Alors qu'il est avec le groupe de Résistants, Henri de FRANCQUEVILLE reçoit dans la jambe droite une balle tirée depuis la Rue de Vignacourt. L'artère fémorale est touchée. Henri perd beaucoup de sang. Trente minutes après avoir reçu la balle, Henri de FRANCQUEVILLE meurt. Henri de FRANCQUEVILLE () Après cet événement, les Allemands ont quitté définitivement la commune. Henri de FRANCQUEVILLE est la seule victime du 1 er septembre 1944 à La Chaussée-Tirancourt, jour de sa libération. Reconnu « Mort pour la France », son nom est inscrit sur le monument aux morts du village. ▷ Sous-mains pour les CM1. Lionel JOLY et Xavier BECQUET Pour plus d'informations: Sur le 402 e RI: Historique du 402 e RI Sur la Chaussée-Tirancourt: Sur la mort du maire de La Chaussée-Tirancourt: DENTIN Paul, La belle mort d'Henri de Francqueville d'Abancourt Retrouvez d'autres parcours: Edmond BECQUIN de PICQUIGNY Léopold PARIS de LONG et de L'ETOILE Clotaire LECLERCQ de FLIXECOURT
« Petite précision: ne réussissant pas à faire ce que je veux de mon ordi, je poserai les soustractions et multiplications à la main avant de photocopier, d'o le blanc. » « Comme dit dans l'article précédent, j'ai décidé de fabriquer des sous-mains pour mes élèves de CM1-CM2 afin qu'ils aient sous les yeux les principaux outils de français » « Voici le sous-main en mathématiques (Niveau CE2/CM1) a été conçu à partir des mémos de mathématiques CE2 et CM1 de la méthode "Euromaths" de chez Hatier. » «... Elle m'explique que ce sont des sous-mains, que dessus il y a plein de notions de maths et de français, comme ça ses élèves peuvent s'y référer quand ils veulent. Sous main cm1 cm2. Hop, ni une, ni deux... »
Le 402 e RI comptait environ 2 800 hommes en arrivant dans la Marne le 25 septembre 1915. Cinq jours plus tard, les pertes sont estimées à plus de 1 700! Marceau MATHON meurt le 29 septembre 1915 dans la Marne. Il avait 23 ans. Céline, Marguerite et Marie MATHON ont perdu leur frère unique. Sous-mains – Le cartable de cancoillotte. Le 6 avril 1917, Bernard de FRANCQUEVILLE est convoqué devant la Commission de Réforme d'Amiens. S'il est toujours jugé inapte au service armé en raison d'une « musculature insuffisante », il est incorporé au service auxiliaire du 39 e RI de Rouen, puis dans les mois qui suivent, au 3 e et au 20 e Escadron de Train. Son frère cadet, Henri, apte au service armé, est mobilisé le 17 avril 1917. Il rejoint le 120 e RI. Bernard de FRANCQUEVILLE () Bernard de FRANCQUEVILLE meurt le 26 octobre 1918 à l'Hôtel-Dieu d'Amiens pour maladie imputable au service. Il avait 24 ans. Andrée et Henri de FRANCQUEVILLE ont perdu leur frère aîné. Après la guerre, le projet d'érection d'un monument aux morts dans la commune de La Chaussée-Tirancourt est validé par le conseil municipal.
Le château de Tirancourt est occupé par la famille de FRANCQUEVILLE. Le chef de famille se nomme Henri de FRANCQUEVILLE. Il vit à Tirancourt avec son épouse Mathilde ZYLOF DE STEENBOURG, membre d'une famille aristocratique hollandaise. Ils y sont accompagnés de Maurice de FRANCQUEVILLE, leur fils, de son épouse Edith de BOISTEL de BELLOY et de leurs enfants Bernard, Andrée et Henri. Les châtelains disposent de plusieurs domestiques logés dans l'enceinte du château. Il y a un cocher, un valet de chambre, deux femmes de chambre et une cuisinière. Sous main cm1 dys. Plusieurs jardiniers et ouvriers agricoles travaillent également pour la famille de FRANCQUEVILLE. Les enfants du château sont de la même génération que ceux de la famille MATHON. Bernard, l'aîné, est né le 31 mai 1894, sa sœur Andrée en 1897 et Henri, le dernier de la fratrie, le 19 septembre 1898. Si le statut social crée une barrière entre les adultes, les enfants du même âge prennent plaisir à se retrouver. D'autant que le hameau de Tirancourt compte à peine plus de cinquante habitants et que les jeunes enfants y sont rares.