– Ah ok, j'allais partir là Il déverrouille sa voiture et je monte. – Tu es comme sur la photo et la webcam – Merci, par contre euh … toi, je ne sais pas encore! Il trouve une petite ruelle peu éclairée, se gare et pose sa main sur ma cuisse. Je pose ma main sur son sexe et m'emploi à lui déboutonner son pantalon. Sa bite semble déjà énorme. J'en ai l'eau à la bouche … Je l'ai en main, commence à l'astiquer un peu, doucement, puis un peu plus rapidement. Ma bouche est comme attirée par cet engin … Je le prends entre mes lèvres et l'enfonce en moi, je le déguste. Il a bon goût, bien large, donc ma bouche est entièrement ouverte. Je l'accueille aussi bien que je peux. Mes seins se balancent sous ma chemise, au gré de mes va-et-vient sur son chibre dressé. Sa main droite explore mon dos puis se glisse sous ma chemise tandis que sa main gauche appuie sur ma tête. L'effet est immédiat. Une histoire d’infidélité - La Saison de la Chasse. Son énorme sexe s'enfonce dans ma bouche. Je le goutte et m'emploie à le boire. Mais au final il veut plus que ma bouche, il retire ma tête de sa bite puis déboutonne ma chemise.
22 décembre 2016 C'est avec beaucoup de pudeur que cette jeune maman nous a raconté comment elle en est arrivé à tromper son mari alors qu'elle était enceinte de six mois. Elle ne veut pas être jugée, elle ne veut pas être incomprise, elle avait simplement besoin de se confier à vous, les DDM. « Nous attendions cela depuis de longs mois déjà. Quand j'ai appris ma grossesse, nous étions très heureux mon mari et moi. Nous allions enfin construire ce foyer que nous désirions tant… Les trois premiers mois ont été idylliques, nous étions très excités, nous avons préparé la chambre, fait des emplettes, annoncé cette grande nouvelle à tout le monde… Nous étions sur un petit nuage. Et puis au bout de trois mois, mon corps a commencé à changer. Mon ventre s'est bien arrondit, j'avoue ne pas avoir fait trop attention à mon poids malgré les avertissements de mon gynécologue. Au bout de six mois, j'avais déjà pris 12 kilos, et je ne ressemblais plus vraiment à ce que j'ai toujours été. C'est à ce moment que mon mari a commencé à ne plus me toucher.
Et puis, quelques semaines plus tard, un dimanche matin, j'ai eu une pulsion alors que j'étais encore au lit. La maison était vide; Loïs était au foot pour la journée. Comme si elle avait fait ça toute sa vie, ma main s'est dirigée doucement vers mon sexe. D'abord maladroitement, puis de plus en plus agile, elle savait précisément où se glisser, quoi effleurer pour faire monter en moi une vague de plaisir dont je souhaitais plus que tout retarder la descente. Dans mon esprit, des images torrides affluaient. Et d'un coup, la terre aurait pu arrêter de tourner et le monde s'écrouler, je perdis pied. « Ground control to major Tom », « allô, allô! », je perdais aussi la tête, une décharge brûlante, un frisson foudroyant, un truc de dingue! me scotcha au matelas. Waouh. Je planais, le cœur battant. Comment avais-je pu vivre trente-trois ans sans ces quelques secondes d'extase? Pour être sûre de ne pas avoir rêvé, j'ai recommencé plusieurs fois. Lorsque Loïs est rentré, j'étais surexcitée, impatiente de partager avec lui ma découverte.