Nous avons parlé boulot un bon moment, ça ressemblait à un déjeuner de travail très sérieux. Et puis au fil du repas, on a commencé à parler de nos vies respectives. Elle m'a d'emblée dit être lesbienne, elle assumait pleinement sa sexualité, ça la rendait belle. Elvire était androgyne, un regard qui envoute, bourrée de charme, c'était troublant. Elle était très cash et ça me plaisait. Elle m'a demandé si ça me tentait de passer ma dernière nuit sur l'île avec elle. Je voyais bien ou elle voulait en venir. Je n'avais pas le fantasme de coucher avec une femme. Disons tout simplement que ça me tentait juste de tester. Premiere fois amateur youtube. À l'époque, mon couple n'allait pas très bien, et c'était l'occasion de me distraire, alors j'ai accepté l'invitation. J'ai eu cette envie d'explorer cette partie de ma sexualité et découvrir quelque chose de nouveau. J'ai toujours eu écho que « coucher avec une autre femme c'était orgasmique ». Je voulais vérifier par moi-même. Et à 25 ans, avant de construire ma vie de famille, je me sentais prête à franchir le pas.
Nous avons rejoint ma chambre. Nous avons commandé quelques consommations puis elle a pris le soin de me demander si j'avais vraiment envie de passer à l'action. La seule réponse que j'ai su lui donner c'est un langoureux baiser. Elvire m'a alors emmené sur le grand lit kingsize, m'a déshabillé lentement… Elle avait ce regard aussi excitant que persécutant. Elle prenait le temps de parcourir mon corps d'abord avec ses mains, puis sa langue… Pour que mon corps s'envole, il me faut de longs préliminaires. Avec Elvire c'était au-delà de mes espérances. Nous avons fait l'amour pendant plus de deux heures et demie avec une succession de trois orgasmes. Premiere fois amateur 2020. Un record jamais inégalé par un quelconque mec dans ma vie!! Comment cette femme a pu me faire jouir autant de fois en si peu de temps? Une magicienne avec des doigts de fée… Je la remercie d'avoir été ma première fois. J'ai eu beaucoup de chance de tomber sur elle, car j'aurai pu craquer sur une lesbienne qui n'aurait vu que par son propre intérêt et ne m'aurait pas aussi bien mise en confiance.
Méryl, 44 ans – Ambulancière. Mariée à un homme depuis vingt ans, j'ai pris la décision de divorcer en 2016. Je ne supportais plus la routine et j'avais un manque constant « d'éclat » et de surprise dans ma vie. Ce fut une décision très difficile à prendre, j'avais peur des conséquences, peur de me retrouver seule et surtout peur que mes quatre enfants m'en veuillent. Finalement avec le recul, je sais que j'ai pris la bonne décision. Bien sûr, la rupture a été compliquée. C'est toujours pesant de quitter une maison avec des souvenirs et de quitter quelqu'un après autant d'années de vie commune. Le divorce prononcé, je me suis installée dans un appartement dans une jolie résidence. C'est là que j'ai fait la connaissance de ma voisine du dessus, Sonia. Sonia a perdu son mari dans un accident de moto et n'a jamais refait sa vie depuis. La solitude nous a rapproché. Ma première fois en camping naturiste. Nous avons vite pris l'habitude de se retrouver, chez l'une et l'autre pour prendre le café ensemble. Elle était mon plus grand soutien dans cette phase de ma vie.