Différences avec la non-assistance à personne en danger [ modifier | modifier le code] Cette mise en danger comporte un acte positif (on appelle « positif » toute action, par exemple conduite en état d'ivresse, même si l'action peut être moralement jugée négative). La mise en danger se distingue donc du refus d'aider une personne en danger ( non-assistance à personne en danger, qui lui est constitué par l'absence volontaire de commettre un acte pour aider une personne en difficulté. Une autre différence entre ces deux notions, de mise en danger ou de refus d'aider, consiste à regarder la situation de la victime: dans le cas d'une mise en danger, la victime est saine au commencement, tandis que son état s'aggrave ensuite; dans le cas d'une non-assistance à personne en danger, la victime se trouve déjà dans une situation d'où elle doit être sortie. Revue de droit pénal pdf 2017. La mise en danger de la vie d'autrui est punie moins gravement (un an de prison) que le refus d'aider une personne en danger (5 ans de prison).
Enfin, la revue s'intéresse à l'influence des médias sur les décisions des jurys populaires. Parue en octobre 2016, la septième revue française de criminologie et de droit pénal consacre tout un dossier aux conséquences de la légalisation des drogues ainsi qu'à l'ouverture des premières « salles de shoot » en France. Jean-Paul Bruneau, Président de l'association EDVO [14] est notamment interviewé sur sa méthode d'accompagnement des personnes qui souffrent d'addictions sévères, inspirée du modèle « Minnesota ». La revue consacre également un article aux racines intellectuelles du terrorisme anarchiste [15] et un autre aux causes de la surpopulation carcérale aux États-Unis [16]. Le huitième numéro [17] est paru en avril 2017. Dalloz Revues. Il comprend deux articles sur l'utilisation de la statistique en criminologie, un autre sur l'état des lieux de la lutte contre le terrorisme et un sur la définition de la pédopornographie en droit français. Plusieurs auteurs ont contribué à la rédaction du huitième numéro, dont Christophe Soullez, Chef de l' Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales et Heather Mac Donald (en).
Les thèmes abordés sont divers: renseignement criminel en Belgique, notion de crime contre l'humanité, et lutte contre la criminalité à New-York [10]. Parue en octobre 2015, la cinquième revue comprend trois articles [11]. Le premier s'intéresse l'épopée de [Jules Bonnot|la Bande à Bonnot] et l'idéologie anarchiste. Le second apporte une analyse sur l' Hypothèse de la vitre brisée. Le dernier examine la question des fondements biologiques de la criminalité. La revue consacre également un dossier sur le thème de la « prison vue de l'intérieur » avec la traduction d'un article de Heather Mac Donald (en) paru dans le City Journal et un entretien de Dominique Ciavatti, ancien Directeur d'établissement pénitentiaire [12]. Le sixième volume de la revue est paru en avril 2016 [13]. Revue de droit pénal pdf 2018. Il consacre un dossier à la question du terrorisme qui est analysée sous les angles de la criminologie, du droit, de l'histoire, et du renseignement. La revue analyse également les conditions d'une réforme du CSM pour qu'il puisse exercer ses fonctions de garant de l'indépendance de l'autorité judiciaire.
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