forme mais de grande portée sur le fond, rencontre chaque soir un public saisi par les correspondances entre l'analyse de l'écrivain sur la montée du nazisme et ce que nous vivons aujourd'hui. » Fabienne Darge, Le Monde
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.