T héophile Kouamouo a reçu le journaliste d'investigation Denis Robert. Dans son dernier livre « Les Prédateurs: des milliardaires contre les États », il traque les profits de deux milliardaires discrets passés maîtres dans l'art de piller les États, dont la France: le Canadian Pierre Desmarais et le Belge Albert Frère. Ils sont notamment impliqués dans le rachat de GDF Suez, dans le scandale de la vente de Quick à caisse des dépôts et des consignations, dans le scandale UraMin, et le scandale Petrobas au Brésil.
De mon point de vue, Denis Robert est un héros, un exemple académique de journaliste — « sentinelle du peuple » comme on appelait les journalistes en 1789. Son dernier livre est une nouvelle bombe contre la corruption politique par les milliardaires, qu'on devrait lire et travailler dans les écoles avant chaque atelier constituant. wwwlivre-grand-format/les-predateurs/9782749155937 Il en parle ici avec Le Média TV: Fil facebook correspondant à ce billet: Catégorie(s) de l'article:
Ainsi, s'il est vrai qu'un stock à haut risque offre un rendement supérieur à celui d'un stock à faible risque à un moment donné, il est beaucoup plus probable qu'un stock à haut risque ne survive pas à une période de 20 ans par rapport à un stock à faible risque. C'est pourquoi les blue chips sont un favori des investisseurs buy-and-hold. Les actions de premier ordre sont très susceptibles de survivre assez longtemps pour que la loi des moyennes joue en leur faveur. Par exemple, il y a très peu de raisons de croire que The Coca-Cola Company ou Johnson & Johnson, Inc. cesseront leurs activités d'ici 2030. Ces types de sociétés survivent généralement à des ralentissements majeurs et voient leurs actions rebondir. Supposons qu'un investisseur ait acheté l'action de Coca-Cola en janvier 1990 et l'ait conservée jusqu'en janvier 2015. Au cours de cette période de 26 ans, elle aurait connu la récession de 1990-91 et une baisse complète de quatre ans du stock de Coca-Cola. 1998 à 2002. Elle aurait également vécu la Grande Récession.