Quelques troupeaux survivront malgré tout. C'est au sortir de la Seconde Guerre mondiale qu'un éleveur d'Ychoux constitue son troupeau de vaches provenant d'animaux venant des dunes. À sa mort, en 1987, le cheptel est réduit à une vingtaine de têtes. « Du printemps à l'automne, nous les utilisons pour la gestion des zones humides dont la fédération à la charge » Le C onservatoire des races d'Aquitaine prend alors conscience que la vache marine landaise est en voie d'extinction et se lance dans un programme de sauvegarde. Après identification, les animaux vont être achetés par l'association de protection de la nature et de l'environnement Sepanso Gironde et réintroduits en 1990 sur la réserve naturelle de l'étang de Cousseau (Gironde). « En pension complète » Au fil des années, ce troupeau va s'agrandir. Le conservatoire va confier le cheptel à différents partenaires, dont la F édération départementale des chasseurs des Landes, qui a rejoint le programme en 2011. Aujourd'hui, l'association veille et assure la subsistance et la bonne santé de 70 vaches marines landaises.
Publié le 04/03/2022 à 05:14 Ce sont de grands habitués des concours. Les éleveurs aveyronnais Pascal et Jérémy Mempontel, père et fils, installés à Saint-Symphorien-de-Thénières, ont obtenu de nouvelles récompenses dans le concours des animaux, au Salon de l'agriculture dans les concours aubrac. Déjà primés pour la qualité de leurs taureaux (avec Gracieux en 2016 et Impresario en 2017 et 2019), ils ont, cette fois-ci, été mis à l'honneur avec la vache Lisa. Elle a été sélectionnée parmi quarante candidates pour participer à ce concours. Et seize seulement, originaires des départements de la zone de l'Upra aubrac (Aveyron, Lozère, Cantal) ont participé à la finale à Paris. Des qualités qui collent à la race Vache née le 27 décembre 2014, Lisa a été doublement primée. Elle a obtenu le prix du meilleur index femelle et celui de la meilleure vache jeune. Une belle performance dans un concours où il est demandé aux vaches d'avoir les qualités qui correspondent le mieux aux standards de la race.
» Soutenir Bouloux? « C'est pour la bonne cause. » Lucas, 27 ans, proche du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), tracte dans la huitième circonscription pour porter Jean-Luc Mélenchon à Matignon. (Le Télégramme / David Brunet) Des discours bien éloignés des propos parfois peu diplomates tenus sous le filtre des réseaux sociaux. « Que ça donne pas envie », clame une militante rennaise sur Facebook à l'annonce, par la page Rennes insoumise, d'une émission sur France 3 avec Mickaël Bouloux. « Quelle erreur d'avoir étendu l'accord aux socialistes », tacle une autre. Un Insoumis de Saint-Jacques assure lui ne pas pouvoir « tracter pour des suppôts de Hollande ». Chassez le naturel…
5 bonnes raisons pour privilégier le pâturage des vaches laitières Des vaches laitières qui se nourrissent d' herbe et passent le plus de temps possible en plein air, à pâturer: c'est la façon de faire la plus simple et naturelle, et c'est celle qu'ont choisi les éleveurs bio partenaires de Faire Bien. On revient sur les multiples avantages du pâturage, pour le bien-être et la santé des vaches, la qualité nutritionnelle du lait, la résilience des fermes, sans oublier l'environnement et les paysages. Le pâturage est meilleur pour le bien-être des vaches laitières Les vaches laitières aiment être dans la prairie: puisqu'il vaut toujours mieux vérifier ce qu'on croit être vrai, une équipe canadienne a mené une expérience sur le terrain pour tester la préférence des vaches lorsqu'on leur donne le choix entre un accès au pâturage et à l'étable. Le résultat est sans surprise: "la grandes majorité des vaches sont allées et sont restées au pâturage", lorsque les conditions climatiques étaient favorables.
Il démarre alors de la transplantation d'embryons jersiais sur ses Holsteins. Puis en 2019, ses deux fils rejoignent la structure: Baptiste en tant que salarié et Clément en tant qu'associé avec comme projet d'installation de développer la race. Ils achètent alors 33 génisses et 8 vaches supplémentaires, signant ainsi l'arrêt de la transplantation. « L'essayer, c'est l'adopter », avouent père et fils qui n'ont pas songé une minute à faire du croisement de race. « On voulait vraiment élever des Jersiaises pures car on est attachés à la race. » Aujourd'hui la Jersiaise est majoritaire dans le troupeau (une centaine de Jersiaises sur 140 VL), et la Prim'holstein y vit ses derniers jours: ils ont arrêté d'inséminer les noires dès l'été 2021 et celles-ci seront réformées au tarissement. La Prim'holstein est en voie de disparition au Gaec de la Petite Vallée, le logo en témoigne. (©Terre-net Média) Une conduite en deux lots Le troupeau laitier est jusqu'à présent séparé en deux lots: les Prim'holsteins d'un côté avec les fraîches vêlées et les réformes Jersiaises (conduites en 100% bâtiment), et le reste du troupeau Jersiais en face (qui pâture).