Elle agirait de manière curative sur un certain nombre de maladies. On peut citer l'asthme et les allergies respiratoires, la baisse de la température corporelle, la favorisation de la circulation sanguine. Elle stimulerait les défenses immunitaires, régulariserait le transit intestinal, diminuerait le stress, agirait sur les troubles du cycle menstruel, le diabète, le paludisme, la grippe, la fatigue. Elle contiendrait même des substances actives contre le cancer et les hépatites. Boire son urine: recommandations liées à l'urinothérapie La pratique actuelle de l'urinothérapie ou amaroli consiste à boire chaque jour un verre de son urine du matin pour entretenir sa santé. Boire son propre sperme. [Résolu]. Mais la prise peut se faire à une autre fréquence ou en absorbant quelques gouttes en sub-lingual. L'alimentation doit être saine, et il est conseillé de boire de l'eau claire après l'ingestion: Afin de limiter le risque de contamination par d'éventuelles bactéries, il est préférable d'éliminer les premières gouttes d'urines avant de remplir un contenant car celles-ci contiennent des micro-organismes commensaux, naturellement présents sur le pourtour du méat urinaire.
«Il n'en reste pas moins vrai que les pratiques de recueil et de congélation du sperme sont plus simples que celles des ovocytes et que la baisse du nombre des ovocytes est plus rapide avec l'âge que celle de la numération des spermatozoïdes, ajoute-t-il. Mais cette inégalité est biologique et il faut ici s'adresser au Créateur. Peut-on librement congeler son sperme? | Slate.fr. » Reste, au-delà, des inégalités biologiques historiques, ce que laisse entrevoir, pour le futur, la problématique d'aujourd'hui. À savoir la perspective d'une conservation généralisée, par congélation et vitrification, des spermatozoïdes et des ovocytes avant procréation au moment de la vie où ces cellules sexuelles sont les moins altérées et sont dotées de la capacité maximale de fécondation. Une telle pratique consacrerait de manière radicale la dissociation de la sexualité et de la procréation amorcée, au milieu du XX e siècle avec la contraception hormonale féminine et parfois complétée avec la pratique de la vasectomie masculine. 1 — En octobre 2015, un décret d'application de la loi de bioéthique de 2011a élargi aux personnes n'ayant pas encore procréé la possibilité de donner des spermatozoïdes ou des ovocytes.
La Marine royale thaïlandaise (RTN) reconnaît coupable la conduite d'un sergent instructeur, qui a été accusé sur les réseaux sociaux d'avoir prétendument forcé de nouveaux conscrits à boire de l'eau mélangée à son propre sperme. Le maître de deuxième classe Thaksin Ngokpilai, un instructeur du Marine Corp basé à Sattahip est détenu pendant 30 jours et ses deux supérieurs immédiats sont sanctionnés. Le porte-parole de RTN, Pokkrong Monthatphalin, a admis que l'allégation était fondée, ajoutant que l'incident avait eu lieu en octobre de l'année dernière. Pokkrong a expliqué que, et conformément aux règlements de la RTN, Thaksin sera démis de ses fonctions après avoir terminé sa peine de détention. Le vice-amiral Pokkrong a également présenté des excuses aux conscrits et à leurs familles pour les abus présumés, affirmant que la RTN n'a jamais eu pour politique d'utiliser la violence comme moyen de punir les conscrits, ce qui est considéré comme une violation des droits de l'homme. Urinothérapie : quand boire son urine est bon pour la santé | Bio à la une. Il a également déclaré que le commandant en chef de la RTN, l'amiral Somprasong Nilsamai, avait ordonné à toutes les unités navales chargées de former les nouveaux conscrits de mettre en place des mesures pour prévenir les abus de la part de leurs supérieurs ou des sergents instructeurs et d'essayer de changer leur attitude envers les conscrits.
déjà entendu parler de sciences naturelles, de reproduction, de biologie, de maladies? F fan12bx 15/07/2007 à 13:57 justement le problème est en avalant la sauce d'un autre!! si tu manges la tienne y a pas de problème!! et bon appétit!! A Anonymous 15/07/2007 à 13:58 Attend, il est peut etre sérieux, et les MST, faut pas rigoler avec... Donc: oui, en theorie, tu peux être infecté par une MST avec ton propre sperme... Mais dans ce cas, ça veux dire que tu est déjà contaminé, donc, tu t'en branle... C'est ma premiere et dernière réponse sérieuse sur ce topic... parce que t'a vraiement l'air d'avoir des soucis... Au fait, tu te drogue? J'éspère, parce que si t'est au naturel, là... et bien lors du jugement dernier, tu sera heureux, car la terre sera à toi!! Publicité, continuez en dessous H hot88xb 15/07/2007 à 14:12 Même la théorie dit le contraire: on ne peut être infecté une seconde fois tant qu'on n'est pas guéri de la premiére infection A Anonymous 15/07/2007 à 14:30 Alors même en répondant sérieusement, j'ai dit une connerie... Ben je retourne ailleur, alors!!
8 choses fausses sur le sperme à ne plus croire Pas de mystère sur un point: les liquides biologiques transmettent les bactéries et virus à l'origine des infections sexuellement transmissibles (IST). Et les muqueuses y sont particulièrement sensibles. Mais comme le précise le portail VIH/sida du Québec, " la bouche est un environnement hostile pour le VIH. Les muqueuses de la bouche, si elles sont saines, constituent une barrière que le virus ne peut traverser. " A moins d'avoir les gencives irritées ou de petites plaies, le risque est donc mineur. Afin de limiter le danger autant que possible, il est recommandé d'éviter les rapports oraux dans l'heure qui précède ou qui suit le brossage des dents ou après avoir mangé des aliments susceptibles d'irriter les muqueuses. Attention, en revanche, aux autres IST pour qui la bouche est une portée d'entrée comme les autres. C'est le cas de la gonorrhée, des infections à chlamydia, de la syphilis ou encore de l'herpès. Si certaines peuvent être traitées par antibiotiques, certaines sont chroniques ou d'autres résistent avec acharnement aux médicaments.
Temps de lecture: 6 min La fin justifiait-elle l'omission? Les auteurs du manifeste publié il y a quelques jours dans Le Monde par des médecins et des biologistes de la reproduction n'ont pas craint de simplifier la réalité pour mieux justifier certaines de leurs revendications. C'est le cas pour l'autoconservation des ovocytes dont ils aimeraient qu'elle soit autorisée en France à toutes les femmes qui souhaitent préserver leur capital de fécondité. Il s'agit de prélever des ovocytes et à les conserver par congélation en vue de leur fécondation in vitro ultérieure. Cette pratique a dernièrement grandement bénéficié de la technique de la vitrification ovocytaire qui augmente les chances de succès. L'autoconservation ne peut, en France, être pratiquée que si la femme présente une pathologie à haut risque pour sa fertilité (chimiothérapie pour cancer, endométriose) ou encore si elle souhaite donner une partie de ses ovocytes. À l'inverse, une autoconservation ovocytaire «préventive» (quand la femme est encore fertile, mais sans projet de grossesse immédiat) est interdite.