Les principes de Fayol • La division du travail: les tâches sont standardis ées; • L 'autorité: l'exécution du travail s'acco mpagne d'un système sanction/récompenses; • Discipline: l'obligation de subordination • L 'unité du commandement: un opérateur ne doit avoir qu'un seu l chef; C'est comme ça qu'il s'oppose à T A YLOR, p arce que taylor présente un modèle fonctionn elle dans lequel il y a plusieurs concepteur. Pour fayol, la multitude de chef et né faste au bon fonctionnement. L 'agent doit recevoir les ordres d'un seul chef, similitude à l'armée. • L 'unité de direction: chaque programme d'ac tion ne doit avoir qu'un seul chef; Il ne doit y avoir qu'un seul responsable pour un ens emble d'opération visant le même but. • Recherche de l'intérêt g énéral: les objectifs de l'entrep rise sont plus importants que les objectifs individuels. • Rémunération: elle devrait être proportionnelle aux effor ts: mode de rémunération très important et fondamentale parc e qu'il peut avoir une influence sur le fon ctionnement de l'org anisation.
L'accent est mis sur les objectifs organisationnels et non sur ceux de l'individu. Cela s'applique à tous les niveaux de l'ensemble de l'organisation, y compris les gestionnaires. rémunération Motivation et productivité sont proches l'une de l'autre en ce qui concerne le bon fonctionnement d'une organisation., Ce principe de gestion des 14 principes de gestion soutient que la rémunération devrait être suffisante pour maintenir les employés motivés et productifs. Il existe deux types de rémunération à savoir non monétaire (un compliment, plus de responsabilités, de crédits) et monétaire (compensation, prime ou autre compensation financière). En fin de compte, il s'agit de récompenser les efforts qui ont été faits. le degré de centralisation La gestion et l'autorité du processus décisionnel doivent être bien équilibrées dans une organisation., Cela dépend du volume et de la taille d'une organisation, y compris de sa hiérarchie. la centralisation implique la concentration du pouvoir décisionnel au sein de la haute direction (Directoire).
Il s'agit de trouver la limite favorable à l'entreprise. Le but à poursuivre est la meilleure utilisation possible des facultés de tout le personnel. 9- La hiérarchie: C'est la série des chefs qui va de l'autorité supérieure aux agents inférieurs. Le commandement en fait la voie de communication nécessaire. Cependant, il faut éviter une transmission trop longue. 10- L'ordre: il est à la fois matériel (une place pour chaque chose et chaque chose à sa place) et social (une place pour chaque personne et chaque personne à sa place). 11- L'équité: la justice s'apprécie en fonction des règles établies, alors que l'équité va plus loin, elle vise l'équilibre. Elle nécessite l'interprétation de ces règles, forcément incomplètes. Elle demande dans l'application, beaucoup de bon sens, d'expérience et de mesure. 12- La stabilité du personnel: Elle conditionne l'efficacité d'une formation qui est généralement longue: il faut beaucoup de temps, en effet, pour faire connaissance avec les hommes et les différentes composantes d'une grande entreprise, pour être en mesure de décider un programme d'action pour prendre confiance en soi et inspirer confiance aux autres.
Théorie des organisation 4272 mots | 18 pages opérations qu'exécutent les chefs et donc les capacités qu'il leur faut posséder. Le Principe est de savoir comment organiser et repartir le travail. le fayolisme s'adresse aux dirigeants d'entreprise, aux ingénieurs que les capitalistes mettent à la tête de leurs usines, c'est une théorie la direction des affaires. Bonjour à toi, le fayolisme prône en fait la compétence du chef (d'équipe, d'entreprise... ) Pour Fayol, le chef est l'élément clé d'une bonne gestion. Il est le responsable du succès…. Leadership 10022 mots | 41 pages légitiment les choix effectués. Les collaborateurs s'approprient alors d'autant mieux les objectifs. Au rang des avantages, on note également que l'instauration de la confiance se fait d'autant plus aisément que ce mode de fonctionnement le permet. Les limites du mode participatif se verront en période de crise, lorsque le leader devra reprendre la main et qu'il s'orientera vers une gestion « top down » en raison des circonstances.