Dans le film BAM, (Bâtisseurs de l'Ancien Monde) pascal waringo, un compagnon du tour de France explique la quine. Les archéologues du projet "Guedelon" de reconstruction d'un château philippien moderne, on recréé des cannes de bâtisseurs. Voir: Francis Gouge, « Guédelon. Le passé recomposé », in Le Monde, « Science & médecine », 18 septembre 2013, page 4 Tentative de retrouver le lien vers l'article: mais 16 septembre.. le même? La canne de l’architecte | Centre de Recherche sur la Canne et le Bâton. => Equerre des bâtisseurs La pige présentée ci-dessus semble un outil très théorique et peu pratique. L'équerre des bâtisseurs semble bien plus pertinent, et on trouve des traces archéologiques et historique (dans des gravures) d'équerre, mais pas de pige! L'équerre des bâtisseurs est un outil pratique qui permet, avec un simple triangle issus d'un double carré de déterminer toutes les mesures de la quine des bâtisseurs. C'est l'avantage du nombre d'or. C'est que les multiplications et divisions se remplacent par des additions et soustractions! C'est l'avantage de ce nombre qui est en même temps une suite géométrique et une suite arithmétique!!
Corde à treizes noeuds Au Moyen Âge l'architecture d'un édifice religieux ne pouvait être appréhendée que par l'esprit qui fait naître la forme, cette maîtrise de l'art aux proportions harmonieuses reposait sur des notions simples, des figures géométriques. On se servait de mesures établies en rapport avec le corps humain, la ligne, le pouce, la paume, la palme, l'empan, le pied, la coudée ainsi que la toise. La coudée (du latin, cubitus), respectant les proportions et l'harmonie des futurs tracés, le maître d'oeuvre, utilisait la corde à treize noeuds afin d'effectuer les différents traçages pour élaborer les principes géométriques. Corde de chanvre, réalisée sur les proportions de la coudée humaine, basée sur la mesure du coude jusqu'à l'extrémité des doigts de la main. La quine des batisseurs 3. Elle est d'une longueur de douze coudées, donc de douze intervalles identiques marqués par treize noeuds. On peut d'ailleurs comprendre l'origine du verbe multiplier en rapport avec celle-ci quand on le décompose: Multi, plusieurs et plier qui est l'action de donner une forme, mais encore, ne faut-il pas faire le lien avec les douze lunaisons représentions des douze intervalles et celui des treize noeuds pour rappeler les années à treize lunes......!
Son but: doper les capacités individuelles afin qu'elles soient mises au service du collectif. Par Anne Vermès et Yann Harlaut Anne Vermès dirige Traits d'unions, un cabinet qui propose aux dirigeants des leçons du passé. > Retrouvez Les Leçons de Management des Grands Hommes dans notre hors-série spécial, disponible en numérique: Tous droits réservés Recevez nos dernières news Emploi, management, droits, chaque semaine l'actualité de votre carrière.
L e nombre d'or (1) Que deux termes forment seuls une belle composition, cela n'est pas possible sans un troisième. Platon: Le Timée Quine et nombre d'or Fibonacci exposa les connaissances mathématiques des Arabes et introduisit l'emploi des chiffres dits 'arabes', il étudia les fractions continues et inventa la suite qui porte son nom actuellement. Nous avons déjà rencontré la suite de Fibonacci dans les lapins et le morceau caché. La quine des batisseurs grigny. Une suite bâtie sur le même principe a été vue dans le prodigieux calcul. A l'origine Fibonacci (1170-1240) élabora cette suite pour savoir combien de lapins il obtiendrait à la fin de l'année si chaque couple produisait un nouveau couple par mois. Rappelons que dans cette suite de nombres entiers, chaque nombre est obtenu en ajoutant les deux nombres qui le précèdent: 1 1 2 3 5 8 13 21 34 55 89 144 233... C ette suite a été nommée ainsi par Edward LUCAS au 19 ème siècle. Le rapport de deux termes consécutifs de la suite tend vers le nombre d'or qui est encadré une fois par excès et une fois pas défaut avec une précision croissante.